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  • L’imposture des vaccins contre la grippe

    Bigpharma
    Source : Galadriel – Les Brindherbes Engagés

    Lettre de Michel Dogna sur le vaccin anti-grippal

    Voici la lettre de Michel Dogna (1) sur le vaccin anti-grippal qui, comme de coutume ne mâche pas ses mots et n’hésite pas à empoigner gaillardement l’épée du complotiste. Vous trouverez dans cet article ses conseils pour prévenir et soigner la grippe.

    « Une fois de plus, je reviens sur l’imposture concernant la vaccination contre la grippe, qui comme tous les ans à l’entrée de l’hiver fait l’objet d’une campagne publicitaire massive. Les médecins sont tenus par la CRAM de convaincre leurs clients à partir de la soixantaine de se faire vacciner, et les services administratifs médicaux vont jusqu’à aller à la pêche à domicile des « troisièmes âges », en proposant de leur faire « bénéficier » (j’aime bien le mot) de la protection face aux épidémies hivernales soi disant « très dangereuses pour eux ».

    Il y a pourtant eu, suite à ces vaccins antigrippaux, durant les décennies qui précèdent, de très nombreux cas de complications pulmonaires fatales parmi les gens âgés, mais qu’importe, c’est tout bon pour les caisses de retraite…

    Et ce n’est pas tout, diverses études statistiques ont mis en évidence une courbe croissante de la maladie d’Alzheimer chez ceux qui sont annuellement fidélisés au vaccin antigrippe.
    Ce n’est d’ailleurs pas un scoop puisque j’avais déjà publié il y a 7 ans un article intitulé : « Des vaccins antigrippe qui rendent gogol » à partir des travaux du Docteur Groussac dévoilant que 11 des vaccins du marché pharmaceutique contiennent des fragments d’ARN à double brin ; or ceux-ci ont la propriété de bloquer les gènes déjà altérés par les réplications successives, en particulier parmi les neurones…

    L’expert russe Léonid Ivachov disait carrément que selon les renseignements américains, en 2015, il y aurait trois milliards d’humains en trop à éliminer, et que la création de virus devant entraîner la mort massive de gens est une stratégie globale de régulation démographique beaucoup plus efficace que les guerres.

    Selon lui, TOUTES les épidémies actuelles ont été crées dans les laboratoires… et je vous le donne en mille par quel biais, par des vaccins qui sont censés vous protéger de maladies potentielles qui n’existent pas. Oui, les peureux vont et iront en enfer ! Déjà la fameuse grippe espagnole, qui n’était pas plus espagnole que les capotes sont anglaises, est issue d’un abominable bouillon de culture qui se voulait un vaccin et qui a été inoculé aux soldats américains durant la guerre de14/18. On ne connait pas exactement, vu le manque de moyens de communication de l’époque, le nombre de victimes dû à cette hécatombe épidémique dont le vecteur fut un vaccin, puisque les chiffres varient carrément entre 25 et 50 millions dans le monde.

    Je m’abstiendrai de remettre sur la table le complot du SRAS en 2003, monitoré par l’OMS, du montage grotesque de la grippe aviaire qui lui a succédé, et du scandale de la grippe porcine en partie avorté grâce à la résistance internationale.

    Il faut être amnésique ou déjà « bien plombé » aux vaccins pour continuer à faire aveuglément confiance aux infos santé de la télé, des mutuelles aux ordres, de la CRAM aux ordres de Bruxelles c’est-à-dire du N.O.M. (gouvernement mondial), et de votre médecin (esclave de « l’Ordre »). N’oubliez pas que le vaccin antigrippe n’est pas obligatoire, ce qui veut dire que vous n’avez aucun recours juridique en cas de pépin.

    Enfin, soyons juste logique : il y a peut-être 20 milliards de souches virales potentielles prêtes à exterminer l’humanité cette année et l’année prochaine. Quel surdoué de la météo virale pourrait lire dans le marc de café laquelle de ces souches va attaquer cet hiver ? Alors sur quelle base mystérieuse sont fabriqués les vaccins ??? A moins que… la prochaine grippe soit propagée par le vaccin lui-même, comme précédemment ! Mais pourquoi la recherche s’acharne-t-elle sur les vaccins plutôt que sur la maladie elle–même ? Pourquoi le protocole de la médecine officielle concernant la grippe fait–il semblant de soigner cette maladie purement virale avec une antibiothérapie, alors que tout le monde sait que les antibiotiques sont inefficaces sur les virus ? Aussi j’aime bien, lorsque j’entends des gens dire après 2 à 3 semaines pour se remettre d’une grippe « et qu’est-ce que cela aurait été si je n’avais pas eu les antibiotiques ! » – et je réponds : « cela aurait été beaucoup mieux car vous auriez au moins évité de détruire votre intestin pour un bon bout de temps ».

    Tout ceci est d’autant plus stupide qu’une grippe est relativement facile à soigner

    La logique n’est pas d’empêcher la grippe, mais de l’accompagner confortablement en aidant l’organisme dans son travail plus intelligent que n’importe quel médecin. Une grippe bien menée dure 24 heures sans avoir à s’aliter (alors pourquoi de dangereux vaccins ?).

    * D’abord, ne pas empêcher la température de monter ;

    jusqu’à 39/40° laisser faire, cela effectue un travail d’incinérateur de tout ce qui est pathogène. Si la température ne monte pas ou pas assez par manque de défenses, créer une hyperthermie artificielle avec des bains de 15 à 20 min partant de 35° et montant progressivement à 40°et même 42° s’il n’y a pas de palpitation sévère, suivi de ½ heure minimum d’enveloppement dans une grande serviette sous la couette.

    * En même temps il convient de booster les défenses immunitaires.

    Il y a une panoplie au choix et à la carte avec :
    BOURRACHE (pharm) en décoction : 20 g de fleurs dans 1 litre d’eau. Bouillir 3 minutes, infuser 5 minutes. 4 à 5 tasses dans la journée. Déclenche une sudation, aide à l’élimination.
    CANNELLE, THYM, GIROFLE (épiceries) en décoction – spécifique grippe (Dr. Balaïche). Mettre dans 1 litre d’eau : 2 rouleaux de cannelle, 2 branches de thym, 5 clous de girofle. Bouillir 3 minutes. 4 à 5 tasses dans la journée.
    CUIVRE GRANION (pharm) : 3 ampoules dans la journée, à garder sous la langue.
    CHLORURE DE MAGNÉSIUM (pharm) : dissoudre 1 sachet de 20 g dans 1 litre d’eau. Garder au réfrigérateur : c’est moins amer. Prendre 40 ml (1/3 de verre) toutes les 2 à 3 heures pendant le temps nécessaire. Une petite diarrhée peut s’ensuivre. Le chlorure de magnésium augmente les défenses immunitaires, le pouvoir phagocytaire des globules blancs et yanguise le corps (plus résistant).

    Vous pouvez aussi faire :

    BAIN OU DOUCHE HYPERTHERMIQUE (contrôle au thermomètre indispensable). Démarrer à 37° et monter à 41° en 5 minutes. Rester à 40/41° pendant 15 minutes En cas de palpitation cardiaque, ne pas insister. C’est rare, mais cela peut arriver. Rester ensuite enveloppé bien au chaud pendant 30 à 60 min.

    Et dans les cas sévères, ajouter :

    SERUM DE YERSIN 15 CH – 1 dose

    En prévention :

    • Arrêtez avec Oscillo-coccinum – la preuve c’est qu’on en fait la pub à la télé !
    • Arrêtez aussi avec Influenzinum, qui est préparé à partir de souches de l’année dernière…
    • Arrêtez aussi avec le chlorure de magnésium en entretien, qui accoutume l’organisme et ne déclenchera aucune réaction quand il faudra.

    Par contre, vous pouvez prendre :

    ECHINACEA TM (en pharm) – 40 gouttes, 2 fois par jour
    ARGENT COLLOÏDAL – 1 cuil. à soupe 3 fois par jour

    En cas d’épidémie :

    • Faire brûler chaque jour, un peu de SAUGE pour enfumer la maison,
    VINAIGRE DES 4 VOLEURS (en diététique) – friction bras et cuisses, 3 fois par jour.

    Petite remarque :

    Plus les gens sont motivés dans la vie, moins ils contractent facilement la grippe,
    et inversement, moins les gens sont motivés dans la vie et plus ils sont fragiles.

    UN VACCIN ANTI-RETRAITES

    Les pouvoirs publics, à la botte des labos, nous font croire que des milliers de personnes décèdent chaque année suite à la grippe. En réalité, ces décès ne concernent, le plus souvent, que des personnes dont l’état général était déjà très délabré. Or s’ils meurent, c’est surtout en raison du coup fatal donné par le traitement protocolaire de la grippe. Et bing !… bon débarras – ce n’est qu’un improductif qui pompe dans les caisses de retraite, elles aussi agonisantes.
    Mais le nombre de retraités affaiblis est très insuffisant pour soulager ces caisses. Alors, il faut « aider » un maximum de séniors à s’affaiblir – et ce grâce à quoi ?… à l’invention du bon Pasteur, LE VACCIN,… en l’occurrence celui de la grippe. Remarquez que ce seul mot VACCIN est magique ! On ne cherche même pas à savoir quels sont les mystères de sa composition, ni comment çà marche ; l’essentiel, c’est qu’on soit ras-su-ré !

    Les statistiques nous apprennent que cette saison, 3 Français sur 10 (ce qui fait quand même près de 20 millions) prévoient de se faire vacciner contre l’hypothétique fléau annuel. Ceci prouve que la propagande de la télé marche encore bien parmi les français moyens « sans les options ». Le tout est de savoir pour chacun, qui gagnera dans le bras de fer entre l’effet placebo de la vaccination et la toxicité induite, en valeur ajoutée. En tout état de cause, dans tous les cas où le coup de la caisse de retraite est raté, le corps médical et la pharmacie s’y retrouvent avec chaque année un nouvel arrivage très rentable d’éclopés de la « vaccinomania ».

    Et puis, pour ceux qui sont encore capables de réfléchir, comment sait-on avant l’hiver quel est parmi les milliards de virus circulants autour de la planète, quel est le Super Goldorak qui a décidé de déclarer durant la prochaine saison la guerre au genre humain ? Dans le marc de café ?
    Ou par des ordinateurs ? (çà fait plus sérieux)…

    Le Dr J. Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA est catégorique :

    « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais ils continuent néanmoins à le vendre. »

    Le Dr William Frosehaver, professeur de médecine préventive et de santé communautaire à l’École de Médecine de l’Université de l’Illinois, estime que le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même.
    Mais ceci est en fait valable pour TOUS les vaccins.

    Mon ami le Dr Tal Schaller, célèbre militant de la médecine holistique, explique avec beaucoup de simplicité et de pédagogie le leurre vaccinal. Il dit que les connaissances actuelles en immunologie prouvent que TOUS les vaccins sont inefficaces et dangereux.

    Que font réellement les vaccins ? Ils augmentent la production d’anticorps dans le sang – on se croit alors protégés. Mais on oublie soigneusement de vous dire que l’immunité humorale ne représente que 10% de l’immunité générale. Les 90% restants, c’est l’immunité cellulaire, qui est la véritable immunité ; et il s’avère que cette immunité-là, au niveau des cellules, est systématiquement endommagée par les vaccins.
    C’est pour cela que l’on constate partout dans le monde, que les gens, et surtout les enfants, sont deux fois plus malades chez les vaccinés que chez les non vaccinés. Concernant la grippe, contrairement à la croyance populaire induite, ce sont les vaccinés qui meurent le plus… Mais ce n’est pas politiquement correct de colporter cela ! Donc, pour protéger les caisses de retraites, faut pas l’dire !

    INFOS DERNIERES DES USA

    (Heureusement que les rapports circulent mieux aux Etats Unis qu’en France)
    Selon le Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC), le Centre officiel de pharmacovigilance VAERS a reçu 93.000 rapports d’effets secondaires suite à la vaccination contre la grippe de l’année dernière. Ces rapports comprenaient 1080 décès et 8.888 hospitalisations.
    En tenant compte des sommes de dédommagement accordées aux familles des victimes (National Vaccine Compensation Program), on peut dire que le vaccin contre la grippe est le plus dangereux et le plus meurtrier des vaccins aux Etats-Unis.
    Nota : Les membres du personnel des soins de santé aux Etats-Unis craignent d’évoquer les dommages engendrés par les vaccins, parce que s’ils parlent, ils perdent généralement leur place.

    REMARQUE ET CONCLUSION

    En fait, la grippe est une bonne chose qui permet de faire de temps en temps le ménage de la cave au grenier. Les virus sont là pour vous aider à le faire. C’est une opération qui vous prémunit d’un futur cancer. Remarquez que les gens qui font un cancer n’ont pas eu de grippe depuis des années – ils n’en avaient plus les moyens en raison de la chute de leurs défenses… car faire une grippe, c’est un gros travail !

    L’ineptie est d’accepter l’irresponsable ordonnance d’un antibiotique qui non seulement anéantit le travail de nettoyage naturel, mais en rajoute une couche à votre pollution interne. »
    Michel Dogna

    (1) Qui est MIchel Dogna ?
    MICHEL DOGNA, né en 1940, ancien ingénieur chimiste, Heilpraktiker de l’Université de Saarbrück et naturothérapeute, a enseigné pendant 10 ans la naturopathie holistique au sein de l’ Institut ISSA, qu’ il avait fondé en 1984. Il est le créateur de la société Source Claire qui promotionne, depuis 1994, une gamme de produits de santé naturelle bien connus.
    Rédacteur en chef pendant 6 ans au journal « Vérités Santé Pratique », devenu actuellement « Principes de Santé », il y assure actuellement la rubrique « Aigle Moqueur », ainsi qu’une intervention hebdomadaire dans « la newsletter du jeudi » d’ALTERNATIVE SANTE.
    MICHEL DOGNA, connu pour sa pugnacité dans ses écrits et ses discours sans détours, au service de la santé naturelle, de l’alimentation biologique, de la défense de la condition animale, et de la sauvegarde de la planète en général, est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages, édités chez Guy Trédaniel.


  • La grande hypocrisie de Touraine sur les Vaccins devrait valoir sa démission

    Marisole T
    Source : Réseau International

    Dans un pays « normal », dans un Etat normal, la preuve qui suit et signée de la main de Marisol Touraine elle-même devrait lui valoir une démission immédiate.

    Car l’hypocrisie sans nom de Mme Touraine est responsable de handicaps et d’effets post-vaccinaux graves irréversibles au quotidien. Elle qui critiquait Roselyne Bachelot lors du H1N1 pour se profiler en futur ministrable ne vaut finalement pas mieux du tout qu’elle et elle apparaît ainsi comme une électoraliste vraiment peu soucieuse du bien commun et qui n’a aucune parole ni aucune fidélité à ses engagements.

    C’est donc une Ministre en qui personne ne peut avoir confiance.

    Marisol Touraine a tenté de descendre en flamme la pétition du Pr Joyeux sur le vaccin DTP en disant que « la vaccination, ça ne se discute pas! ».

    Sans argument, elle a fait une attaque personnelle sur la personne contre le Pr Joyeux.

    Mais voici maintenant venu le temps où la honte publique lui revient de droit car voyez plutôt les propos exacts qu’elle a tenus sur l’aluminium et sur les vaccins dans un courrier du 20 avril 2012 dans le cadre de la campagne présidentielle de François Hollande et qu’elle avait alors envoyé à l’association E3M…

    « De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d’aluminium.

    […] « La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l’objet d’une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu’elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d’aluminium, d’autant plus que cela était le cas jusqu’en 2008. »

    Lire le courrier/la preuve irréfutable que Marisol DOIT démissionne…

    Marisole


  • 50 millions de $ de royalties sur un vaccin contre Ebola

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    Source : Lettre Santé Nature Innovation

    Mais Ebola ne fait pas que des malheureux, manifestement.

    Le géant pharmaceutique Merck & Co a annoncé le 24 novembre 2014 avoir payé 50 millions de dollars pour les droits sur un vaccin expérimental contre Ebola développé par une société américaine, NewLink Genetics Corp.

    La somme sera réglée en deux fois : 30 millions de dollars immédiatement, puis 20 millions de dollars supplémentaires lorsque les nouveaux tests cliniques seront en cours, pendant le premier trimestre 2015.

    Pourquoi un prix aussi faramineux ? Et comment les dirigeants de Merck & Co comptent-ils se « refaire » sur cette opération ?

    C’est bien simple : ils savent qu’ils pourront vendre des millions de dose de vaccins aux gouvernements occidentaux, qui paieront avec l’argent des citoyens comme vous et moi, que nous soyons d’accord ou non.

    Déjà les autorités sanitaires américaines ont donné leur accord pour un essai à grande échelle sur les êtres humains début 2015, ainsi que pour un vaccin développés par le concurrent GlaxoSmithKline.

    Bien entendu, aucune garantie n’est donnée sur l’innocuité de ces vaccins. On se contentera de rappeler que des milliers de cas de narcolepsie (une maladie grave et invalidante) avaient été provoqués par la campagne totalement inutile et ruineuse de vaccination contre la grippe H1N1.

    Des leçons de cette tragique expérience ont-elles été tirées ? Il semble bien que non.

    La suite du scénario

    Cela se produira en 2015.

    Que le virus Ebola continue ou non à se répandre sur le terrain (elle est en diminution au Libéria, le pays le plus touché, avec 20 nouveaux cas par semaine contre 80 au plus fort de l’épidémie, en septembre dernier), la psychose va continuer à être entretenue dans les médias et dans les milieux politiques, pour justifier :
    1. des rallonges budgétaires pour tous les « organismes internationaux » actifs dans cette lutte, et qui, à force de lobbying, sont en train d’obtenir 6,2 milliard de dollars, soit 1 million de dollars par personne décidée d’Ebola.
    Rappelons que, en Afrique, des millions de personnes meurent chaque année parce qu’on a pas su trouver quelques dollars pour un médicament contre la diarrhée citée plus haut, le paludisme, le choléra, la tuberculose et tout simplement la malnutrition ;
    2. Des autorisations et bourses seront données hâtivement au complexe pharmaco-industriel pour tester des médicaments et des vaccins massivement sur des êtres humains, qui seront ensuite administrés, si nécessaire par la force, à de larges pans de la population.

    Le troisième acte du scénario n’arrivera que plus tard, en 2016, 2017 ou peut-être 2018.

    On s’apercevra que ces milliards ont été mal investis. Qu’ils ont largement enrichi des personnes et réseaux qui ne le méritaient pas forcément, et que les bienfaits des médicaments et vaccins avaient été fortement exagérés, leurs risques minimisés.

    Des associations de victimes des médicaments et des vaccins seront créées, des procès retentissants auront lieu. Malheureusement, à ce moment, il sera trop tard. L’argent aura disparu. Les problèmes de santé provoqués par les médicaments et les vaccins resteront.

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  • « Une campagne de stérilisation de masse ». Des médecins kenyans ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos

    Stérilisation
    Source: https://www.lifesitenews.com/news/a-mass-sterilization-exercise-kenyan-doctors-find-anti-fertility-agent-in-u

    Des pays africains sont sans nul doute, depuis des décennies, des laboratoires in vivo d’expérimentations de masse (stérilisation, mutations génétiques, infections, virus, etc.) qui sont dirigés par des firmes pharmaceutiques privées, par le département militaire des maladies infectieuses et qui sont financés par les Bill Gates de ce monde. Tous les pays occidentaux vaccinent contre le tétanos, sans compter le calendrier vaccinal des enfants, les vaccins saisonniers, les vaccins contre la méningite, vaccin contre le cancer du col de l’utérus …

    Selon un communiqué publié mardi par l’Association des médecins catholiques du Kenya, l’organisation a trouvé un antigène dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes qui provoque des fausses couches. Ce vaccin est administré par l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF.

    « Nous avons envoyé six échantillons provenant de partout au Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG », dit le Dr. Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi au LifeSiteNews.

    Le Dr. Ngare, porte-parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre:
    « Cette campagne de l’OMS n’est pas d’éradiquer le tétanos néonatal, mais c’est un exercice bien coordonné de stérilisation de masse avec un vaccin qui régule la fertilité. Cette preuve a été présentée au Ministère de la Santé avant le troisième tour de vaccination, mais elle été ignorée ».

    L’Information est confirmée par le Diocèse catholique de Kitui. Tout cela est dans la droite lignée du programme de contrôle et stérilisation de population dans le tiers monde de Kissinger dans les années 70.
    Après, on veut nous faire gober que les vaccins sont inoffensifs.

    D’ailleurs, rappelons que le vaccin contre le tétanos en particulier est une vaste escroquerie scientifique.

    Alors, imaginez celui qu’ils préparent contre Ebola …

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  • Pourquoi le Pentagone et le CDC créent-ils des vaccins et de nouvelles souches brevetées d’Ebola ? Ebola I.

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    Source : F William Engdahl pour le New Eastern Outlook http://journal-neo.org/2014/10/26/why-is-the-pentagon-making-ebola-therapeutic-and-cdc-patenting-ebola-strains-2/
    Traduction Ender pour « les moutons enragés »

    Ci-après un gros dossier sur Ebola à lire.

    La panique croissante concernant l’épidémie d’Ebola, délibérément entretenue par le Dr Margaret Chan, la directrice générale « pandémie de grippe porcine » de l’OMS à Genève, et les représentants officiels et irresponsables du CDC (Governement Center for Disease Control) américain, devient de plus en plus absurde et destructrice jour après jour.

    Pas seulement à cause de la liste officielle des symptômes d’Ebola, de la grippe commune ou des rhumes sévères. Pas seulement à cause du seul test de laboratoire reconnu pour Ebola, le Kary PCR test, identifié par son inventeur, le prix Nobel Kary Mullis, comme totalement inopérant pour détecter la présence d’Ebola dans un corps humain. Dans une interview, le Pr Mullis a déclaré : « le PCR quantitatif est une oxymore. » Le PCR a été conçu pour identifier des substances qualitatives et par sa nature même est inadapté pour des estimations quantitatives.

    Le test peut détecter des séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes.

    Nous avons appris récemment qu’une nouvelle entreprise avait établi un partenariat avec le Pentagone pour mettre au point un « anti-virus Ebola à ARN thérapeutique ». Le 4 août, la chaîne TV Fox, a relayé cette dépêche énigmatique :

    « Le médicament expérimental utilisé pour traiter deux coopérants américains qui avaient été infectés par le virus Ebola n’avait jamais été testé sur des humains auparavant et a été identifié cette année comme faisant partie d’un programme de recherche militaire expérimental… Le département de la défense mène depuis longtemps des recherches sur les maladies infectieuses, incluant Ebola. »

    Le département de la défense et Ebola

    D’autres recherches ont depuis mis au jour les faits suivants, hautement fascinants et suspects, à propos du programme de recherches du département de la défense concernant Ebola.

    Apparemment, le département de la défense a noué un partenariat avec une société de biotechnologies, Tekmira Pharmaceuticals Corporation. Son action est cotée au Nasdaq sous le nom TKMR. Tekmira se présente elle-même comme un leader dans le développement des interférences thérapeutiques de l’ARN (ndt : l’ARN, constitue la transcription cellulaire « opérative » de l’ADN).
    Depuis la panique déclenchée par Ebola, le cours des actions de l’entreprise a crevé le plafond, comme le firent les actions Gilead Sciences de Donald Rumsfeld, qui étaient les inventeurs du fameux Tamiflu. Les cours s’étaient envolés après que le secrétaire à la défense Donald Rumsfeld ait commandé pour 1 milliards de dollars de Tamiflu, sans valeur pour ses soldats, après le déclenchement de la fausse pandémie de grippe aviaire.

    Le site web de Tekmira dit :

    « TKM-Ebola et l’anti-virus à ARN thérapeutique sont développés dans le cadre d’un contrat de 140 millions de dollars avec une unité du département de la défense américain spécialisée dans les contremesures médicales et les systèmes de biodéfense thérapeutiques (MCS-BDTX). »

    Depuis 2010, ils déclarent en outre :

    « Tekmira a signé un contrat de 140 milliards de dollars avec le département de la défense pour mettre au point un anti-virus à ARN thérapeutique qui utilise notre technologie LNP (ndt : LNP : Lipid Nanoparticle, littéralement, nanoparticules lipides), pour traiter l’infection par le virus Ebola. En 2013, la collaboration a été étendue afin d’inclure des avancées significatives dans la technologie LNP, incluant une nouvelle formulation LNP plus puissante, la capacité à lyophiliser la formulation LNP, et une formulation rendant possible l’administration intra-veineuse. »

    Toujours selon le site web de Tekmira :

    « En 2014, Tekmira a signé une option d’agrément avec Monsanto, permettant à Monsanto d’obtenir une licence pour exploiter la technologie Tekmira. »

    Et maintenant Tekmira a reçu l’autorisation (de qui?) d’effectuer des tests sur des cobayes humains.
    Où ça ? Tekmira nous le dit:

    « Tekmira a rejoint un consortium international dirigé par l’OMS pour développer un vaccin expérimental basé sur l’ARN et destiné à mener des études cliniques accélérées en Afrique de l’ouest. Le consortium inclus des représentants du Consortium International des Affections Respiratoires Sévères et des Infections Emergentes (ISARIC) à l’université d’Oxford au Royaume-Uni, le centre américain pour le contrôle des maladies (CDC), Médecins Sans Frontières, la fondation Mérieux, et quelques autres. »

    Maintenant que le monde entier est complètement hystérique au sujet d’Ebola, qui va regretter la disparition de quelques centaines d’africains de l’ouest des suites des complications causées par les expérimentations du Pentagone et de TKM ? Tous les acteurs du crime sont regroupés dans le consortium mettant en place les tests humains de Tekmira en Afrique de l’ouest, l’OMS, le centre américain pour le contrôle des maladies (CDC), et Médecins Sans Frontières.

    Est-ce qu’Ebola et la campagne mondiale de l’OMS et du CDC ont été créés par ses sponsors pour créer un état de panique afin de tester des vaccins expérimentaux ou des injections de TKM-Ebola conçus pour éliminer une partie significative de la population d’Afrique de l’ouest ?

    Ebola et l’eugénisme ?

    Il est intéressant de noter qu’avant sa mort dans un curieux accident d’avion, le président jusqu’en 2010 de Médecins Sans Frontières pour les Etats-Unis était Richard Rockefeller, le fils de David Rockefeller. Et jusqu’à il y a quelques mois, un autre Rockefeller siégeait au conseil d’administration de Monsanto quand il est mort.

    La famille Rockefeller, depuis plus d’un siècle depuis la création de sa Fondation Rockefeller, a été la plus généreuse source de financement des recherches sur l’eugénisme, incluant les recherches menées par les nazis à l’institut Kaiser Wilhem à Berlin et Munich dans les années 30.

    Il y a quelques familles très riches et influentes qui se considèrent comme des dieux planant au-dessus des simples mortels. C’est ce que dit l’histoire des Rockefeller. Dans son livre de 1933 « La vision moléculaire de la vie » le Docteur Lily E Kay, décrite comme « l’une des plus extraordinaires historiennes de la biologie de sa génération » affirme que la « nouvelle biologie » a largement été créé par la Fondation Rockefeller et son programme à l’institut de technologie de Californie à travers un consensus entre une élite scientifique et une élite capitaliste dont les objectifs étaient centrés sur l’eugénisme et le besoin de créer un mécanisme de contrôle social et d’engineering humain.

    Le terme de « biologie moléculaire » a été inventé en 1938 par Warren Weaver, directeur de la division des sciences naturelles à la Fondation Rockefeller. L’argent pour financer le développement de la discipline réductionniste de la biologie moléculaire venait des Rockefeller.

    Beaucoup des scientifiques impliqués n’étaient pas des eugénistes mais étaient simplement à la recherche de financements. Kay note que beaucoup d’entre eux, même au niveau de l’élite, étaient avant tout intéressés par la recherche scientifique fondamentale, même lorsqu’ils étaient informés des buts de la Fondation Rockefeller. Comme Kay le remarque, « le résultat final a été que la « nouvelle biologie » ne fut pas une recherche ouverte des « sources de la vie » mais plutôt une investigation pour répondre à des questions spécifiques destinées à servir les buts de l’eugénisme et du contrôle social. »

    Le CDC a-t-il breveté une souche d’Ebola ?

    Toutes les preuves disponibles suggèrent que l’hystérie à propos d’Ebola entretenue par le CDC et l’OMS constituent une partie d’un agenda eugéniste plus vaste qui a conduit la Fondation Rockefeller à créer les variétés OGM de Monsanto de manière à contaminer la chaîne alimentaire.

    Comme si le lien entre le Pentagone et Tekmira n’était pas assez alarmant, le CDC a obtenu un brevet en 2010 sur une souche particulière du virus connue sous le nom « EboBun ». Il s’agit du brevet Numéro CA2741523A1. Ils sont également autorisés à percevoir des droits de propriété pour son utilisation.

    Pourquoi est-ce que la principale agence de santé gouvernementale dépose un brevet sur une souche du virus Ebola ?

    Pour breveter un virus ? Comment est-ce qu’une telle monstruosité est possible ? Selon le spécialiste du droit de la propriété David Schwartz « vous ne pouvez pas breveter un état pathologique en soi, comme le cancer ou la grippe. Mais si vous parlez de breveter une forme de vie comme une bactérie ou un virus, altérée par l’homme, la réponse est oui ! »

    A qui profite Ebola ?

    L’armée US a lancé un déploiement d’envergure au Libéria, 3000 soldats, au prétexte de lutter contre l’épidémie d’Ebola.

    Il faut noter à ce sujet que le pays a été choisi par les autorités US pour implanter une base régionale de l’AFRICOM, le centre opérationnel de commandement unifié pour l’Afrique, qui sert à coordonner la logistique et de commandement centralisé pour les opérations américaines sur le continent. La présidente du Libéria, qui a autorisé l’implantation de l’AFRICOM, Ellen Johnson Sirleaf, est diplômée de Harvard …
    Bienvenue dans le monde de l’ombre de l’OMS, du Pentagone et du CDC … etc. (A suivre)

    __________________________________________________________________________________


  • Extrait de la lettre du professeur Joyeux concernant les vaccins. Extrait I.

    Pr JoyeuxProfesseur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

    Extrait I. Le Papillomavirus

    [ … ]

    Il est important de bien réfléchir, pour chaque vaccin, à son rapport bénéfice/risque pour vous, selon votre situation individuelle, qui n’est pas celle d’un autre.

    Je maintiens d’abord ma méfiance contre Gardasil et Cervarix en milieu scolaire.

    J’ai lancé il y a moins de 15 jours, avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN), une pétition contre le projet de vaccination des enfants, filles et garçons du primaire dès 9 ans, à propos du cancer du col de l’utérus et d’autres localisations d’infections virales dues au papilloma virus (HPV).

    La pétition que vous pouvez encore signer – si ce n’est déjà fait – et faire tourner, a été signée ce jour par près de 350 000 personnes.

    Vous la trouverez sur le site :PETITION

    Je rappelle que 700 professionnels de santé avaient déjà signé en mars 2014 une pétition demandant « la mise en place d’urgence d’une mission parlementaire sur l’opportunité de la vaccination contre le cancer du col de l’utérus, arguant de l’absence de preuves de son efficacité, de son coût particulièrement élevé et du risque d’effets indésirables graves. »

    Mais lors de la présentation du Plan Cancer 3, le président de la République François Hollande, mal informé, a affirmé que « ce vaccin a fait la preuve de son efficacité ». (Note de l’auteur du blog : Mais pas le président!)

    Il ne sait pas que le frottis reste à ce jour le meilleur moyen de prévenir le cancer du col utérin. En effet, il permet de détecter des lésions risquant d’évoluer vers le cancer.

    Soulignons que 6 millions de frottis sont réalisés chaque année alors que 500 000 seraient suffisants si l’on expliquait clairement et sans le moindre jugement quelles sont les personnes qui sont à risques.

    Je suis convaincu que les 2 vaccins concurrents contre le cancer du col de l’utérus ne sont pas fiables d’une manière certaine et qu’il ne faut pas accepter la vaccination des enfants dès 9 ans, comme cela était proposé par certains experts. Même si les autorités se veulent rassurantes, même si les laboratoires fabricants réfutent toutes les critiques et les dangers, n’insistant que sur les bénéfices en nous inondant de publicités sous le titre « Un rendez-vous vaccinal pour les adolescents ».

    Voici leurs arguments majeurs sans cesse répétés : 170 millions de doses ont été injectées et déjà 5 millions en France, et les conclusions sont toujours les mêmes : « aucun lien de causalité ne peut être établi entre le vaccin et les complications. » Pour renforcer cette pression, une pétition favorable à la vaccination contre le HPV, signée par 5000 praticiens de seize sociétés savantes est lancée, soutenue en outre par l’Académie de médecine.

    Évidemment, quand il y a décès on parle de « cause inexpliquée », ou bien c’est la « mort subite du nourrisson ». Et si vous n’êtes pas d’accord, vous n’êtes pas d’un bon niveau scientifique. Je connais bien ce genre d’attaque qui vise à ce que nos enfants et petits-enfants soient vaccinés en masse et sans discuter. [ … ]

    Signé du Professeur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

    La Lettre du Professeur Joyeux est un service d’information indépendant sur la santé, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles. Rendez-vous ici pour vous inscrire gratuitement


  • Extrait de la lettre du professeur Joyeux concernant les vaccins. Extrait II.

    Pr Joyeux
    Source : Professeur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

    Extrait II. Qui et quand faudrait-il vacciner

    [ … ]

    Les vaccinations, les “obligatoires” et les “recommandées”

    Je rappelle d’abord qu’en septembre 2014, le Conseil technique de la vaccination a préconisé la levée de l’obligation de la vaccination contre Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP).

    Cette obligation reste présente à ce jour. Un couple, Samia et Marc Larère, est même actuellement poursuivi devant les tribunaux parce qu’il refuse de faire vacciner ses enfants âgés de 15 mois et 3 ans. À mon humble avis, ils ne devraient pas être condamnés.

    Qui et quand faudrait-il vacciner contre la diphtérie-tétanos-polio-grippe-hépatite ?

    Les nourrissons

    Les nourrissons allaités par la maman héritent de l’immunité maternelle qui les protège jusqu’à l’âge de 9 mois environ. Je souligne l’importance de l’allaitement maternel, si possible complet pendant au moins 6 mois comme le préconise l’OMS.

    Ce doit être le choix de la maman et non du médecin !

    L’allaitement chez les jeunes mères doit être soutenu et accompagné ; signalons le travail considérable de la Leche League et des associations similaires, qui n’est pas assez mis en valeur !

    Le calendrier vaccinal propose abusivement dès le 2e mois le vaccin Hexavalent contre 6 pathologies à la fois, ce qui est très lourd : Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche-Grippe-Hépatite B, auxquelles il faut ajouter, à part, le vaccin contre le Pneumocoque (Prevenar 13 avec phosphate d’aluminium comme adjuvant).

    Ce dernier permet d’éviter pneumonies et otites moyennes aiguës causées par 13 des 90 sérotypes de Streptococcus pneumoniae chez les nourrissons et les enfants âgés de 6 semaines à 5 ans.

    Les rappels pour ces vaccins ont lieu à 4 mois et à 11 mois.

    Mieux vaut donc allaiter son enfant pour éviter une telle vaccination trop tôt.

    Mais lorsque les nourrissons ne sont pas allaités et sont en contact avec d’autres enfants fragiles susceptibles d’être atteints par une des maladies citées ci-dessus (dans son pays ou à la crèche), ils doivent être vaccinés contre DTP-Coqueluche-Grippe-Hépatite et Pneumocoque.

    La Haute Autorité de Santé recommande Infanrix Hexa qui contient hydroxyde d’aluminium et phosphate d’aluminium comme adjuvant. Il y a aussi l’Hexyon qui contient hydroxyde d’aluminium et phosphate d’aluminium.

    Leur concurrent Hexavax a été retiré en 2005, 5 ans après sa mise sur le marché, du fait de complications cérébrales graves chez les nourrissons (preuve qu’un vaccin n’est jamais sans risque).

    Ainsi une seule injection intramusculaire regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.

    Je ne recommande pas cette injection, sauf cas spécifiques.

    En Guyane, en outre, la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire après 9 mois, uniquement dans les centres agréés de vaccination internationale. Elle est déconseillée chez la femme enceinte et chez les personnes immunodéprimées.

    Dans des cas particuliers, à risques, d’enfants en contact avec des adultes porteurs du bacille de la tuberculose, du virus du Sida ou de l’hépatite B, on fera vacciner l’enfant :
    • contre la tuberculose, avec le BCG qui est uniquement destiné aux enfants exposés à un risque élevé (résidant en Île-de-France ou en Guyane, avec des antécédents familiaux, nés ou issus de parents originaires d’un pays très touché par la tuberculose, vivant dans un habitat précaire…). Chez les enfants à risques, la vaccination peut être pratiquée jusqu’à l’âge de 15 ans, avec un test par intradermoréaction préalable à la vaccination à partir de l’âge de 3 mois.
    • La très forte réduction d’immunité observée chez les personnes atteintes par le virus du Sida, et la marginalisation sociale de certaines d’entre elles, ont entraîné la réapparition des cas graves et même mortels de tuberculose, car les antibiotiques perdent de leur efficacité contre le bacille de Koch, qui devient résistant. Toute personne non sidéenne qui attraperait ce bacille de Koch résistant aux antibiotiques mettrait sa vie en danger. D’où la nécessité du retour à la vaccination antituberculeuse pour les personnes à risques.
    • contre l’hépatite B : pour les enfants nés de mère porteuse de l’antigène de l’hépatite B, la 1re dose de vaccin doit être administrée dans les 24 heures après la naissance, associée à l’administration d’immunoglobulines. Les 2e et 3e doses doivent l’être à 1 et 6 mois, puis un contrôle sérologique doit être fait entre 7 et 12 mois.

    À 2 ans, deux vaccinations en cas d’alerte épidémique

    • Contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) : pour tous les enfants la 1re dose ; la 2e sera faite au moins 1 mois après.
    • Contre la méningite du méningocoque C, la 1re dose.

    À 6 ans, si l’enfant a déjà été vacciné

    Le rappel contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite doit être fait et celui contre la coqueluche est recommandé.

    À 11 ans, chez les enfants à risques ou en cas d’épidémie

    Hors des épidémies hivernales, les spécialistes proposent la vaccination DTP, avec des rappels aux âges fixes de 25 ans (+ coqueluche), 45 et 65 ans, puis 75 et 85 ans du fait d’une « immunosénescence ».

    Au-delà de 65 ans, la vaccination contre la grippe

    Le vaccin contre la grippe est recommandé tous les ans mais n’est indiqué que chez les personnes à risques, porteurs de pathologies aiguës ou chroniques cardiaques, respiratoires, rénales, neurologiques, hépatiques…

    On ajoute les femmes enceintes, mais je ne suis pas sûr qu’elle soient toutes fragiles et à risque majeur de complications de la grippe pour elles-mêmes ou leurs enfants.

    Ce qu’il faut bien comprendre, au total, c’est que la vaccination ne se justifie qu’en cas de situations de risques.

    Pour ce qui me concerne tant que je suis en bonne santé, grâce à l’alimentation et à une saine activité physique, il n’est pas question de me faire vacciner.

    Je préfère l’ENERGIE VITALE que me procurent les amis des abeilles (www.Apimab.com et www.secretsdemiel.com) qui mélangent miel + propolis + gelée royale + ginseng + papaye + acérola à raison d’une cuillerée à café chaque matin au petit-déjeuner entre octobre et mars.
    http://www.boutique-abeille.fr/index.cfm

    Rappelons, comme l’a parfaitement indiqué notre ami Jean-Marc Dupuis, que « C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du XXe siècle ».

    J’ajoute les découvertes virales, celles des antibiotiques, certaines vaccinations comme celle de la variole et toutes les découvertes pour la compréhension du système immunitaire à partir de l’arrivée du SIDA sur la planète en 1982. [ … ]

    Signé du Professeur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

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  • Extrait de la lettre du professeur Joyeux concernant les vaccins. Extrait III.

    Pr Joyeux
    Source : Professeur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

    Extrait III. À propos des effets indésirables et des adjuvants des vaccins

    [ … ]

    Comme l’a rappelé à juste raison Jean-Marc Dupuis dans une récente lettre à laquelle je renvoie :
    « Le British Medical Journal a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin.

    Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie).

    Le vaccin contre l’hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu’il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. D’autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la Ville de Paris, permettant à cette personne d’être indemnisée. Des milliers de personnes, qui n’ont pas eu l’idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas. »
    Des oligo-éléments, métaux lourds aluminium et mercure sont des adjuvants immunologiques, appelés aussi « adjuvant vaccinal ». Ils n’ont pas de vertu antigénique.

    Par rapport aux adjuvants stricto sensu, les immunostimulants ont une action plus générale sur le système immunitaire et peuvent modifier simultanément plusieurs réponses immunologiques en les augmentant ou en les réduisant.

    C’est en 1925 que fut imaginé le principe des substances adjuvantes et stimulantes de l’immunité, technique qui permet d’obtenir des sérums plus riches en antitoxines en joignant au vaccin une substance irritante pour les tissus.

    Comme le dit Jean-Marc Dupuis :

    « Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol.

    Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires. »

    L’Académie de Médecine a publié en 2012 un rapport sur les adjuvants vaccinaux dans lequel elle reconnaît officiellement que les sels d’aluminium sont neurotoxiques.

    Le vaccin contre l’hépatite B indique, sur sa notice, qu’il peut provoquer la sclérose en plaques. Une étude de 2004 de l’épidémiologiste américain Hernan a montré qu’il existait un risque 3,1 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B. Il existe en outre quantité d’études qui lient le vaccin contre l’hépatite B au diabète, au lupus, à la névrite optique, à la polyarthrite rhumatoïde, à la thyroïdite et bien d’autres maladies encore.

    Des coûts faramineux

    En 2010, pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français a payé 1,5 milliard d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment 2 doses par citoyen.

    À l’achat des vaccins, on peut ajouter en Euros 35,8 millions pour la campagne de vaccination, 20 millions d’antiviraux, 150 de masques, 41 de logistique, 290 pour indemniser les personnels réquisitionnés, 100 pour l’organisation territoriale, 400 à 700 de consultations et prescription de médicaments.

    Finalement, comme le rappelle fort justement Jean-Marc Dupuis, le nombre de vaccins utilisés n’a été que de 4,5 millions…

    Ce gaspillage a été dénoncé par mon collègue Bernard Debré, député de droite, et son homologue de gauche Jean-Marie Le Guen.

    Conclusion

    La disparition prochaine des obligations vaccinales impose une information complète et de qualité afin que les parents responsables de la santé de leurs enfants fassent les bons choix.

    Il y a des abus avec les vaccinations. Il ne s’agit pas d’être systématiquement “contre”, ce qui serait aussi excessif – et pourrait être dangereux en cas d’épidémie ou chez des patients fragiles –, ni d’être systématiquement “pour”.

    Les parents doivent bien sûr comprendre que la santé de leur enfant dépend aussi de celle de la communauté, c’est-à-dire de l’état de santé des autres enfants.

    Mais les enfants ne peuvent être traités comme des cobayes ou des objets économiques.

    Je sais combien la connaissance scientifique du grand public augmente. Face à la diminution du nombre de médecins, il demande à être responsabilisé dans le domaine de la santé et à ne pas être traité comme ignorant pour être plus facilement exploité.

    Signé du Professeur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

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  • Vacciner tous les enfants dès 9 ans contre le papillomavirus !!!

    Pr Joyeux

    Un nouveau scandale en préparation

    Madame, Monsieur,

    Le Haut Conseil de Santé publique a publié un rapport qui préconise :
    • d’introduire massivement dans les écoles la vaccination contre les papillomavirus (HPV), pour essayer de lutter contre le cancer du col de l’utérus et d’autres infections sexuellement transmissibles ;
    • d’abaisser à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons.
    A mon avis, cela ne peut qu’être le résultat du lobbying des labos pharmaceutiques internationaux.

    Les 2 vaccins actuels appelés Gardasil et Cervarix, comportent des risques d’effets indésirables graves.

    Pire, ils vous cachent que ces vaccins ne protègent pas du tout à 100 % contre le cancer du col de l’utérus. La protection est à peine de 70 % !

    Cela veut dire qu’une personne vaccinée a toujours 30 % de risque d’attraper le cancer du col de l’utérus. Prendriez-vous un avion qui aurait 30 % de risque de tomber ?

    Moi pas.

    Les papillomavirus se transmettent par voie essentiellement sexuelle. Cela signifie que le vaccin ne devrait concerner que les populations à risque. Vacciner massivement les petites filles (et bientôt aussi les petits garçons) dans les écoles n’a aucun sens.

    C’est leur faire prendre un risque qui, dans beaucoup de cas, n’est pas justifié.

    C’est pourquoi je vous invite à signer notre pétition demandant un moratoire pour ces vaccins qui ne doivent pas être imposés dans les écoles, sans une information complète et transparente des parents.

    N’acceptez pas que les Autorités appliquent à votre enfant une mesure sanitaire qui n’est pas faite pour lui.

    Il y a de bonnes raisons d’être très inquiet.

    Même mon collègue le Professeur Guy Vallancien, urologue, chef de service à l’Institut Montsouris, membre de l’Académie Nationale de Médecine, qui est très favorable au vaccin, a lui même écrit :

    « L’analyse des données de pharmacovigilance a fait état de 26 675 effets indésirables graves dont 113 cas de sclérose en plaques (SEP). »

    « En France, 435 cas d’effets indésirables graves dont 135 de maladies auto-immunes incluant 15 cas de SEP ont été rapportés au réseau national des centres régionaux de pharmacovigilance et au laboratoire producteur. »

    Ces jeunes filles aujourd’hui invalides à vie ont pour beaucoup été vaccinées au Gardasil inutilement, alors qu’elles ne faisaient pas partie des populations à risque.

    Pour éviter que des centaines ou des milliers d’autres cas se produisent dans les années à venir, peut-être même dans votre famille, merci de signer notre pétition afin qu’il n’arrive pas la même complication à votre enfant.

    Pétition

    Ailleurs dans la monde

    En Autriche, suite au décès d’une jeune femme vaccinée au Gardasil, un rapport a été publié démontrant que l’efficacité à long terme d’une telle vaccination serait « tout à fait négligeable ». La ministre autrichienne de la Santé, le Dr Andrea Kdolsky, a décidé de retirer les vaccins anti-HPV du programme officiel, de ne plus les rembourser et de mettre plutôt l’accent sur le dépistage.

    L’Agence Européenne du Médicament (EMEA) a publié le 24 janvier 2008 le décès de femmes préalablement vaccinées par le Gardasil.

    C’est pourquoi, il est plus qu’imprudent de vouloir vacciner tous les enfants contre les papillomavirus de façon uniforme. C’est irresponsable.

    Mais nous ne serons entendus des autorités que si nous sommes des centaines de milliers à signer cette pétition.

    Dès février 2007, la télévision américaine annonçait par des interviews de graves complications et présentait des victimes du Gardasil vivantes et des photos de jeunes femmes décédées.

    Le Japon a décidé de ne plus recommander ce vaccin en 2013.

    En France, une plainte a été déposée par la jeune Océane Bourguignon et d’autres jeunes filles contre Sanofi, fabricant du vaccin. Elles ont subi de gravissimes atteintes au cerveau et à la moelle épinière après avoir été vaccinées.

    « On ne connaît pas son efficacité. On ne connaît pas sa dangerosité » a déclaré le Dr Jean-Paul Hamon, président de l’association des médecins de France, sur TF1, au sujet du Gardasil. (2)

    « La seule chose qui est efficace, c’est le frottis. Et là on préfère mettre 300 millions d’euros pour quelque chose dont on ne connaît pas l’efficacité, et dont on ne connaît pas la dangerosité », a-t-il insisté.

    C’est rigoureusement exact : si vous ou votre enfant craint d’être infectée par le papillomavirus (HPV), vous devez faire un frottis et, si des lésions précancéreuses sont trouvées, elles pourront être soignées.

    Mais surtout pas de vaccin. Cela pourrait même augmenter votre risque de cancer !!

    Deux analyses sur l’impact du vaccin chez des femmes déjà infectées avant la vaccination ont montré une hausse du nombre de lésions cervicales précancéreuses de haut grade dans le groupe Gardasil® par rapport au groupe placebo.

    Heureusement, la différence n’était pas significative. Mais cela prouve que de toutes façons le vaccin ne sert à rien si on est déjà infecté, ce qui n’est guère surprenant.

    Mais le pire, c’est qu’on n’est même pas sûr non plus de son efficacité à long terme chez les personnes non infectées au moment de la vaccination.

    La Haute Autorité de Santé écrit elle-même au sujet du Gardasil :

    « L’efficacité de la vaccination HPV sur l’incidence des lésions cancéreuses de la sphère génitale ne pourra être démontrée qu’avec un recul de plusieurs années du fait du délai d’évolution de ces pathologies. » (3)

    Voulez-vous que vos enfants soient des cobayes ?

    Il est totalement prématuré, et potentiellement dangereux, d’imposer une campagne de vaccination généralisée dans les écoles, surtout auprès d’enfants jeunes et très vulnérables.

    Voici ce qu’en disent les experts :

    Pour Abby Lippman, épidémiologiste de l’Université McGill au Canada, et spécialiste de la santé des femmes, ni le vaccin Gardasil ni son concurrent, le Cervarix, n’ont encore démontré leur efficacité pour prévenir le cancer du col de l’utérus.

    Selon ce spécialiste, « on ne sait pas encore si le vaccin permettra de réduire le nombre de cas de cancer ».

    Selon Lucija Tomljenovic, chercheuse à l’Université canadienne de la Colombie britannique, qui travaille sur les effets neurotoxiques des adjuvants vaccinaux :

    « Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et de plus il est porteur de risques. »

    Non seulement il peut provoquer des accidents. Mais vacciner à grande échelle les jeunes filles risque de faire reculer la pratique du frottis qui elle, sauve des vies à coup sûr. Car forcément, certaines se diront « je suis vaccinée, je suis protégée », ce qui est scientifiquement faux.

    C’est pourquoi plus de 700 de mes confrères médecins ont signé une pétition en mars 2014 demandant une Commission d’enquête parlementaire sur ce vaccin. Parmi eux se trouvait la pneumologue Irène Frachon qui avait révélé courageusement le scandale du Médiator.

    Ils ont déjà fait trembler le gouvernement. Maintenant ce sont les familles qui tremblent pour leurs enfants.

    Il ne tient qu’à nous maintenant de remporter la victoire en réunissant des millions de pétitions de citoyens, en faisant circuler ce message le plus possible sur Internet.

    Bien entendu, les lobbies du tout-pharmaceutique ne se laisseront pas faire. Nous les connaissons bien avec leurs énormes moyens publicitaires.

    La France représente donc un énorme marché chaque année. Les fabricants de vaccin sont donc prêts à tout pour faire croire que leur produit est sûr… et mettre la main sur le magot.

    Mais les vies de nos enfants valent plus que leurs profits.

    Faut-il faire courir le moindre risque à nos enfants pour une maladie facilement détectable et curable avec un suivi régulier chez un gynécologue ? Certainement pas.

    Avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, nous pouvons être des millions à dire NON A CES VACCINS dans les écoles, non à la vaccination des enfants de 9 ans avec un produit qui n’est peut-être pas efficace et qui est donc potentiellement dangereux voire mortel.

    Si nous sommes des millions, les Autorités ne pourront pas nous ignorer. Mais pour réaliser ce score, chacun de nous doit signer cette pétition immédiatement et transférer notre appel le plus largement possible.

    Pour notre amie le Dr Bérengère Arnal, gynécologue-obstétricien et maman d’Eve 13 ans, sa fille ne sera pas vaccinée contre le papillomavirus mais sera informée et régulièrement dépistée si nécessaire. Ce sont ces conseils que je donne à toutes les familles.

    Dans les populations à risque, le frottis tous les 3 ans a permis de réduire la mortalité par cancer du col de l’utérus de 70 %. Mais on cache cette information au grand public.

    L’objectif (très rentable !) des lobbies est évidemment de vacciner toutes les petites filles avant de vacciner dès que possible les garçons au même âge et de rendre obligatoire la vaccination en milieu scolaire.

    Nous ne sommes pas en accord avec ces objectifs que nous considérons comme de la “fausse santé publique”.

    Nous pouvons les faire reculer en disant NON à ces abus avec des millions de citoyens.

    Mais pour cela, il faut que chaque citoyen responsable fasse circuler cette pétition le plus largement possible. Et je compte donc sur vous pour signer, et pour l’envoyer au plus vite à tous vos contacts.

    Un grand merci d’avance, au nom de la santé de nos jeunes.

    Pr Henri Joyeux

    Pétition


  • Une nouvelle de l’écrivain Marc LEVY sur un conflit qui dure …

    Dissemblance

    – Depuis combien de temps sommes-nous là ?
    Aaron posa sa main sur la terre meuble et acheva de tracer un rond parfait.
    – Pourquoi tu ne me réponds pas ?
    Aaron se leva et marcha vers la porte, il en effleura le vernis, haussa les épaules et retourna s’asseoir contre le mur, à même le sol.
    – Fais comme tu voudras, nous sommes là tous les deux comme deux cons, mais si tu préfères te sentir encore plus seul, alors tais-toi.
    – On est entré dans cette pièce ensemble, tu dois savoir aussi bien que moi depuis combien de temps nous croupissons ici, alors pourquoi perds-tu ton temps à me le demander ?
    – Parce que justement, je n’arrive plus à me souvenir.
    – Et bien cherche, ça t’occupera.
    – Qui t’a dit que je m’ennuyais ?
    – Tu n’arrêtes pas de tourner en rond.
    – C’est toi qui viens encore de te lever, pas moi.
    Les deux hommes se regardèrent et Aaron effaça le rond pour entreprendre cette fois de tracer un carré.
    – Quand j’étais enfant, ma mère m’apprenait à compter les nuits d’absences de mon père. Les « dodos » comme elle les appelait, étaient devenu une unité de mesure pour moi. Je croyais que le temps se décomposait non pas en heures mais en dodos. C’est idiot non ?
    – Non, c’est toi qui est idiot…. Répondit Aaron. Tu as peur à ce point là ?
    – Pas toi ?
    – Je ne sais pas.
    – Tu ne sais pas depuis combien de temps nous sommes là, tu ne sais pas si tu as peur, tu sais quelque chose au moins ?
    – Je sais que nous sommes là depuis longtemps mais je n’arrive plus à compter les dodos Aaron.
    – Cela n’a pas grande importance, tu n’es plus un enfant à ce que je sache.
    – Tu le sais toi ?
    – Je me fiche complètement du nombre de tes dodos, j’aimerai mieux savoir combien de temps encore je vais devoir te supporter dans cet espace exigu.
    – Tu serais vraiment mieux tout seul ?
    – Pas si tu te taisais, tu m’empêches de réfléchir.
    – A quoi réfléchis-tu ?
    – A mon père. Moi aussi j’ai une absence ; je n’arrive pas à me souvenir de son visage. Ce matin encore, à mon réveil, ses traits étaient encore présent, mais depuis ta satanée histoire avec ta mère, je pense à lui et je n’arrive plus à me représenter ses yeux, est-ce qu’ils étaient bleus ou marrons ? Merde alors, on ne peut quand même pas oublier la couleur des yeux de son propre père ;
    – Moi si, je me demande si je les ai jamais vu les yeux de mon père.
    – Qu’est ce qu’il faisait dans la vie ?
    – Il était dans la milice.
    – Ce n’est pas un métier ça.
    – Peut-être mais c’est le seul que les hommes de mon village pouvaient trouver pour nous faire bouffer. Et toi, il faisait quoi ton père ?
    – Il était dans l’armée. Un haut gradé.
    – C’est pour ça que tu ne peux pas te souvenir de la couleur de ses yeux… à cause de la visière de sa casquette !
    – Je te préviens, si tu te fous de la gueule de mon père je te casse la tienne.
    – Je ne peux pas me foutre de sa gueule alors que tu ne te souviens même plus de la façon dont elle est faite, je n’ai aucune imagination.
    – Alors tais-toi.
    – Aaron ?
    – Qu’est ce qu’il y a encore ?
    – Pourquoi tu ne m’appelles jamais par mon prénom ?
    – Je n’avais pas remarqué.
    – Chez nous, on raconte que vous ne voulez pas connaître nos prénoms.
    – Quelle idée étrange, pourquoi ?
    – Chez nous, on dit qu’apprendre le prénom de quelqu’un c’est le connaître un peu, et il est plus difficile de tirer sur quelqu’un que l’on connaît un peu, c’est pas idiot comme raisonnement.
    – Alors c’est chez vous que l’on apprend ça, pas chez nous.
    – En tout cas, moi je connais ton prénom, toi tu n’as toujours pas prononcé le mien.
    – Tais-toi Saïd, tu m’épuises avec tes raisonnements idiots, aussi idiots que toi et tous les tiens.
    – Aaron ?
    – Mais qu’est-ce qu’il y a encore.
    – J’aurai voulu que tu connaisses ma grand-mère.
    – Ta mère, tes dodos, ton père, tu m’emmerdes avec ta famille Saïd.
    – Tiens, là, tu as dis mon prénom, tu vois, tu commences à me connaître un peu, c’est bien, ça me fait plaisir.
    – Et bien garde ton plaisir et tes mots et laisse-moi réfléchir en paix.
    – Tu ne veux pas savoir pourquoi j’aurai voulu que tu connaisses ma grand-mère ?
    – Je ne veux pas le savoir mais tu vas me le dire quand même, et si finalement je veux bien l’apprendre, peut-être qu’après tu accepteras enfin de te taire.
    – Et à quoi réfléchis-tu de si important pour avoir besoin d’un tel silence ?
    – A la façon de sortir d’ici !
    – Pourquoi, on n’est pas si mal ici, je veux bien le prendre moi ce repos. J’étais fatigué ces derniers temps tu sais.
    – C’est bien ce que je disais, tu es un parfait idiot Saïd, tu te contentes de ton sort.
    – Tu vois, c’est à cause d’une phrase comme celle-là que j’aurais voulu que tu connaisses ma grand-mère.
    – Je ne vois vraiment pas le rapport avec ta grand-mère.
    – Tu dis que tu luttes pour ton bonheur mais tu es incapable d’apprécier le moindre des moments que la vie t’offre. Cela faisait combien de jours que tu grelottais la nuit, suait le jour à en crever, que ton estomac gargouillait, que tu ne pouvais même plus déglutir tellement tu avais la gorge sèche ? Ici il ne fait ni froid ni chaud, nous n’avons ni soif ni faim, cela fait longtemps que nous n’avons pas été aussi tranquille, et toi tu veux déjà sortir ? C’est toi l’idiot.
    – Et qu’est ce que viens faire ta grand-mère là-dedans ?
    – Elle t’aurait appris la sagesse !
    – Venant de toi ça me fait bien rire, elle n’a pas du trouver le temps de te l’apprendre sa sagesse.
    – Je te préviens Aaron, si tu te moque de ma grand-mère, je te casse la gueule.
    – Laisse ta grand-mère en paix avec mon père là où ils sont, et arrête de gesticuler comme ça.
    – Pourquoi nous haïssons-nous Aaron ?
    – Ca aussi tu l’as oublié ?
    – Je sais pourquoi moi je te hais mais toi ?
    – Parce que tu es mon ennemi Saïd ? C’est ainsi.
    – Je ne t’ai jamais connu avant que nous soyons ennemis, ça cela ne te fait pas réfléchir.
    – Je n’avais pas besoin de te connaître, nous habitons une terre où nos dieux se haïssaient avant nous.
    – Ton Dieu et le mien, c’est le même, il change juste de nom quand il franchit la frontière.
    – De langue aussi, je te ferai remarquer, ça fait déjà une sacrée différence pour un seul homme non ?
    – Ce n’est pas un homme c’est un Dieu. Tu n’as pas répondu à ma question Aaron, c’est juste parce que tu ne connais pas la réponse et tu refuses d’avouer ton ignorance.
    – Vas-y, je t’écoute, toi qui sais tout.
    – Ce n’est pas moi qui savais, c’est ma grand-mère !
    – Et revoilà son aïeule ! Mais qu’est ce que j’ai bien pu faire à mon Dieu pour me retrouver ici avec lui ?
    – Je vais te le dire Aaron, nous nous haïssons à cause de nos différences. Nous ne parlons pas la même langue, nous ne portons pas les mêmes habits, nous ne fréquentions pas les même écoles, nous ne mangeons pas les même plats et nous ne disons pas les mêmes prières ; voilà, ça cela fait une sacrée liste de différence, c’est bien trop pour nous les hommes.
    – Tu n’y es pas du tout, je me fiche de ce que tu manges, de ce que tu dis, des vêtements que tu portes.
    – Alors pourquoi nous haïssons nous ? Ca aussi tu l’as oublié, comme la couleur des yeux de ton propre père ? Dis-le moi si tu t’en souviens, dis-le moi et je te jure sur mon Dieu que je me mettrai à réfléchir avec toi à la façon de te faire sortir d’ici !
    – Parce que tu as l’intention de rester peut-être ?
    – Je ne sais pas, je n’ai pas encore pris ma décision, mais ne t’écarte pas du sujet de notre conversation, c’est vraiment une sale manie que tu as.
    Aaron se leva et se mit à faire les cent pas, soixante dix pour être précis, soit exactement dix tours des quatre murs qui l’entouraient, et plus il réfléchissait à la question de Saïd plus il lui sembla que ses pas s’allongeaient, comme si la pièce s’agrandissait, effet de la fatigue probablement.
    – Et toi tu me dis que tu connais la solution ? dit-il en pointant un doigt vers Saïd.
    – Moi, je te dis que toi tu la connais, seulement, c’est difficile à avouer.
    Aaron fixa Saïd du regard.
    – Et si je te la dis cette raison, qu’est ce qui me prouve que tu m’aideras vraiment à sortir d’ici ?
    – Je ne t’ai pas fait une telle promesse, je me suis engagé à y réfléchir à tes côtés, et si le marché ne te semble pas suffisant, je te promets autre chose, mais c’est une surprise.
    – Quoi comme surprise ?
    Saïd croisa les bras et attendit qu’Aaron s’exécute.
    – Bon, tu veux savoir la vérité, je vais te la dire, mais je te préviens Saïd, si tu le répètes à qui que ce soit je t’arracherai la langue et jurerai que tu es un menteur.
    Saïd se contenta de sourire.
    – Et bien la vérité c’est que nous vous haïssons parce que nous avons peur de vous.
    – Pourquoi ? demanda calmement Saîd.
    – A cause de vos différences ! Parce qu’à force de vivre près de nous, vous déteignez sur nous, et nous devons protéger qui nous sommes, et d’où nous venons, voilà la vérité.
    – Tu sais d’où tu viens toi ?
    – Nous sommes l’une des plus vieilles tribus du monde !
    – Je ne vois pas à quoi ca peut bien servir de tuer ses enfants pour défendre ses origines quand on n’arrive même pas à se souvenir de la couleur des yeux de son propre père. A quoi cela te sert tout ce passé ? A mon tour de te faire un aveu Aaron, nous avons vécu avec la même trouille, votre peur nous a foutu la plus grande trouille de notre vie. On avait tellement mal au ventre de cette peur là qu’un jour on a pris des pierres pour vous les jeter à la gueule, pour vous faire disparaître et la peur avec. Vous nous avez tiré dessus, on a tiré nous aussi, mais on avait moins de balles que vous, ça coute drôlement cher les balles, on avait pas l’argent, alors on a fabriqué des bombes, et vous on les a fait péter à la figure. On les accrochait autour de nos ventres ces bombes qui ne coutent pas cher à fabriquer. C’était logique, du côté du ventre on ne sentait plus rien. L’escalade quoi !
    Aaron se laissa glisser le long du mur et recommença à tracer un trait dans la terre meuble. Sa main dessinait un triangle cette fois.
    – Tu ne dis rien ? Enchaîna Saïd.
    – Il n’y a pas grand-chose à ajouter. C’est l’escalade comme tu disais. Tu sais Saïd, il y a quelque chose que je n’ai jamais dit, une question que je n’ai jamais osé poser à personne.
    – Quelle question ?
    – Ca ne sert à rien, je ne vois pas comment toi tu pourrais avoir la réponse, personne ne la connait ici bas.
    – Aaron, ton père avait les yeux bleus !
    – Et comment tu sais ça toi qui ne la jamais connu ? demanda Aaron en s’emportant.
    – Parce que toi aussi tu as les yeux bleu, et sans aucun doute le regard de ton père, répondit Saïd.
    Aaron baissa lentement la tête et murmura :
    – Je crois qu’on nous a menti Saïd.
    – Qui nous a menti ?
    – Les hommes de Dieu.
    – Tu dis vraiment n’importe quoi, les hommes de Dieu ne mentent pas, ils sont là pour porter la vérité aux hommes.
    – Alors puisque tu es si sur de toi, dis-moi qui a crée l’homme ?
    – Dieu, évidemment ! répondit aussitôt Saïd en levant les yeux au ciel.
    – Et tu es d’accord aussi que Dieu a crée tous les hommes ?
    – Les hommes, les animaux, la mer, la terre et tout ce qui est en vie dessus, même les rochers, où veux-tu en venir avec tes questions aussi idiotes que toi ?
    – Si tu m’accordes que Dieu à crée tous les hommes, c’est donc bien lui qui a décidé qu’ils ne seraient pas tous de la même couleur, c’est même lui qui les a inventées ces couleurs, c’est aussi lui qui a décidé que nous ne parlerions pas tous la même langue, que nous inventerions des choses différentes, que nous ne nous habillerions pas tous de la même façon, que nous ne mangerions pas tous la même chose…
    – Pardonne-moi Aaron mais je ne vois toujours pas à quoi ça sert tout ce que tu es en train de dire.
    – Et bien réfléchis, tout ce que je viens de dire porte un nom Saïd.
    – Quel nom ?
    – La différence Saïd, la différence.
    – Tu veux dire que c’est Dieu qui a inventé la différence.
    – Oui, c’est exactement ce que je viens de dire. Si Dieu a inventé le monde il a aussi inventé la différence. Dieu n’est pas stupide, il ne peut pas demander aux hommes de détruire sen son nom ce qu’il a lui même crée !
    – N’empêche, tu m’accorderas qu’il s’est un peu compliqué la vie et la nôtre aussi, pourquoi a-t-il fait ça ? SI nous avions tous été identiques, tout serait plus facile.
    – Tout serait plus facile mais d’un ennui à vouloir mourir aussitôt né.
    – Tu ne crois pas que tu exagères un peu tout de même ?
    – Parce que tu vas me dire que depuis que nous sommes dans cette pièce aux murs uniformes et sans couleur, habillés dans la même tenue, nous ne nous ennuyons pas ? Tu vas me faire croire qu’en dépit d’un confort plus que relatif tu n’as pas rêvé de sortir d’ici. De retrouver tous les reliefs de ta vie, que soif ou pas, chaud ou froid, tu donnerais tout pour aller courir sur nos collines, revoir les rues de nos villes qui changent de couleur au fil de la journée ?
    – Je ne dis pas le contraire, mais en tout cas, je ne m’ennuie plus depuis que nous parlons.
    – Et de quoi parlons-nous depuis tout à l’heure Saïd, de quoi parlons nous qui éveille ton attention au point de te faire oublier la monotonie de ce lieu ?
    – De nos différences, avoua Saïd d’un souffle court qui témoignait de sa stupéfaction.
    Aaron et Saïd restèrent là à se regarder l’un l’autre, chacun réfléchissait. Aaron traçait un rectangle sur le sol, Saïd une ligne droite.
    – Tu crois que si nous révélions une telle chose à nos proches on réussirait à arrêter la guerre ? demanda Aaron.
    – J’en doute, mais ça vaut peut-être la peine d’y réfléchir.
    – C’est tout réfléchis, il faut aller leur dire que tous les hommes qui envoient leurs enfants s’entretuer, tous ceux qui disent que mourir au nom d’un Dieu ouvrira les portes d’un paradis promis, sont des menteurs. Ce sont eux qui trahissent le Dieu qu’ils servent, eux même qui dévoient leu foi en se servant des religions dont ils se servent pour nous manipuler.
    Nous avons trouvé la preuve irréfutable que Dieu n’a jamais voulut une telle chose.
    – Personne ne t’écoutera.
    – Si nous les laissons faire c’est nous qui deviendrons coupable le jour du jugement, nous la connaissons la vérité toi et moi. C’est Dieu qui a voulu la différence. Saïd, il faut aller leur dire, c’est une découverte aussi importante qu’un vaccin, plus peut-être.
    – Tu exagère encore Aaron !
    – Ah oui ? Dis-moi quel antidote pourrait sauver autant de vie que notre découverte. Nous aurons peut-être même un prix Nobel. Ne reste pas là immobile comme ça, mais lève-toi bon sang !
    Saïd ne bougeait pas, l’air grave, il regardait la porte.
    – Il doit bien y avoir un moyen de sortir d’ici, repris Aaron en regardant à son tour la porte.
    – Elle est ouverte, murmura Saïd. Et devant l’étonnement d’Aaron, il ajouta. Tout à l’heure quand je me suis levé, j’ai posé ma main dessus, tu te souviens de cela ? Et bien j’ai vu qu’elle était ouverte.
    – Et tu ne m’as rien dit salopard ?
    – Je t’avais dit que je n’avais pas encore pris ma décision de partir ou pas d’ici. En revanche, je t’avais promis de te t’aider à sortir et je viens de tenir ma promesse. Et je ne regrette rien ; si je te l’avais dit tout à l’heure, tu serais parti aussitôt et nous n’aurions pas eu cette conversation. Je n’aurais pas pu te connaître et tu n’aurais eu aucune chance d’avoir ton prix Nobel. Alors remercie-moi au lieu de t’énerver inutilement La porte est ouverte, tu peux partir maintenant si tu veux.
    – Tu dois venir avec moi, seul je n’y arriverai pas, pendant que je parlerai aux miens tu devras faire la même chose avec les tiens. Lève-toi Saïd.
    – Tu peux sortir si tu le souhaites, mais je doute que tu puisses aller dire quoi que ce soit à qui que ce soit..
    – Et pourquoi ?
    – Parce que moi, je n’ai pas perdu la mémoire comme toi, enfin, pour être honnête, elle m’est revenue pendant que tu rêvais à ton prix Nobel. Je sais la raison pour laquelle nous sommes ici Aaron.
    – Et cette raison pour la quelle nous sommes ici tous les deux nous interdit d’aller parler à nos frères ?
    – D’une certaine façon oui.
    – Alors dis-moi pourquoi, toi qui sait tout !
    – Parce que nous sommes morts Aaron ! Nous nous sommes tués l’un l’autre. Je suis incapable de te dire à quand cela remonte, j’ai perdu un peu la notion du temps depuis que nous sommes ici. Mais je me souviens très bien de la façon dont ça s’est passé. Je suis entré dans un de vos supermarchés, avec une de ces bombes qui ne coutent pas cher à fabriquer attachée à la ceinture. Oh, j’avais bien plus peur que je n’ai voulu te l’avouer tout à l’heure ; toi, tu gardais l’entrée dans ton bel uniforme de soldat, tu as vu la peur qui coulait sur mon front, tu as compris, tu as pris ton fusil et tu m’as tiré dessus. Tu te souviens maintenant ?
    – Et comment je suis mort moi ?
    – Tu avais visé au ventre imbécile !

    Aaron et Saïd restèrent là à se regarder l’un l’autre, chacun cette fois muré dans son silence. Et puis soudain, Aaron se mit à rire, quelques hoquets d’abord et puis un rire plus franc qui envahit la pièce, et l’écho de ce rire là gagna Saïd. S’ils avaient été encore en vie, l’air leur aurait manqué tant ils riaient tous deux, se tenant le ventre ; et pour la première fois depuis leur enfance, sans ressentir aucune douleur, aucun bien être non plus.
    – Tu te rends compte, dit Aaron, en se redressant. Si nous avions pu leur dire ce que nous savons maintenant.
    – Tu te rends compte, répondit Saïd, si nous l’avions découvert avant…. Allez, viens, je vois la lumière qui diminue, je pense que nous devons partir d’ici.
    Les deux hommes se levèrent et se dirigèrent vers la porte, le battant s’ouvrit sous la main d’Aaron. Ils firent quelques pas dans un long corridor, Saïd regarda Aaron.
    – Je crois que nous sommes séparés par une vitre !
    Aaron avança la main de côté et constata que Saïd avait dit vrai.
    – Cela veut peut-être dire que nous n’allons pas au même endroit Saïd.
    – Je suis heureux Aaron, maintenant tu dis mon prénom à chaque fois que tu me parles.
    – J’ai peur Saïd !
    – Toi le soldat, tu as peur ? Pourtant tu n’avais pas peur de mourir, tu l’as gueulé assez fort sur les champs de bataille.
    – Bien sur que si j’avais la trouille, mais à croire en Dieu, je croyais aussi à une vie après la vie.
    – Et bien on dirait que tu n’es pas trompé puisque nous nous parlons.
    -Ce que je voulais dire c’est que je croyais à une vie meilleure à celle que nous avons eu sur la terre, et là si je me suis trompé, ce sera pour l’éternité !
    – Qu’est ce que tu en sais de l’éternité Aaron ?
    – Rien, mais j’ai peur quand même.
    – Alors Aaron, n’ai plus peur, je crois que je viens d’apercevoir ma grand-mère au bout de mon couloir, ton père ne dois pas être très loin. Fais bonne route Aaron.
    – Toi aussi Saïd, fais bonne route.

    Aaron fit un geste de la main que Saïd lui retourna. Quelques pas plus tard, il se dit qu’il réciterait son prénom au moins une fois chaque jour, pour ne jamais l’oublier, où peut-être mieux encore, chaque soir avant d’aller se coucher, avant chaque « dodo », et Aaron sourit à cette seule pensée.

    Et puis, il ressentit une sorte de vide au fond de sa poitrine, presque comme un manque, il se dit alors qu’un prénom ne suffirait pas, il aurait bien aimé le connaître avant Saïd, peut-être que c’était important de le lui dire cela avant qu’ils ne se séparent à jamais. Il se retourna, mais Saïd avait déjà disparu. Aaron haussa les épaules, et son regret s’effaça quelques pas plus tard : après tout c’était idiot, avant, il n’aurait jamais eu le courage de faire un tel aveu, son père ne l’aurait jamais pardonné.


  • Une nouvelle de Marc LEVY sur un conflit qui dure …

    Dissemblance

    – Depuis combien de temps sommes-nous là ?
    Aaron posa sa main sur la terre meuble et acheva de tracer un rond parfait.
    – Pourquoi tu ne me réponds pas ?
    Aaron se leva et marcha vers la porte, il en effleura le vernis, haussa les épaules et retourna s’asseoir contre le mur, à même le sol.
    – Fais comme tu voudras, nous sommes là tous les deux comme deux cons, mais si tu préfères te sentir encore plus seul, alors tais-toi.
    – On est entré dans cette pièce ensemble, tu dois savoir aussi bien que moi depuis combien de temps nous croupissons ici, alors pourquoi perds-tu ton temps à me le demander ?
    – Parce que justement, je n’arrive plus à me souvenir.
    – Et bien cherche, ça t’occupera.
    – Qui t’a dit que je m’ennuyais ?
    – Tu n’arrêtes pas de tourner en rond.
    – C’est toi qui viens encore de te lever, pas moi.
    Les deux hommes se regardèrent et Aaron effaça le rond pour entreprendre cette fois de tracer un carré.
    – Quand j’étais enfant, ma mère m’apprenait à compter les nuits d’absences de mon père. Les « dodos » comme elle les appelait, étaient devenu une unité de mesure pour moi. Je croyais que le temps se décomposait non pas en heures mais en dodos. C’est idiot non ?
    – Non, c’est toi qui est idiot…. Répondit Aaron. Tu as peur à ce point là ?
    – Pas toi ?
    – Je ne sais pas.
    – Tu ne sais pas depuis combien de temps nous sommes là, tu ne sais pas si tu as peur, tu sais quelque chose au moins ?
    – Je sais que nous sommes là depuis longtemps mais je n’arrive plus à compter les dodos Aaron.
    – Cela n’a pas grande importance, tu n’es plus un enfant à ce que je sache.
    – Tu le sais toi ?
    – Je me fiche complètement du nombre de tes dodos, j’aimerai mieux savoir combien de temps encore je vais devoir te supporter dans cet espace exigu.
    – Tu serais vraiment mieux tout seul ?
    – Pas si tu te taisais, tu m’empêches de réfléchir.
    – A quoi réfléchis-tu ?
    – A mon père. Moi aussi j’ai une absence ; je n’arrive pas à me souvenir de son visage. Ce matin encore, à mon réveil, ses traits étaient encore présent, mais depuis ta satanée histoire avec ta mère, je pense à lui et je n’arrive plus à me représenter ses yeux, est-ce qu’ils étaient bleus ou marrons ? Merde alors, on ne peut quand même pas oublier la couleur des yeux de son propre père ;
    – Moi si, je me demande si je les ai jamais vu les yeux de mon père.
    – Qu’est ce qu’il faisait dans la vie ?
    – Il était dans la milice.
    – Ce n’est pas un métier ça.
    – Peut-être mais c’est le seul que les hommes de mon village pouvaient trouver pour nous faire bouffer. Et toi, il faisait quoi ton père ?
    – Il était dans l’armée. Un haut gradé.
    – C’est pour ça que tu ne peux pas te souvenir de la couleur de ses yeux… à cause de la visière de sa casquette !
    – Je te préviens, si tu te fous de la gueule de mon père je te casse la tienne.
    – Je ne peux pas me foutre de sa gueule alors que tu ne te souviens même plus de la façon dont elle est faite, je n’ai aucune imagination.
    – Alors tais-toi.
    – Aaron ?
    – Qu’est ce qu’il y a encore ?
    – Pourquoi tu ne m’appelles jamais par mon prénom ?
    – Je n’avais pas remarqué.
    – Chez nous, on raconte que vous ne voulez pas connaître nos prénoms.
    – Quelle idée étrange, pourquoi ?
    – Chez nous, on dit qu’apprendre le prénom de quelqu’un c’est le connaître un peu, et il est plus difficile de tirer sur quelqu’un que l’on connaît un peu, c’est pas idiot comme raisonnement.
    – Alors c’est chez vous que l’on apprend ça, pas chez nous.
    – En tout cas, moi je connais ton prénom, toi tu n’as toujours pas prononcé le mien.
    – Tais-toi Saïd, tu m’épuises avec tes raisonnements idiots, aussi idiots que toi et tous les tiens.
    – Aaron ?
    – Mais qu’est-ce qu’il y a encore.
    – J’aurai voulu que tu connaisses ma grand-mère.
    – Ta mère, tes dodos, ton père, tu m’emmerdes avec ta famille Saïd.
    – Tiens, là, tu as dis mon prénom, tu vois, tu commences à me connaître un peu, c’est bien, ça me fait plaisir.
    – Et bien garde ton plaisir et tes mots et laisse-moi réfléchir en paix.
    – Tu ne veux pas savoir pourquoi j’aurai voulu que tu connaisses ma grand-mère ?
    – Je ne veux pas le savoir mais tu vas me le dire quand même, et si finalement je veux bien l’apprendre, peut-être qu’après tu accepteras enfin de te taire.
    – Et à quoi réfléchis-tu de si important pour avoir besoin d’un tel silence ?
    – A la façon de sortir d’ici !
    – Pourquoi, on n’est pas si mal ici, je veux bien le prendre moi ce repos. J’étais fatigué ces derniers temps tu sais.
    – C’est bien ce que je disais, tu es un parfait idiot Saïd, tu te contentes de ton sort.
    – Tu vois, c’est à cause d’une phrase comme celle-là que j’aurais voulu que tu connaisses ma grand-mère.
    – Je ne vois vraiment pas le rapport avec ta grand-mère.
    – Tu dis que tu luttes pour ton bonheur mais tu es incapable d’apprécier le moindre des moments que la vie t’offre. Cela faisait combien de jours que tu grelottais la nuit, suait le jour à en crever, que ton estomac gargouillait, que tu ne pouvais même plus déglutir tellement tu avais la gorge sèche ? Ici il ne fait ni froid ni chaud, nous n’avons ni soif ni faim, cela fait longtemps que nous n’avons pas été aussi tranquille, et toi tu veux déjà sortir ? C’est toi l’idiot.
    – Et qu’est ce que viens faire ta grand-mère là-dedans ?
    – Elle t’aurait appris la sagesse !
    – Venant de toi ça me fait bien rire, elle n’a pas du trouver le temps de te l’apprendre sa sagesse.
    – Je te préviens Aaron, si tu te moque de ma grand-mère, je te casse la gueule.
    – Laisse ta grand-mère en paix avec mon père là où ils sont, et arrête de gesticuler comme ça.
    – Pourquoi nous haïssons-nous Aaron ?
    – Ca aussi tu l’as oublié ?
    – Je sais pourquoi moi je te hais mais toi ?
    – Parce que tu es mon ennemi Saïd ? C’est ainsi.
    – Je ne t’ai jamais connu avant que nous soyons ennemis, ça cela ne te fait pas réfléchir.
    – Je n’avais pas besoin de te connaître, nous habitons une terre où nos dieux se haïssaient avant nous.
    – Ton Dieu et le mien, c’est le même, il change juste de nom quand il franchit la frontière.
    – De langue aussi, je te ferai remarquer, ça fait déjà une sacrée différence pour un seul homme non ?
    – Ce n’est pas un homme c’est un Dieu. Tu n’as pas répondu à ma question Aaron, c’est juste parce que tu ne connais pas la réponse et tu refuses d’avouer ton ignorance.
    – Vas-y, je t’écoute, toi qui sais tout.
    – Ce n’est pas moi qui savais, c’est ma grand-mère !
    – Et revoilà son aïeule ! Mais qu’est ce que j’ai bien pu faire à mon Dieu pour me retrouver ici avec lui ?
    – Je vais te le dire Aaron, nous nous haïssons à cause de nos différences. Nous ne parlons pas la même langue, nous ne portons pas les mêmes habits, nous ne fréquentions pas les même écoles, nous ne mangeons pas les même plats et nous ne disons pas les mêmes prières ; voilà, ça cela fait une sacrée liste de différence, c’est bien trop pour nous les hommes.
    – Tu n’y es pas du tout, je me fiche de ce que tu manges, de ce que tu dis, des vêtements que tu portes.
    – Alors pourquoi nous haïssons nous ? Ca aussi tu l’as oublié, comme la couleur des yeux de ton propre père ? Dis-le moi si tu t’en souviens, dis-le moi et je te jure sur mon Dieu que je me mettrai à réfléchir avec toi à la façon de te faire sortir d’ici !
    – Parce que tu as l’intention de rester peut-être ?
    – Je ne sais pas, je n’ai pas encore pris ma décision, mais ne t’écarte pas du sujet de notre conversation, c’est vraiment une sale manie que tu as.
    Aaron se leva et se mit à faire les cent pas, soixante dix pour être précis, soit exactement dix tours des quatre murs qui l’entouraient, et plus il réfléchissait à la question de Saïd plus il lui sembla que ses pas s’allongeaient, comme si la pièce s’agrandissait, effet de la fatigue probablement.
    – Et toi tu me dis que tu connais la solution ? dit-il en pointant un doigt vers Saïd.
    – Moi, je te dis que toi tu la connais, seulement, c’est difficile à avouer.
    Aaron fixa Saïd du regard.
    – Et si je te la dis cette raison, qu’est ce qui me prouve que tu m’aideras vraiment à sortir d’ici ?
    – Je ne t’ai pas fait une telle promesse, je me suis engagé à y réfléchir à tes côtés, et si le marché ne te semble pas suffisant, je te promets autre chose, mais c’est une surprise.
    – Quoi comme surprise ?
    Saïd croisa les bras et attendit qu’Aaron s’exécute.
    – Bon, tu veux savoir la vérité, je vais te la dire, mais je te préviens Saïd, si tu le répètes à qui que ce soit je t’arracherai la langue et jurerai que tu es un menteur.
    Saïd se contenta de sourire.
    – Et bien la vérité c’est que nous vous haïssons parce que nous avons peur de vous.
    – Pourquoi ? demanda calmement Saîd.
    – A cause de vos différences ! Parce qu’à force de vivre près de nous, vous déteignez sur nous, et nous devons protéger qui nous sommes, et d’où nous venons, voilà la vérité.
    – Tu sais d’où tu viens toi ?
    – Nous sommes l’une des plus vieilles tribus du monde !
    – Je ne vois pas à quoi ca peut bien servir de tuer ses enfants pour défendre ses origines quand on n’arrive même pas à se souvenir de la couleur des yeux de son propre père. A quoi cela te sert tout ce passé ? A mon tour de te faire un aveu Aaron, nous avons vécu avec la même trouille, votre peur nous a foutu la plus grande trouille de notre vie. On avait tellement mal au ventre de cette peur là qu’un jour on a pris des pierres pour vous les jeter à la gueule, pour vous faire disparaître et la peur avec. Vous nous avez tiré dessus, on a tiré nous aussi, mais on avait moins de balles que vous, ça coute drôlement cher les balles, on avait pas l’argent, alors on a fabriqué des bombes, et vous on les a fait péter à la figure. On les accrochait autour de nos ventres ces bombes qui ne coutent pas cher à fabriquer. C’était logique, du côté du ventre on ne sentait plus rien. L’escalade quoi !
    Aaron se laissa glisser le long du mur et recommença à tracer un trait dans la terre meuble. Sa main dessinait un triangle cette fois.
    – Tu ne dis rien ? Enchaîna Saïd.
    – Il n’y a pas grand-chose à ajouter. C’est l’escalade comme tu disais. Tu sais Saïd, il y a quelque chose que je n’ai jamais dit, une question que je n’ai jamais osé poser à personne.
    – Quelle question ?
    – Ca ne sert à rien, je ne vois pas comment toi tu pourrais avoir la réponse, personne ne la connait ici bas.
    – Aaron, ton père avait les yeux bleus !
    – Et comment tu sais ça toi qui ne la jamais connu ? demanda Aaron en s’emportant.
    – Parce que toi aussi tu as les yeux bleu, et sans aucun doute le regard de ton père, répondit Saïd.
    Aaron baissa lentement la tête et murmura :
    – Je crois qu’on nous a menti Saïd.
    – Qui nous a menti ?
    – Les hommes de Dieu.
    – Tu dis vraiment n’importe quoi, les hommes de Dieu ne mentent pas, ils sont là pour porter la vérité aux hommes.
    – Alors puisque tu es si sur de toi, dis-moi qui a crée l’homme ?
    – Dieu, évidemment ! répondit aussitôt Saïd en levant les yeux au ciel.
    – Et tu es d’accord aussi que Dieu a crée tous les hommes ?
    – Les hommes, les animaux, la mer, la terre et tout ce qui est en vie dessus, même les rochers, où veux-tu en venir avec tes questions aussi idiotes que toi ?
    – Si tu m’accordes que Dieu à crée tous les hommes, c’est donc bien lui qui a décidé qu’ils ne seraient pas tous de la même couleur, c’est même lui qui les a inventées ces couleurs, c’est aussi lui qui a décidé que nous ne parlerions pas tous la même langue, que nous inventerions des choses différentes, que nous ne nous habillerions pas tous de la même façon, que nous ne mangerions pas tous la même chose…
    – Pardonne-moi Aaron mais je ne vois toujours pas à quoi ça sert tout ce que tu es en train de dire.
    – Et bien réfléchis, tout ce que je viens de dire porte un nom Saïd.
    – Quel nom ?
    – La différence Saïd, la différence.
    – Tu veux dire que c’est Dieu qui a inventé la différence.
    – Oui, c’est exactement ce que je viens de dire. Si Dieu a inventé le monde il a aussi inventé la différence. Dieu n’est pas stupide, il ne peut pas demander aux hommes de détruire sen son nom ce qu’il a lui même crée !
    – N’empêche, tu m’accorderas qu’il s’est un peu compliqué la vie et la nôtre aussi, pourquoi a-t-il fait ça ? SI nous avions tous été identiques, tout serait plus facile.
    – Tout serait plus facile mais d’un ennui à vouloir mourir aussitôt né.
    – Tu ne crois pas que tu exagères un peu tout de même ?
    – Parce que tu vas me dire que depuis que nous sommes dans cette pièce aux murs uniformes et sans couleur, habillés dans la même tenue, nous ne nous ennuyons pas ? Tu vas me faire croire qu’en dépit d’un confort plus que relatif tu n’as pas rêvé de sortir d’ici. De retrouver tous les reliefs de ta vie, que soif ou pas, chaud ou froid, tu donnerais tout pour aller courir sur nos collines, revoir les rues de nos villes qui changent de couleur au fil de la journée ?
    – Je ne dis pas le contraire, mais en tout cas, je ne m’ennuie plus depuis que nous parlons.
    – Et de quoi parlons-nous depuis tout à l’heure Saïd, de quoi parlons nous qui éveille ton attention au point de te faire oublier la monotonie de ce lieu ?
    – De nos différences, avoua Saïd d’un souffle court qui témoignait de sa stupéfaction.
    Aaron et Saïd restèrent là à se regarder l’un l’autre, chacun réfléchissait. Aaron traçait un rectangle sur le sol, Saïd une ligne droite.
    – Tu crois que si nous révélions une telle chose à nos proches on réussirait à arrêter la guerre ? demanda Aaron.
    – J’en doute, mais ça vaut peut-être la peine d’y réfléchir.
    – C’est tout réfléchis, il faut aller leur dire que tous les hommes qui envoient leurs enfants s’entretuer, tous ceux qui disent que mourir au nom d’un Dieu ouvrira les portes d’un paradis promis, sont des menteurs. Ce sont eux qui trahissent le Dieu qu’ils servent, eux même qui dévoient leu foi en se servant des religions dont ils se servent pour nous manipuler.
    Nous avons trouvé la preuve irréfutable que Dieu n’a jamais voulut une telle chose.
    – Personne ne t’écoutera.
    – Si nous les laissons faire c’est nous qui deviendrons coupable le jour du jugement, nous la connaissons la vérité toi et moi. C’est Dieu qui a voulu la différence. Saïd, il faut aller leur dire, c’est une découverte aussi importante qu’un vaccin, plus peut-être.
    – Tu exagère encore Aaron !
    – Ah oui ? Dis-moi quel antidote pourrait sauver autant de vie que notre découverte. Nous aurons peut-être même un prix Nobel. Ne reste pas là immobile comme ça, mais lève-toi bon sang !
    Saïd ne bougeait pas, l’air grave, il regardait la porte.
    – Il doit bien y avoir un moyen de sortir d’ici, repris Aaron en regardant à son tour la porte.
    – Elle est ouverte, murmura Saïd. Et devant l’étonnement d’Aaron, il ajouta. Tout à l’heure quand je me suis levé, j’ai posé ma main dessus, tu te souviens de cela ? Et bien j’ai vu qu’elle était ouverte.
    – Et tu ne m’as rien dit salopard ?
    – Je t’avais dit que je n’avais pas encore pris ma décision de partir ou pas d’ici. En revanche, je t’avais promis de te t’aider à sortir et je viens de tenir ma promesse. Et je ne regrette rien ; si je te l’avais dit tout à l’heure, tu serais parti aussitôt et nous n’aurions pas eu cette conversation. Je n’aurais pas pu te connaître et tu n’aurais eu aucune chance d’avoir ton prix Nobel. Alors remercie-moi au lieu de t’énerver inutilement La porte est ouverte, tu peux partir maintenant si tu veux.
    – Tu dois venir avec moi, seul je n’y arriverai pas, pendant que je parlerai aux miens tu devras faire la même chose avec les tiens. Lève-toi Saïd.
    – Tu peux sortir si tu le souhaites, mais je doute que tu puisses aller dire quoi que ce soit à qui que ce soit..
    – Et pourquoi ?
    – Parce que moi, je n’ai pas perdu la mémoire comme toi, enfin, pour être honnête, elle m’est revenue pendant que tu rêvais à ton prix Nobel. Je sais la raison pour laquelle nous sommes ici Aaron.
    – Et cette raison pour la quelle nous sommes ici tous les deux nous interdit d’aller parler à nos frères ?
    – D’une certaine façon oui.
    – Alors dis-moi pourquoi, toi qui sait tout !
    – Parce que nous sommes morts Aaron ! Nous nous sommes tués l’un l’autre. Je suis incapable de te dire à quand cela remonte, j’ai perdu un peu la notion du temps depuis que nous sommes ici. Mais je me souviens très bien de la façon dont ça s’est passé. Je suis entré dans un de vos supermarchés, avec une de ces bombes qui ne coutent pas cher à fabriquer attachée à la ceinture. Oh, j’avais bien plus peur que je n’ai voulu te l’avouer tout à l’heure ; toi, tu gardais l’entrée dans ton bel uniforme de soldat, tu as vu la peur qui coulait sur mon front, tu as compris, tu as pris ton fusil et tu m’as tiré dessus. Tu te souviens maintenant ?
    – Et comment je suis mort moi ?
    – Tu avais visé au ventre imbécile !

    Aaron et Saïd restèrent là à se regarder l’un l’autre, chacun cette fois muré dans son silence. Et puis soudain, Aaron se mit à rire, quelques hoquets d’abord et puis un rire plus franc qui envahit la pièce, et l’écho de ce rire là gagna Saïd. S’ils avaient été encore en vie, l’air leur aurait manqué tant ils riaient tous deux, se tenant le ventre ; et pour la première fois depuis leur enfance, sans ressentir aucune douleur, aucun bien être non plus.
    – Tu te rends compte, dit Aaron, en se redressant. Si nous avions pu leur dire ce que nous savons maintenant.
    – Tu te rends compte, répondit Saïd, si nous l’avions découvert avant…. Allez, viens, je vois la lumière qui diminue, je pense que nous devons partir d’ici.
    Les deux hommes se levèrent et se dirigèrent vers la porte, le battant s’ouvrit sous la main d’Aaron. Ils firent quelques pas dans un long corridor, Saïd regarda Aaron.
    – Je crois que nous sommes séparés par une vitre !
    Aaron avança la main de côté et constata que Saïd avait dit vrai.
    – Cela veut peut-être dire que nous n’allons pas au même endroit Saïd.
    – Je suis heureux Aaron, maintenant tu dis mon prénom à chaque fois que tu me parles.
    – J’ai peur Saïd !
    – Toi le soldat, tu as peur ? Pourtant tu n’avais pas peur de mourir, tu l’as gueulé assez fort sur les champs de bataille.
    – Bien sur que si j’avais la trouille, mais à croire en Dieu, je croyais aussi à une vie après la vie.
    – Et bien on dirait que tu n’es pas trompé puisque nous nous parlons.
    -Ce que je voulais dire c’est que je croyais à une vie meilleure à celle que nous avons eu sur la terre, et là si je me suis trompé, ce sera pour l’éternité !
    – Qu’est ce que tu en sais de l’éternité Aaron ?
    – Rien, mais j’ai peur quand même.
    – Alors Aaron, n’ai plus peur, je crois que je viens d’apercevoir ma grand-mère au bout de mon couloir, ton père ne dois pas être très loin. Fais bonne route Aaron.
    – Toi aussi Saïd, fais bonne route.

    Aaron fit un geste de la main que Saïd lui retourna. Quelques pas plus tard, il se dit qu’il réciterait son prénom au moins une fois chaque jour, pour ne jamais l’oublier, où peut-être mieux encore, chaque soir avant d’aller se coucher, avant chaque « dodo », et Aaron sourit à cette seule pensée.

    Et puis, il ressentit une sorte de vide au fond de sa poitrine, presque comme un manque, il se dit alors qu’un prénom ne suffirait pas, il aurait bien aimé le connaître avant Saïd, peut-être que c’était important de le lui dire cela avant qu’ils ne se séparent à jamais. Il se retourna, mais Saïd avait déjà disparu. Aaron haussa les épaules, et son regret s’effaça quelques pas plus tard : après tout c’était idiot, avant, il n’aurait jamais eu le courage de faire un tel aveu, son père ne l’aurait jamais pardonné.


  • Une récente étude démontre la présence « extrêmement élevée » d’aluminium dans le cerveau des patients autistes


    Souce Fawkes News

    Cette étude a été publiée dans le « Journal of Trace Elements in Medicine and Biology »

    Cette étude a été publiée le 26 novembre 2017 et a été relayée par Science Direct, plateforme de publications scientifiques revues par des pairs. Elle implique plusieurs scientifiques de l’Université de Keele et du Département de Neuropathologie du Kings College Hospital de Londres.

    Les conclusions de cette étude sont très claires et montrent sans ambiguïté que des quantités très importantes d’aluminium ont été trouvées dans diverses parties du cerveau de patients autistes. Cette découverte est une première et risque bien de jeter un pavé dans la marre de la communauté scientifique vaccinale qui prétend que l’aluminium vaccinal ne reste pas dans le corps humain et ne présente aucun danger pour l’homme (alors même que des études montrent que l’aluminium contenu dans la plupart des déodorants peut favoriser le cancer du sein. Voici une traduction de l’abstract de cette étude anglaise :

    « Le trouble du spectre de l’autisme est un trouble neurodéveloppemental d’étiologie inconnue. On suspecte qu’une susceptibilité génétique et des facteurs environnementaux, y compris dans les dernières toxines environnementales, sont impliquées dans la survenue de ce trouble. L’exposition humaine à la toxine environnementale qu’est l’aluminium a été liée, de façon provisoire, à un trouble du spectre autistique.

    Dans notre étude, nous avons utilisé la spectrométrie d’absorption atomique avec four graphite à chauffe transversale pour mesurer, pour la première fois, la teneur en aluminium du tissu cérébral provenant de donneurs présentant un diagnostic d’autisme.

    Nous avons également utilisé un fluor sélectif pour l’aluminium pour identifier l’aluminium dans le tissu cérébral en utilisant la microscopie à fluorescence. La teneur en aluminium du tissu cérébral des patients autistes était constamment élevée.

    La teneur moyenne en aluminium (écart-type) des 5 individus de chaque lobe était de 3,82 (5,42), de 2,30 (2,00), de 2,79 (4,05) et de 3,82 (5,17) μg / g de poids sec. pour les lobes occipitaux, frontaux, temporaux et pariétaux respectivement.

    Ce sont les valeurs les plus élevées pour de l’aluminium dans le tissu cérébral humain jamais enregistrées et on doit se demander pourquoi, par exemple, la teneur en aluminium du lobe occipital d’un garçon de 15 ans serait de 8,74 (11,59) μg / g de poids sec. ?

    La microscopie à fluorescence sélective de l’aluminium a été utilisée pour identifier l’aluminium dans le tissu cérébral chez 10 donneurs. Alors que l’aluminium a été identifié dans des neurones, il semblait être présent de manière intracellulaire dans les cellules de type microglies et d’autres cellules inflammatoires non neuronales dans les méninges, le système vasculaire, la matière blanche et grise.

    La prééminence d’aluminium intracellulaire associé à des cellules non neuronales était une observation remarquable dans le tissu cérébral autistique et peut offrir des indices quant à l’origine de l’aluminium présent dans le cerveau et peut constituer un rôle présumé dans le trouble du spectre autistique. »

    Comme toujours, ce genre d’étude n’est jamais financée par les autorités de santé publiques ou des laboratoires pharmaceutiques. Celle-ci a fait l’objet d’une subvention de l’Institut de recherche sur la sécurité médicale des enfants (CMSRI), une fondation de recherche à but non lucratif basée à Washington DC.

    L’année dernière, l’université de Keele a également publié une étude démontrant que l’aluminium joue un rôle majeur dans le déclin cognitif et la maladie Alzheimer.

    Pourtant, cela n’a pas empêché l’Assemblée Nationale de valider le mois dernier l’obligation vaccinale pour 11 vaccins à partir de l’année prochaine malgré une certaine mobilité citoyenne avec plus de 660 000 signatures contre ce projet.


  • Virus ZIKA, de qui se moque-ton ?

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    Une personne effectue des analyses de sang à la recherche du virus Zika dans un laboratoire à Guatemala, le 2 février 2016 afp.com/JOHAN ORDONEZ

    Plusieurs sites ont relayé cette information, mais pas un de nos médias n’en parle

    http://lesmoutonsenrages.fr/2016/01/31/le-virus-zika-vendu-en-ligne-et-autres-petites-infos-interessantes-sur-ce-virus/

    Achetez le virus Zika en ligne pour seulement 430$

    http://www.ddmagazine.com/201602033018/un-lien-possible-entre-virus-zika-et-manipulation-genetique-des-moustiques.html

    http://wisowassim.blogspot.fr/2016/01/le-virus-zika-vendu-en-ligne-et-autres.html

    http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2016/01/zika-ajoutez-au-panier-en-vente-libre-sur-la-toile.html

    Les souches du virus Zika sont en vente libre sur Internet !

    Et portant l’information est facile à vérifier, il suffit d’aller sur le site de la société qui le commercialise.

    Pour un achat en € suivre un de ces deux liens

    Achat virus Zika
    http://www.lgcstandards-atcc.org/Products/All/VR-84.aspx?geo_country=fr

    http://www.atcc.org/Products/All/VR-84.aspx

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    Cliquer l’image pour agrandir. Capture d’écran

    La société ATTC, dont le slogan est « L’essentiel pour la recherche scientifique sur la vie » vend très ouvertement et officiellement la mort.

    Oui, il faut savoir que l’on vend des virus ouvertement sur le Web depuis longtemps. Tout comme on vend des armes ou des médicaments ou tout ce qui caractérise l’emprise psychopathique de notre époque.

    Maintenant une question intéressante à qui appartient le brevet du Zika? Parce que, oui, les virus sont des propriétés. Souvenez-vous que, de nos jours, on brevète le vivant. À qui appartient le « brevet » du Zika?

    Si vous allez sur le site de la société ATTC et que vous cliquez sur l’onglet « History » vous y apprendrez qu’il appartient Fondation Rockefeller! Comme on peut le voir sur la photo ci-dessus.

    Vous vous souvenez de David Rockefeller qui fait partie de cette clique « qui considèrent que les humains sont une plaie sur terre » mais pas eux-mêmes bien sûr !
    Cliquez ce lien.
    https://saint-andre-d-olerargues.com/wpdossier/blog/2014/09/29/ces-elites-qui-considerent-que-les-humains-sont-une-plaie-sur-terre/

    Quelles sont les conséquences ?

    Premièrement

    Les femmes enceintes qui sont infectées mettent au monde des enfants atteints de microcéphalie (réduction significative du volume crânien des enfants). Au final ça fera de bons travailleurs pas très malins. Super !
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    La Brésilienne Solange Ferreira est l’une des centaines de femmes infectées par le virus Zika. Elle a donné naissance à Jose, atteint de microcéphalie. Photo : PC/Felipe Dana

    Deuxièmement

    Pour lutter contre la propagation du virus il faut détruire les moustiques. Le Brésil a prévu la mobilisation de plus de 500 000 militaires pour démoustiquer après le Carnaval. Ça va consister à épandre des tonnes d’insecticide, pour le plus grand bien des populations !

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    Troisièmement

    Verrons-nous bientôt le « vaccin sauveur » déferler sur les marchés? Evidemment ! Vous imaginez les milliards de Dollars que cela représente !

    Mais il ne sera pas sur le marché trop tôt, il faut que l’épidémie s’étende et que l’angoisse des populations augmentent pour qu’elles soient prêtes à être vaccinées. On y ajoutera quelques aditifs qui vont bien … !

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    L’EXPRESS en parle ce matin 06 février 2016 avec une certaine ironie

    Par Victor Garcia, publié le 06/02/2016 dans L’EXPRESS

    Pas une semaine ne se passe sans qu’une nouvelle théorie du complot ne soit massivement partagée sur les réseaux sociaux. Après l’étonnant et préoccupant retour en grâce -principalement sur le Web américain- de la théorie selon laquelle la Terre est plate, c’est au tour de l’épidémie du virus Zika d’être au centre du viseur conspirationniste.

    Comment expliquer qu’un virus détecté la première fois en avril 1947 chez un singe macaque rhésus utilisé comme sentinelle lors d’une étude de la fièvre jaune dans la forêt Zika, au bord du lac Victoria se développe aujourd’hui de façon exponentiel au Brésil, précisément dans la zone ou a été lâché massivement un moustique transgénique sensé éradiquer la Dengue.
    Zika2
    Zone de la dissémination du moustique OGM _______ Zone de propagation du virus Zika
    Le journal « Libération » nous explique que ce n’est pas exactement au même endroit, ce serait à 300 km à côté. Peut-être. Cependant c’est bien pour les deux cas à la pointe Est du Brésil. Coïncidence ?

    Une autre coïncidence troublante

    Il est intéressant de noter que l’explosion des microcéphalies au Brésil en fin d’année 2015 coïncide avec l’introduction du vaccin Tdap (obligatoire pour les femmes enceintes et classé comme étant dangereux par la FDA) au Brésil, au début de l’année 2015.
    Est-ce que l’un cacherait l’autre et réciproquement ?

    Sans crier à la « théorie du complot » il faut rester vigilent. On a déjà vu pire !

    Ah ! Zika, il a bon dos !

    Voir aussi cette info : Virus Zika ou insecticide Monsanto ?


  • Prévention du cancer. Qui cela dérange-t-il ?

    A Genez

    Deux médecins écrivent au président de la république

    Mais à quoi ça va servir ? Réponse : à rien !

    Le Docteur Pierre Delahousse
    Le Docteur Jacques Lacaze

    S’adressent solennellement à :

    Monsieur le Président de la République
    Monsieur le Premier Ministre
    Madame le Ministre de la Santé

    Copie à Monsieur le Directeur Général de la Santé

    Roubaix et Loos-en-Gohelle le mardi 10 mars 2015.

    Monsieur le Président,
    Madame et Messieurs les ministres

    Nous sommes de simples médecins généralistes retraités. Nous avons collaboré avec André Gernez, qui a été médecin radiologue à Roubaix, ancien chercheur à la Fondation Curie de Paris, ancien chef de travaux au CHR de Lille et qui a passé sa vie à faire des recherches en biologie et médecine.

    Très scrupuleusement, André Gernez a envoyé tous ses travaux aux académies, des Sciences, de Médecine et Vétérinaire, qui ont pour fonction essentielle de conseiller les responsables du Gouvernement de la République. Il a, bien entendu, également adressé ses propositions et travaux aux autorités médicales nationales (et internationales) et politiques, qui se sont succédé au gouvernement, durant cette longue période. Ses travaux et propositions sont donc parfaitement connus. D’ailleurs, ils ont à chaque publication retenu l’attention, en particulier, de nombreux académiciens et professionnels, qui se sont manifesté par des commentaires élogieux et très élogieux, en souhaitant que des recherches fondamentales et cliniques valident ces propositions et permettent un déploiement dans le système de santé publique de notre pays.

    En particulier, il a établi qu’une cure annuelle d’un mois associant, 3 éléments :
    1) une diminution de la ration quotidienne, avec l’interdiction de certains aliments et l’ajout d’autres dont les propriétés anticancéreuses sont connues, provoquait un état d’acido-cétose défavorable aux cellules cancéreuses;
    2) l’ajout de compléments vitaminiques durant la même période renforçait l’action défavorable aux cellules cancéreuses ;
    3) l’utilisation de médicaments anti mitotiques était proposée en fin de la période d’un mois. Il pouvait s’agir du sirop de Teyssédre contenant de l’hydrate de chloral donné durant des décennies aux nourrissons et enfants mais qui brusquement fut interdit, ou du méthotrexate un produit anti – cancéreux utilisé aussi en dermatologie contre le psoriasis ou les rhumatismes.
    La dose proposée par André Gernez, était de 5mg par jour, 2 jours par an. Pour le traitement du psoriasis (maladie qui non seulement n’est pas mortelle mais est selon l’expression courante dans le corps médical « un passeport de longue vie ») varie de 390 mg par an soit 39 fois plus à 1300mg par an soir 130 fois plus ! La proposition d’André Gernez d’utiliser ce produit a été critiqué pour sa toxicité !
    Nous pensons que, s’il n’y a pas eu une ignorance assez surprenante, on pourrait évoquer une malveillance peu compatible avec l’honnêteté scientifique la plus élémentaire.

    Le principe de cette cure annuelle de décancérisation reposait sur l’idée – aujourd’hui reconnue par la plupart des cancérologues – qu’un cancer a une vie cachée s’étendant de 8 ans (sein) à 15 ans (poumon). Durant cette vie cachée, à l’heure actuelle aucun moyen d’imagerie médicale ou de biologie ne permet un diagnostic. Et au stade où ce diagnostic commence à être possible (1gr de cellules cancéreuses) le nombre de cellules est évalué à 1 milliard et nous sommes déjà devant une maladie grave.

    Nous ajoutons que le premier volet de la cure annuelle a été confirmé par de nombreux travaux sur le jeûne thérapeutique, que le 2éme a été validé par beaucoup de travaux également et en particulier la longue étude connue sous le nom de SUVIMAX.

    Par ailleurs dans le service de Toxicologie de Paris à l’époque où le Professeur René Truhaut le dirigeait, un chercheur, Monsieur Jean-Claude Gak a mené sur le rat une expérimentation en 3 bras, avec les 3 niveaux proposés par André Gernez. Les deux premiers bras retrouvaient des chiffres connus allant de 30% à 70% de protection contre un cancer très grave : le cancer primitif du foie spontané. Le 3éme bras, trouvait une protection de l’ordre de 93%. Ces informations ont été transmises par téléphone à André Gernez, mais n’ont pas été publiées. L’ensemble des travaux semblent avoir été remis à la DGS. Il semble que Monsieur Gak affirme n’avoir jamais effectué ce travail. Des documents en provenance de René Truhaux les attestent pourtant. Et Mr Gak, alors que ces faits ont été publiés et diffusés très largement par livres, journaux, DVD, conférences publiques etc, semble contester l’existence de ces travaux. Des universitaires et nous-mêmes avons demandé au Directeur Général de la Santé en poste à différentes périodes des informations sur ces faits. Nous n’avons jamais reçu la moindre réponse en retour.

    L’actualité scientifique, médicale et grand public se porte sur la notion de prévention contre le cancer par la vaccination. A notre avis, cette solution n’a jamais abouti depuis plus de 30 ans de recherches, et n’aboutira jamais, pour des raisons évidentes : la cellule cancéreuse fait partie de notre moi, est mise en route par notre organisme, le système immunitaire ne fait que s’attaquer au non-moi, à ce qui m’est étranger. Il n’est pas en mesure de s’attaquer aux cellules cancéreuses. Mais nous retenons que le mot prévention est désormais largement popularisé et l’attachement des médecins à la prévention fait florès. L’exemple du dernier numéro de la revue de vulgarisation scientifique « Sciences et vie » le démontre, on ne peut mieux, en publiant un long article : « Vaccin contre le cancer. Les premiers tests sur l’homme ».

    Nous pensons qu’il est nécessaire que le gouvernement prenne la décision de mettre en place un groupe de travail pour étudier sereinement les propositions d’André Gernez et proposer une méthode d’évaluation. C’est la santé de nos concitoyens qui est en jeu, et l’audience de la France sur un sujet majeur de santé publique.

    Croyez, Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre, Madame la Ministre de la Santé à nos sentiments respectueux.

    Docteur Pierre Delahousse – 2 8 Avenue Gustave 59100 Roubaix

    Docteur Jacques Lacaze – 24 rue des Acacias 62750 Loos-enGohelle


  • Alors, là on nous prend vraiment pour des c … (une fois de plus)

    Virus
    (Source : d’après The Telegraph – Traduction État du Monde, État d’Être)

    Les autorités en Louisiane étudient comment un agent de « bioterrorisme potentiel » (une bactérie dangereuse et souvent mortelle) a pu s’échapper, mais ils insistent sur le fait qu’il n’y a aucune menace pour le public. Ouf !

    Et un jour on nous racontera que ça vient d’un singe qui a mangé des chauves-souris qui elles-mêmes ont eu des rapports contre nature avec des phacochères qui ont été mangés par une tribu du fin fond de l’Afrique …etc. Ça ne vous rappelle rien ?

    Les autorités ont dit qu’il n’y avait aucun risque pour le public malgré que l’étendue de la contamination demeure inconnue après un bris de sécurité à la National Primate Research Center de Tulane. Ayez peur, mais soyez rassurés.

    La bactérie en question est appelé Burkholderia pseudomallei.
    On la trouve principalement en Asie du Sud et du Nord de l’Australie, le microbe peut se propager aux humains et aux animaux par contact avec le sol contaminé et l’eau. Il est classé comme un agent de bioterrorisme potentiel.

    La contamination éventuelle serait survenue en novembre ou plus tôt ( ?) au centre qui travaillait à développer un vaccin contre les bactéries.
    Les autorités ont déclaré que l’agent pathogène n’a pas été détecté sur le campus extérieur du centre, mais quatre singes rhésus gardés dans des enclos extérieurs sont tombés malades et deux ont été euthanasiés, affirme USA Today.

    En outre, une inspectrice fédérale est tombée malade après avoir visité l’installation, mais ce n’est pas clair si elle avait été exposée à la bactérie avant sa visite puisqu’elle avait récemment voyagé à international.

    « Il continue de n’y avoir aucune menace connue pour le public » affirme un communiqué de presse daté du 24 février.

    « Il n’y a pas de primates ou d’humains présentement malades à la suite d’une exposition possible à Burkholderia pseudomallei. »

    Le centre est situé à Covington, à environ 50 miles (80 kilomètres) au nord de la Nouvelle-Orléans.

    Un grand merci aux Etats-Unis. Ils appellent ça « un agent de bioterrorisme potentiel !» … et c’est cultivé par l’auto proclamé gendarme du monde !


  • Tout va bien … On continue !

    virus
    Source : « Les mots ont un sens »

    Des incidents potentiellement catastrophiques dans des labos de… biosécurité

    Le virus de la poliomyélite dans la nature, des fioles d’Anthrax expédiées sans avertissement, des tenues de protection souillées par le virus Ebola…

    Le 2 septembre 2014, à Rixensart, en Belgique, à 20 km de Bruxelles, 45 litres de solution contenant le redoutable virus de la poliomyélite ont été relâchés par erreur dans la nature par une employée étourdie d’une usine de fabrication de vaccins GSK. (lemonde.fr) A ce jour, ce regrettable incident est resté sans conséquence, pour la population comme pour l’usine fautive, qui n’a reçu qu’une toute petite réprimande orale de la part des autorités.

    En Grande-Bretagne (telegraph.co.uk),plus d’une centaine d’accidents de ce type ont eu lieu durant les cinq dernières années, d’après un rapport officiel publié jeudi dernier. Exemples : la négligence d’un organisme gouvernemental a provoqué l’envoi d’anthrax virulent à plusieurs laboratoires britanniques, sans précaution aucune. Une erreur qui a exposé des dizaines de scientifiques à la maladie. Seuls deux ont été contaminés, mais ils avaient été préalablement vaccinés. Ouf ! Dans une autre agence, le système de traitement de l’air permettant de neutraliser la fièvre aphteuse est resté hors service un long moment. Et, lors d’une inspection de sécurité dans un laboratoire du ministère de la Défense, des tissus animaux infectés par le virus Ebola ont été détectés sur les tenues de protection des chercheurs, hors zone de confinement.

    Jusqu’ici, tout va bien…

    Des laboratoires ont été sommés de se mettre aux normes, d’autres ont été fermés. Le rapport indique en outre que 70 incidents survenus dans des laboratoires gouvernementaux, universitaires ou hospitaliers ont été suffisamment sérieux pour qu’une enquête judiciaire soit lancée.


  • Les laboratoires US de guerre biologique à l’origine de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest – Ebola II (suite)

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    Source http://fawkes-news.blogspot.fr/ Traduction IlFattoQuotidiano.fr

    En complément de l’article précédent « Pourquoi le Pentagone et le CDC créent-ils des vaccins et de nouvelles souches brevetées d’Ebola ? »

    Voici l’interview téléphonique par David Lindorff de Francis Boyle… E-DI-FI-ANT !

    Francis Boyle est un professeur états-unien de renommée mondiale dans sa spécialité, le droit international, qu’il pratique et dont il est un ardent défenseur. Il rédigea la loi anti-terrorisme de 1989 sur les armes biochimiques, la législation américaine mettant en application la Convention sur les armes biologiques de 1972. Titulaire par l’université de Harvard de deux doctorats, un de Droit (Magna cum laude) et un en Sciences politiques, il enseigne à l’université de l’Illinois, à Champaigne.

    « David Lindorff : Nous avons l’honneur d’accueillir sur notre antenne le juriste (lawyer) Francis Boyle, qui s’est distingué en portant plainte auprès d’un tribunal de Malaysie contre George W. Bush et Dick Cheney pour Crime contre l’humanité. Il va nous parler de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Il a une opinion assez sinistre sur cette affaire. Francis, vous êtes là ? »

    Francis Boyle : Merci beaucoup David de m’avoir invité. Pour contextualiser cette conversation, je suis celui qui a écrit le brouillon de la loi anti-terroriste contre les armes biologiques (Biological weapons anti-terrorism act) en 1989. Les États-Unis ont mis en place cette loi au titre de la Convention sur les armes biologiques, qui a été votée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès US et mise en application par George W. Bush, et vous pouvez lire tous les détails dans mon livre « Guerre biologique et terrorisme », tout y est documenté…

    DL : D’accord. C’est évidemment un sujet que vous connaissez très bien, et j’ai lu une interview de vous par une chaine grecque, qui était assez surprenante, où vous dites que cette épidémie n’est pas ce qu’on dit, avec cette histoire de chauves-souris qui sont venues par les airs depuis le Zaïre, et qu’il s’agirait ici d’une variante de l’ « Ébola du Zaïre » ce qui est curieux, car le Zaïre est à plus de 3500 km de là. De quoi s’agit-il à votre avis ?

    FB : Oui. Entre nous, toute cette histoire ne tient pas debout. Le gouvernement américain possède trois laboratoires BSL-4 (Bio Safety Lab niveau 4). Un en Guinée, un au Libéria, un en Sierra Leone, au coeur de l’épidémie en Afrique de l’Ouest. Et ces laboratoires BSL-4 font toutes sortes de recherches plus effrayantes les unes que les autres sur les armes biologiques.

    DL : Pourquoi sont-ils situés dans ces pays ?

    FB : Parce que la Guinée n’a pas signé la Convention sur les Armes biologiques, le Libéria non plus. La Sierra Leone l’a signée, mais c’est une colonie britannique. J’avais d’ailleurs contesté dès 1988 le programme du Pentagone de recherche sur la Defense biologique (Biological Defense program) – et vous pouvez le lire dans mon livre, et leur avais demandé pourquoi ils conduisaient cette « double recherche », offensive et défensive, sur les armes biologiques au Libéria – qui à l’époque était une dictature militaire sous le joug du Capitaine Doe soutenu par la CIA – en contournant ainsi la Convention sur les armes biologiques. J’ai tout ici, dans un document du gouvernement US intitulé « Biological Defense program », et vous trouverez tout ça dans mon livre : le Center for Desease Control (CDC) menait des recherches dans le domaine biologique pour le Pentagone, en Sierra Leone, déjà en 1988, et probablement même avant ça, car il a fallu construire le laboratoire. De plus, la Columbia University menait aussi des travaux dans le domaine des armes biologiques (Bio warfare) pour le Pentagone, au Libéria, dès 1988. C’est celui que j’avais contesté en parlant de contournement des termes de la BWC (Bio-Weapons Convention, ou Convention sur les armes biologiques). Voyez-vous David, tout ceci n’est qu’une vaste opération de camouflage par le CDC. Ils sont plongés jusqu’au cou dans ces horribles travaux de recherche sur les armes biologiques depuis au moins 1988.

    DL : Vous avez parlé de « double recherche », pouvez-vous préciser ?

    FB : Bien, voilà ce qui se passe : pour pouvoir justifier ces travaux effrayants, si vous lisez les contrats, et j’ai pu en lire un avant que tout ne soit classifié, vous y lisez : « Il pourrait y avoir cette terrible forme de maladie émergente, et nous devons développer un vaccin pour cela. Et donc, nous allons commencer à travailler sur ce virus, il est possible que nous ayons à le modifier génétiquement et… »

    DL : – (l’interviewer a un rire nerveux)

    FB : Non David, ne riez pas, j’ai lu ces documents …

    DL : C’est un rire nerveux, c’est que je suis horrifié !

    FB : … au début des années 1980, sous l’administration Reagan, au moment où j’ai pris connaissance de tout ça, « et par conséquent, nous devons le modifier génétiquement, ou faire une chose de ce genre, pour créer un vaccin et protéger tout le monde. » C’est ce qui était écrit, et ils font ça pour tous les virus : L’ébola, la fièvre hémorragique, etc… Si vous ne me croyez pas, lisez l’édition du New York Times de vendredi dernier, où l’administration Obama a essayé d’enterrer tout ça au beau milieu du brouhaha des autres informations. Obama y dit : « Notre politique officielle est désormais d’arrêter ce type de recherche ». Ce qui revient à admettre qu’ils en faisaient.

    DL : C’était vendredi dernier ?

    FB : Oui, le New York Times de vendredi dernier. Cela revenait donc à admettre qu’ils en faisaient ce genre de recherches jusqu’à vendredi dernier au moins. Et si vous jetez un oeil sur la liste de ces recherches, le virus Evola n’y figure pas. Pourquoi ? Cela ne signifie pas qu’ils ne faisaient pas de « double recherche » sur l’Ebola. Toutes ces informations sont publiques. Si Ebola avait été sur la liste vendredi, les gens auraient demandé : mais que faisiez-vous avec ce virus Ebola ? Okay ? Cet article de vendredi dans le New York Times, c’est un peu le « Smoking Gun » [la preuve irréfutable – NdT], puisqu’Obama admet que les USA ont mené ce genre de recherches. Et en consultant la documentation, j’ai pu remonter jusqu’à l’administration Reagan, avec ces néoconservateurs qui sont arrivés au pouvoir et qui voulaient des armes biologiques. Et vous pouvez aussi lire le document du PNAC [Project for the New American Century, traduit en français ici] en 2000, ces mêmes néoconservateurs de l’ère Reagan qui écrivaient clairement vouloir développer des armes biologiques. Ils sont revenus au pouvoir avec Bush Junior, et ils ont poursuivi dans cette voie. Les néocons voulaient ces armes biologiques, et je pense que ça a vraiment commencé sous Reagan et ça a continué depuis. La deuxième administration Reagan l’a fait aussi, pas la première, mais 2e très certainement, sous l’influence de ce Richard J. Danzig qui est maintenant aux Conseils d’administration de ces sociétés « Big Pharma », et qui a établi des accords (bundle) en violation du Foreign Exchange (FX) and Governement Act.

    DL : A-t-on la preuve que la souche du virus Ebola qui sévit en Afrique de l’Ouest a été génétiquement modifiée ?

    FB : Laissez-moi vous dire ceci : toutes les précédentes épidémies d’Ebola en Afrique avaient été circonscrites, avec un taux de mortalité de 50%. Celle-ci n’est pas « contenue » et a un taux de mortalité de 70%. Cela me fait dire que nous avons affaire à un organisme génétiquement modifié, ou OGM. Nous savons que ce type de travaux était conduit à Fort Detrick. Il y a aussi ce Docteur Kawaoka à l’University du Wisconsin de Madison, il a admis sur sa page Web avoir modifié génétiquement le virus Eola pour le rendre plus violent. Il a aussi ressuscité le virus de la grippe espagnole, pour le Pentagone.

    DL : Doux Jésus…

    FB : Il a aussi fait des recherches très poussées sur la grippe, y compris en modifiant génétiquement le virus H5N1, ce virus de la grippe si dangereux qui a sévi lors de l’épidémie du SRAS [SRAS -Syndrome respiratoire aigu sévère – NdT]. Et le tout était financé par le Pentagone ou bien le National Institute of Health (NIH), ou par le CDC. Ces travaux étaient si dangereux qu’il avait dû transférer son laboratoire du Wisconsin vers le Winnipeg au Canada. Mais peut-être que les Canadiens ont dit « allez-vous-en d’ici, on ne veut pas de vous ici, c’est trop dangereux pour nous », je ne sais pas. Ce que l’on sait, c’est que le laboratoire BSL-4 Kanema de l’Université de Tulane était impliqué. Nous savons qu’ils font ce type de recherches sur les armes biologiques depuis longtemps. [Le laboratoire US de] Fort Detrick était impliqué aussi. Ils sont connus également depuis longtemps pour conduire ce genre de recherches, y compris sur le virus Ebola. Les trois laboratoires que j’ai cités ont tous été mis en place par l’USAID, qui n’est rien d’autre qu’une organisation servant de couverture pour la CIA. Je suis juste en train d’essayer de relier tous ces points entre eux, sur la base des informations que j’ai pu récolter sur ces armes biologiques, depuis si longtemps, depuis mes études à l’université de droit à Harward, et je me suis intéressé professionnellement à la question, puisque j’ai été appelé à défendre le Council for Responsible Genetics au début des années 1980, dans leur Comité sur les armes biologiques, etc…

    DL : Êtes-vous en train de suggérer que cette épidémie a été déclenchée délibérément, ou bien s’agit-il selon vous d’un accident, le virus leur aurait échappé sans qu’ils le veuillent ?

    FB : Vous savez David, si vous allez sur le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone – c’est une information publique – ils ont fermé le BSL-4 de Kanema cet été et ont affirmé que c’était la source de l’épidémie Ebola, car Tulane et d’autres laboratoires administraient des vaccins aux gens.

    DL : Vous voulez dire, au personnel des laboratoires ?

    FB : Non, aux gens, aux Africains de l’Ouest. Sur une large échelle.

    DL : Mais alors il y a un vaccin ?

    FB : Ils disent que c’est un vaccin, mais ce dont il s’agit, c’est un virus Ebola vivant. Ils ont affaire à un virus Ebola vivant pour ce soi-disant vaccin.

    DL : (rire nerveux du journaliste)

    FB : De plus, nous savons que le NIH, a travaillé avec le CDC, depuis un certain temps pour combiner le virus vivant d’Ebola avec celui du « rhume commun ».

    DL : Mon Dieu. Mais pourquoi font-ils ça ? Comment justifient-ils cela ?

    FB : Mais pour développer un vaccin, David.

    DL : C’est comme ça qu’ils l’expliquent ?

    FB : Eh oui, c’est tout ce qu’ils peuvent dire. Et donc, si vous mettez ensemble le virus vivant d’Ebola avec celui du rhume, vous obtenez quelque chose qui est aussi contagieux que le rhume commun, mais pas autant que la grippe. Et ça pourrait bien être ce à quoi nous avons affaire ici. Ce vaccin, ou appelez-le comme vous voulez, avec l’Ebola vivant et le rhume commun, a été injecté à une vaste population en Sierra Leone, et peut-être au Libéria, et c’est cela l’origine de l’épidémie, mais ne me croyez pas sur parole et allez voir le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone, et vous verrez que c’est leur conclusion sur ce qui arrive aujourd’hui, et c’est pour cela qu’ils ont ordonné la fermeture du laboratoire américain BSL-4 cet été.

    DL : Est-ce pour cela qu’ils sont contents que les Cubains soient venus, plutôt que de voir les Américains arriver ?

    FB : Le problème c’est qu’aucun Américain ne veut y aller, parce qu’ils savent que les USA sont derrière tout ça. Si vous regardez ce qu’ils appellent le « projet d’aide », c’est le vide total. C’est simplement une vaste mise en scène pour faire croire qu’ils font quelque chose, alors qu’en réalité ils ne font pratiquement rien.

    DL : Les USA n’ont d’ailleurs envoyé aucun médecin là-bas, seulement des soldats, n’est-ce pas ?

    FB : Exact. Et la raison est claire. La semaine dernière il y avait une réunion à Kanema, en Sierra Leone, avec des représentants de toutes ces organisations gouvernementales internationales, et la décision a été prise d’abandonner ces gens à leur sort. Pas de traitement…

    DL : Oui j’ai lu ça, il faut juste les laisser se soigner eux-mêmes.

    FB : Ils les renvoient à la maison avec du simple Tylénol (Doliprane). Ils sont désormais livrés à eux-mêmes, et ce à quoi nous assistons est seulement une mise en scène pour faire croire que les USA font quelque chose, alors qu’ils ne font rien. Les Cubains se sont montrés très héroïques vu la situation. L’organisation Médecins sans frontières est là aussi, et certaines ONG privées également. Mais toutes les organisations gouvernementales sont absentes, en fait elles n’ont jamais voulu s’en mêler, car elles ont réalisé que derrière l’épidémie, il y avait la recherche US sur les armes biologiques, et qu’il n’y avait pas grand-chose à faire, et que tout ce qui restait à faire c’était de laisser tout cela se consumer tout seul.

    DL : Ce que vous dites est vraiment convaincant et me suggère deux choses. La première est la suivante : bien que le milieu de la médecine inclut beaucoup de gens très motivés sur le plan de l’aide humanitaire, pourquoi n’avons-nous eu aucun « whistle blower » (lanceur d’alerte) sur ce sujet ? Cela semble si scandaleux et dégoutant que quelqu’un aurait dû lancer l’alerte, non ?

    FB : David, si vous regardez au cours de toutes ces années, et ces informations sont du domaine public, il y a environ 27 ou 28 microbiologistes qui sont morts.[1]

    DL : Oui j’ai lu ça.

    FB : 27 ou 28 microbiologistes morts. Je pense que ces chercheurs ont menacé de sonner l’alarme sur ces programmes aussi dangereux qu’illégaux de recherches américaines sur les armes biologiques, et on les a tués. Et c’est pour cela que nous n’avons pas de lanceurs d’alerte ici, parce qu’ils seraient tués eux aussi. Je crois que c’est clair.

    DL : Oui j’ai lu à ce sujet, la liste est impressionnante. Et il y a des histoires bizarres de personnes qui arrêtent leur voiture au-dessus d’un pont et qui sautent.

    FB : Des histoires souvent ridicules. Et je crois que tous ces microbiologistes, plutôt que de sonner l’alarme, ils sont allés voir leur supérieur, au CDC ou ailleurs. Cette information a suivi son chemin et on les a éliminés. C’est pour cela que nous n’avons pas de whistle blowers. En fait nous en avions, mais ils sont tous morts, avant qu’ils n’aient pu lancer l’alerte.

    DL : Avez-vous publié vous-même sur ce sujet et sur les documents dont vous me parlez ? Ou bien comptez-vous le faire ?

    FB : J’ai donné des interviews. Nous avons envoyé des communiqués de presse, à l’Institute for Public Accuracy, et j’ai donné aussi des interviews. J’ai travaillé sur d’autres sujets depuis le début de cette crise, mais si vous allez sur Internet, vous verrez que je suis un peu partout…

    DL : Oui, j’ai vu ça. Mais pas dans les grands médias, évidemment.

    FB : Évidemment, quelqu’un a donné l’ordre de ne pas m’interviewer, et d’ailleurs, après les attaques à l’anthrax d’octobre 2001, j’ai été le premier à dire qu’il s’agissait d’anthrax militarisé (weaponized anthrax) provenant d’un laboratoire gouvernemental américain. Ce qui fut confirmé plus tard. Mais personne ne m’a interrogé. Je crois que j’ai donné en tout et pour tout trois interviews. Une à Fox News, à Boston, j’ai donné une conférence à Harvard, et une interview à la BBC, et à une chaine de la Pacific à Washington. Je parle de tout ça dans mon livre. Cela s’est passé dans les tout premiers jours après les attaques, et après plus rien. Le grand silence. Plus personne n’a parlé avec moi. Plus personne parmi les grands médias. Ces communiqués de presse sont envoyés à plus de 8000 organes de presse tout autour du globe, tous l’ont vu. Tous savent qui je suis. Mais il est clair qu’un ordre a été donné de ne pas avoir affaire avec moi. Et donc, non, rien dans les grands médias.

    DL : Et les médias grands publics dans d’autres pays ? En Russie, en Chine, ou ailleurs ?

    FB : Très peu. En Grèce, j’ai donné une interview[2], mais c’est la seule. Le gouvernement US a probablement dit à ces médias de se tenir éloignés de Francis Boyle. Mais vous savez, je ne suis pas payé pour les interviews, je ne suis pas en train de perdre de l’argent, je fais ça pour informer le public, pour essayer de faire sortir la vérité. Les seuls à m’interviewer ont été des médias alternatifs comme le vôtre.

    DL : Ce qui est étrange dans cette histoire d’armes biologiques génétiquement modifiées, c’est qu’il est difficile de prévoir là où elle va frapper. En supposant que ce que vous dites est exact, comment peuvent-ils penser tenir ce virus éloigné des USA ?

    FB : Vous savez, M. Duncan est ici, aux USA. Il est le cas « zéro » [le premier en dehors des USA – NdT]. L’information est déjà parue, selon laquelle le Département de la Défense et le NIH ont un programme informatique qui simule tout ça, ils savent exactement ce qui va se passer, en Afrique de l’Ouest, et maintenant en Espagne, à cause de l’infirmière là-bas [apparemment guérie depuis – NdT], et ici aux USA à cause de M. Duncan, puisque c’est le cas « zéro », et donc la liste de ses contacts. Ils peuvent insérer tout cela dans l’ordinateur et voir ce qui va se passer. Dans le New York Times hier, il y avait un diagramme avec M. Duncan et tous ses contacts et leurs enfants, et chacun d’entre eux est surveillé. Sauf pour les 4000 personnes sur le bateau de croisière. Ce qui pose la question : pourquoi n’ont-ils pas mis tous les gens du bateau en quarantaine ? Au Nigéria, où ils disent avoir stoppé l’épidémie…

    DL : J’allais vous poser la question…

    FB : …ils ont contacté tout le monde et les ont mis sous surveillance. Mais pas les 4000 personnes sur le paquebot de croisière, et ils ont tous été relâchés sur recommandation du CDC, qui a d’ailleurs dit « il suffit d’une période de quarantaine de 21 jours », et donc tous les gens sur le paquebot ont été libérés. L’OMS (Organisation mondiale de la santé) a critiqué cette décision et dit qu’il faudrait une période de 42 jours de quarantaine. Et si vous regardez les chiffres qui sont derrière les calculs de l’OMS et qui ont abouti à cette période de 42 jours, c’est toujours avec un taux d’efficacité de seulement 98% et un taux de mortalité de 50%, et non de 70%, ce dernier taux indiquant qu’il semble bien s’agir d’un virus manipulé génétiquement et qui est bien plus dangereux que l’Ebola d’origine. Je ne suis pas sûr, mais il me semble que par sécurité, il faudrait parler de période de quarantaine de 50 jours, et d’ailleurs tous ces chiffres du CDC ou de l’OMS sont simplement basés sur le rapport risque/coût, c’est tout. Ils disent simplement que c’est moins couteux de laisser les gens partir après 21 jours, ou 42 jours, plutôt que de les garder en quarantaine. C’est une analyse risque/coût (Cross-Benefit Analysis) au détriment de nos vies. Peut-être que nous serons comme le Nigéria, mais la différence entre le Nigéria et nous [aux USA] est que le Nigéria a retrouvé tous les contacts, alors que nous avons laissé partir dans la nature 4000 personnes de ce paquebot, et avec ces 4000 personnes, ils ont simplement appliqué les protocoles du CDC qui n’ont aucune valeur et sont très dangereux .

    DL : Et bien sûr vous ne pouvez pas mettre en quarantaine toutes ces 4000 personnes ensemble, il faut les maintenir séparées les unes des autres, pour ne pas qu’ils se contaminent les uns les autres.

    FB : Absolument. Ils auraient très bien pu les garder sur le bateau pendant 42 jours en leur expliquant les raisons, avant de les relâcher.

    DL : Vous faites le lien entre l’OMS et le CDC en disant qu’ils sont tous deux coupables dans cette affaire, mais l’OMS comprend de nombreux pays, il y a du personnel venant de pays qui ne sont pas alignés avec les USA. Comment est-ce que ça marche ?

    FB : David, je ne me rappelle pas exactement les chiffres, mais l’OMS est financée sur la même base que l’ONU, puisque c’est une organisation spécialisée.

    DL: Oui, environ 25% par les USA

    FB : En effet, environ 25%, plus le fait que nous devons des milliards de dollars à l’ONU. Et celui qui paie les musiciens choisit la musique. Je ne sais pas à quel point nous devons de l’argent à l’OMS, mais ils font ce qu’on leur demande de faire. Ils peuvent à l’occasion essayer de révéler quelque chose, mais ils ne vont pas se dresser contre nous. Toujours est-il que le CDC est trempé jusqu’au cou dans cette affaire, et ils font du camouflage, nous ne pouvez pas croire un mot de ce qu’ils disent.

    DL : Ouah. Mais alors que devons-nous faire face à cette situation ? Vu que nous ne pouvons pas faire confiance au gouvernement sur ce sujet ?

    FB : Mon conseil est le suivant : heureusement, selon la Constitution des États-Unis, la Santé publique ne relève pas du gouvernement fédéral. Elle dépend des États, des comtés, des villes, des communautés, des villages, des autorités sanitaires [locales]. Et donc ces autorités sanitaires locales doivent s’unir, et faire appel à des experts indépendants qui n’ont jamais participé à aucune recherche dans le domaine des armes biologiques pour le gouvernement américain, et partir de là, élaborer une stratégie pour leurs communautés. Si vous lisez les médias grands publics, ils contactent tous ces experts qui ont trempé dans des recherches en guerre biologique pour les USA.

    DL : Oui, c’est un peu comme demander à des généraux de nous parler des guerres.

    FB : Exactement. C’est la même chose. Vous ne pouvez accorder aucune confiance à ce qu’ils disent. Et donc, je pense qu’il y a vraiment quelque chose à faire, mais que cela doit se passer au niveau local, dans les communautés et avec les autorités sanitaires. Par exemple nous avons eu une crise ici à l’université de Droit. Les abrutis en charge de l’Université ont envoyé un juriste gouvernemental taiwanais. Et ils savaient que nous avions affaire à la tuberculose. J’ai découvert cela, et ai demandé que tout le monde passe des tests, ils ont refusé, alors j’ai lancé l’alerte. Et avec les autorités sanitaires et tous ici, nous avons finalement obtenu que tout le monde passe les tests et nous avons découvert que cinq personnes étaient infectées par la tuberculose. Heureusement on a pu les traiter et elles s’en sont sorties. Sans cela, elles auraient développé la tuberculose, qui est une maladie extrêmement contagieuse. Ce qui est sûr, c’est qui faut travailler avec les autorités sanitaires locales et des spécialistes qui n’ont jamais été impliqués dans des travaux de guerre biologique pour le gouvernement des USA. Malheureusement nous avons 14 000 scientifiques qui participent à ces affreuses recherches en armements biologiques pour le compte du gouvernement des USA, je les appelle les « scientifiques de la Mort », et plus de 1500 laboratoires aux États-Unis qui font ce type de recherche. Vous ne pouvez pas leur faire confiance.

    DL : Combien de laboratoires ?

    FB : 1500

    DL : Mon Dieu. Alors que nous ne sommes pas censés en faire.

    FB : C’est exact. Ce genre de travaux de recherche constitue un crime selon les termes de la loi antiterroriste contre les armes biologiques que j’ai écrite, et nous avons dépensé 79 milliards de dollars depuis le 11 septembre 2001 dans ce domaine de recherche, ce qui en dollar constant, représente le double de ce qui a été dépensé pour le projet Manhattan pendant la Seconde Guerre mondiale pour développer la bombe atomique.

    DL : Mais ils disaient que c’est défensif.

    FB : Oui, ils disaient que c’est pour protéger le peuple américain de virus émergents comme l’Ebola. Mais regardez autour de vous. Vous pouvez voir qu’ils n’ont rien fait pour protéger qui que ce soit.

    DL : S’ils travaillaient sur un vaccin depuis les années 80, ils devraient l’avoir maintenant, non ?

    FB : Soit ils devraient l’avoir, soit ils l’ont, et c’est dans les tiroirs au fin fond du laboratoire de Fort Detrick, mais ils ne nous le disent pas, et ils ne l’ont donné qu’aux plus hauts dirigeants de notre gouvernement. C’est très similaire aux attaques à l’anthrax d’octobre 2001, et le fait que tout le monde à la Maison-Blanche prenait du Cipro [antibiotique prévenant les effets de l’anthrax – NdT]. Mais bon, je ne sais pas s’ils l’ont. Soit nous avons le vaccin, soit tout cet argent a été dépensé en pure perte, soit (et ce n’est pas incompatible) ils l’utilisent pour développer des armes biologiques. Faites votre choix. Je dois vous laisser. Merci de l’invitation.

    DL : Merci Francis d’être venu si rapidement à notre antenne.

    Bon ben … voilà! Allez, bonne santé à tous …

    _______________________________________________________________________________


  • Les français toujours dans le peloton de tête des peuples les plus stupides !

    manif

    Enfin la France se mobilise et descend dans la rue ! Bravo !
    Mais au fait, pourquoi ?

    Parce que Les Etats-Unis et personnellement le président Obama ont forcé les pays de l’Union européenne à adopter des sanctions inutiles contre la Russie, qui au final nous pénalisent plus que les Russes ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce que l’article 123 du Traité de Lisbonne stipule que les Etats membres de la Communauté européenne n’ont plus le droit d’emprunter auprès de leur banque centrale, mais sont dans l’obligation d’emprunter auprès de banques privées, moyennant de très forts intérêts qui ont fait exploser leur dette et nous ont mis en récession ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce qu’une majorité de nos hommes politiques sont corrompues et à la solde des lobbies internationaux ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce taxes et impôts augmentent malgré des promesses contraires ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce de plus en plus nous sommes fichés, pucés, suivis, espionnés, et nos libertés se réduisent inexorablement de plus en plus?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce que Sarko revient ? !!!
    Non ça, ce n’est pas grave ! (quoique)

    Parce qu’on veut vacciner tous nos enfants de force dès 9 ans contre le papillomavirus
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce que les cocktails de vaccins ont fait exploser le nombre d’enfant autistes ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce l’éducation nationale produit des gamins qui ne savent plus lire en entrant en sixième ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce qu’on nous fait manger de la m… empoisonnée ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce que nucléaire civil et militaire a fait exploser le nombre de cancer ?
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Parce qu’on nous impose un machin contre l’avis des peuples le « Traité Transatlantique », de manière aussi malhonnête qu’efficace pour la Finance.
    Non ça, ce n’est pas grave !

    Alors, je ne vois pas pourquoi les français se mobilisent et descendent dans la rue !!!

    C’est parce qu’une poignée de citoyens, homosexuels, c’est-à-dire seulement ceux qui vivent en couple et, encore seulement ceux qui vivent en couple et qui désirent des enfants et, encore seulement ceux qui vivent en couple et qui désirent des enfants qui ne seraient pas adoptés, donc cette minorité restante, pourrait avoir peut-être un jour recours à la « Gestation Pour Autrui ». Bien sûr seulement si un jour cette pratique était autorisée !!!

    Et ça, ça fait descendre des centaines de milliers de personnes dans la rue !!! Comme si c’était ça le plus important aujourd’hui !!!

    Quand je vous disais que les français formaient le peuple le plus stupide du monde … !


  • Quoi de neuf chez Ebola ?

    ebola

    Ebola: la réponse internationale est « dangereusement inadaptée »

    La réponse internationale au virus Ebola qui sévit dans l’ouest de l’Afrique est « dangereusement inadaptée », affirme la coordinatrice d’urgence de Médecins sans frontières (MSF) en Sierra Leone. L’épidémie « est devenue incontrôlable depuis plusieurs mois », selon elle.

    L’épidémie de fièvre hémorragique Ebola s’est déclarée au début de l’année en Guinée avant de gagner le Libéria, la Sierra Leone et le Nigeria. La maladie provoquée par le virus se manifeste par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Son taux de mortalité est très important et il n’existe pas de vaccin homologué.

    Depuis le début de l’année, le virus a fait près de 1500 morts, selon un dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dont 392 en Sierra Leone. Au total, plus de 2615 cas ont été recensés.

    Un système d’alerte grâce auquel une équipe d’enquête et une ambulance sont envoyées dans n’importe quel village en cas de mort ou de cas suspect « ne fonctionne pas correctement », regrette-t-elle. Le ministère de la Santé sierra-léonais ne dispose de toute façon que de quatre ambulances pour un district de 470.000 habitants !

    « Chaque jour, il y a des morts certainement dus à Ebola, mais ces cas ne sont pas répertoriés par le ministère de la santé, car la cause de la mort n’a pas été confirmée par un test en laboratoire », souligne-t-elle. Elle décrit un système de surveillance « inefficace ».

    Une question …

    Il n’y a aucun remède contre ce virus, la situation est critique pour les pays touchés, et la réponse internationale est « dangereusement inadaptée » nous dit une coordinatrice de MSF. Soyons « naïfs » et posons deux questions qui, si elles restent sans réponses satisfaisantes, auront au moins le mérite d’avoir été posées. Y a t-il un risque avec le rapatriement de malades, dans les hôpitaux occidentaux? Nous savons que l’Italie est débordée, par les flux de migrants venant d’Afrique, et dont il est très difficile de savoir de quelle région ils sont originaires, ce pourrait ils qu’un porteur du virus, puissent contaminer les passagers et par là même, que le virus se propage dans nos pays? Qui va bien pouvoir nous répondre?

    Cependant …

    Alors que le journal Le Monde parle quotidiennement de « ravages » et de « catastrophe », la réalité est que l’épidémie de virus Ebola reste d’ampleur très modeste.
    La presse parle de 1229 morts entre mars et août 2014 sur l’ensemble de l’Afrique, et encore ce chiffre n’est pas exact.

    Très peu de contagion

    Les images de soignants portant des masques et des combinaisons intégrales pour s’approcher des malades suspectés sont insensées et dignes d’un mauvais film de science-fiction.

    Car le virus Ebola ne se transmet absolument pas si facilement :
    « Il faut un contact direct avec un liquide biologique comme le sang, les selles, les vomissures. Il n’y a aucune transmission par voie aérienne. C’est-à-dire que, lorsqu’une personne parle ou tousse, elle ne répand pas le virus Ebola dans l’air ambiant. » explique le Pr Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital de Purpan, à Toulouse.

    Autrement dit, le virus Ebola est comparable au SIDA pour son mode de propagation. Il faut vraiment être au contact du sang ou du liquide biologique du malade pour risquer soi-même d’être contaminé.

    Cela veut dire, toujours selon le Pr Bruno Marchou, que le virus Ebola :
    « n’atteindra pas le stade pandémique. À Conakry (capitale de la république de Guinée), ils avaient initialement plusieurs dizaines de cas parmi le personnel hospitalier. Ils ont réussi, en appliquant des mesures d’hygiène standard simples, à endiguer la propagation du virus parmi leur personnel. »

    Ces mesures d’hygiène n’ont rien de sorcier : « Quand on s’occupe d’un patient, on se couvre les mains avec des gants. Si le patient vomit, il faut aussi se couvrir le visage. C’est le b.a-ba. On fait ça tous les jours. » continue-t-il.

    Semer la panique : un business très lucratif

    La panique autour du virus Ebola rappelle évidemment la grippe aviaire de 2005 et la grippe porcine (H1N1) de 2009.

    Ces deux « pandémies imminentes » ont été l’occasion de manipuler grossièrement les opinions publiques pour justifier la vaccination en masse des populations, qui s’est révélée entraîner de terribles effets secondaires, dont la narcolepsie, un très grave trouble du sommeil.

    En 2009, l’Organisation Mondiale de la Santé a prédit qu’un tiers de la population mondiale pourrait être touchée par la grippe H1N1, avec des effets incalculables. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot n’avait alors pas hésité à commander 94 millions de vaccins ! Les Français n’ayant été que 6 millions à se faire vacciner, Mme Bachelot avait, dès le mois de janvier 2010, annulé auprès des laboratoires pharmaceutiques la livraison de 50 millions de doses et fait verser par l’Etat en dédommagement près de 48 millions d’euros aux laboratoires.

    Ne succombons ni à la psychose, ni à une forme de racisme qui ne dit pas son nom.

    L’épidémie de virus Ebola ne sera correctement endiguée en Afrique que si toute violence et toute mesure répressive cesse. Qu’on laisse chaque patient être pris tranquillement en charge par un personnel ayant une formation médicale de base, et prenant les mesures d’hygiène évidentes.

    N’envoyons ni cargaisons de vaccins en Afrique, ni médicaments. Cela ne servirait qu’à enrichir les laboratoires pharmaceutiques et à provoquer des dégâts bien plus graves par les effets secondaires de ces médicaments.

    Pour en savoir plus, cliquez ici : EBOLA

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  • Qu’est-ce que nous cache EBOLA ?

    ebola

    Formé à Harvard et expert en santé publique et maladies émergentes, le Dr. Leonard G. Horowitz déclare que l’«Urgence Sanitaire Internationale» de l’Organisation Mondiale de la Santé et l’«épidémie» d’Ebola de 2014 démontrent un crime commercial, attesté par une fraude scientifique.

    Dans une rapport spécial de 24 minutes préparé pour une diffusion publique sur la chaîne Viméo Revolution Television, [ ]

    Le Dr. Horowitz, auteur et réalisateur de films primés, en compagnie de Sherri Kane, journaliste d’investigation, prétendent que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) rendent les gens victimes d’une fraude, après que des industriels en pharmacie aient égaré une souche Zaïre d’Ebola qui se trouvait dans le réfrigérateur d’un laboratoire d’armes biologiques.

    La seule explication plausible de la soudaine ré-émergence dans un pays différent du germe caché depuis des années dans ce que l’on nomme un «réservoir naturel», est liée à une recherche de profit et à une criminalité financière, nous informe Horowitz.

    Pour prouver la fraude scientifique, les lanceurs d’alerte utilisent leur bon sens et les archives historiques en passant au crible les dires de l’OMS et du CDC qui prétendent que le «réservoir naturel» pourrait être les «chauve souris frugivores.» Cette «histoire officielle» est de la «pseudo science», selon Horowitz, se référant à de prétendues découvertes d’officiels de la santé selon lesquelles 4% des chauvesouris testées au Bangladesh (Asie) étaient prétendument porteuses d’anticorps de «l’Ebola africain».

    “C’est la même pseudo science et arnaque que le CDC a perpétré en 1967 après que le premier virus Ebola – le Marburg – se soit échappé simultanément de 3 usines de production de vaccins en Allemagne et en Yougoslavie,” rappelle le docteur. A cette époque, les officiels américains ont prétendu qu’on trouvait des anticorps chez 50% des singes testés, alors qu’aucun autre laboratoire n’a pu reproduire cette revendication.

    Le docteur conclut : “un bouleversement socio-économique et politique majeur” au Liberia, impliquant des officiels des industries, aussi bien pétrolières que pharmaceutiques, est ce qui explique le mieux l’éruption d’Ebola qui a tué prés de 1,000 personnes, principalement au Liberia, même s’il a été dit que le virus a fait ses premières victimes en Guinée.
    “Couplez les faits scientifiques à la censure du Dr. Horowitz, qu’il subit en tant que lanceur d’alerte de l’industrie pharmaceutique, et vous vous retrouvez avec des preuves substantielles d’un complot d’entreprises dans le but de créer un génocide,” a dit Kane, en colère contre la suppression faite par Google/YouTube des chaînes YouTube des deux journalistes, regardées par des millions de personnes au moment où l’Ebola fait les gros titres.

    Les journalistes demandent aux activistes de diffuser leur vidéo éducative de 24 minutes, ainsi que le chapitre sur l’ebola du livre gratuit écrit par le docteur, afin de générer un débat public sur les risques pour la vie des gens au niveau international.

    “Pensez-y,” dit le Dr. Horowitz, “les plus riches, les plus puissants, ceux à qui l’on peut faire le moins confiance dans ce monde, dictent ce qui peut être ou non discuté ou publié dans la communauté scientifique et sur les forums publics, à partir desquels des décisions et planifications de réponses d’urgence avec usage de médicaments et de vaccins sont prises. »

    Ces faits consolident les preuves de «mauvaise foi», de «tricherie» et de crime commercial.

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  • Epidémie, encore plus dangereuse que la fièvre hémorragique Ebola

    Epidémie
    Source Syti.net – Yab Leo

    Epidémie de bonheur !

    Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse.
    l’OMB (Organisation Mondiale du Bien-Etre) prévoit que des milliards d’individus seront contaminés dans les dix ans à venir …

    Voici les symptômes de cette terrible maladie :

    1 – Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.

    2 – Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.

    3 – Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente l’un des symptômes les plus graves)

    4 – Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne la disparition de l’habitude de vouloir changer les autres.

    5 – Désir intense de se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses potentiels de santé, de créativité et d’amour.

    6 – Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit « merci » et donne un sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.

    7 – Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.

    8 – Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec son Ame, Non-duelle… Être, ce qui donne un sentiment très agréable de plénitude et de bonheur.

    9 – Plaisir de se comporter en guérisseur qui apporte joie et lumière plutôt qu’en critique ou en indifférent.

    10 – Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la fluidité et l’égalité, sans jouer ni les victimes, ni les bourreaux, ni les sauveurs.

    11 – Sentiment de se sentir responsable et heureux d’offrir au monde ses rêves d’un futur abondant, harmonieux et pacifique.

    12 – Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à chaque instant, le beau, le bon, le vrai et le vivant.

    Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, la dépendance, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes.

    Cette maladie est extrêmement contagieuse !

    Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible.
    Les traitements médicaux peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable du mal.

    Aucun vaccin anti-bonheur n’existe.

    Comme cette maladie du bonheur provoque une perte de la peur de mourir, qui est l’un des piliers centraux des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux risquent de se produire, tels des grèves de l’esprit belliqueux et du besoin d’avoir raison, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, des cercles de partage et de guérison, des crises de fou-rire et des séances de défoulement émotionnel collectives.

    Un peu de positivisme ne peut pas faire de mal et la «Pensée Positive», ne fait du bien qu’à ceux qui en ont…

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  • A qui fera-t-on croire qu’ils ne l’ont pas fait exprès !

    Grippe1

    Un marché potentiel de plusieurs milliards de vaccins

    Un laboratoire dépendant du gouvernement américain a « par erreur » (sic) mélangé une souche inoffensive de la grippe aviaire avec un autre type hautement contagieux et dangereux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    Nous sommes à quelques heures (disons au sens figuré!) d’une pandémie programmée! Le scénario est tellement évident, mais aussi tellement sombre…

    Un laboratoire dépendant du gouvernement américain a par erreur mélangé une souche inoffensive de la grippe aviaire avec un autre type hautement contagieux et dangereux, (ben tiens !) envoyant ensuite cet échantillon contaminé à un autre laboratoire, ont annoncé vendredi les autorités fédérales.

    Personne n’a été exposé à cet échantillon contaminé, (Ouf ! mais pour l’instant seulement) a assuré Tom Frieden, directeur des Centres de contrôles et de prévention des maladies (CDC) lors d’une conférence de presse.

    «Ces événements n’auraient jamais dû se produire», a-t-il souligné, ajoutant que ces incidents soulevaient «des questions graves et préoccupantes».
    «Franchement, je suis en colère», a-t-il insisté(en nous prenant pour des c…)

    «Un échantillon de grippe aviaire non agressive a été contaminé de façon involontaire, dans un laboratoire des CDC, par la souche de grippe hautement pathogène H5N1 et envoyé» à un autre laboratoire géré par le département de l’Agriculture, ont indiqué les CDC dans un communiqué.

    M. Frieden a expliqué avoir instauré un moratoire sur le transfert de tout échantillon biologique, y compris d’agents contagieux, à l’intérieur ou à l’extérieur des CDC, le temps qu’une enquête soit menée.

    Il a également appelé à des mesures disciplinaires appropriées à l’encontre de tout membre du personnel ayant enfreint le protocole ou n’ayant pas rendu compte d’un incident en laboratoire.

    Les CDC affirment avoir eu connaissance de cet échantillon contaminé au moment où ils terminaient un rapport sur un incident similaire impliquant cette fois de l’anthrax survenu le 5 juin, mais qui selon eux, n’a a priori pas mis en danger la vie des quelque 80 scientifiques américains qui ont pu avoir été accidentellement exposés à ces bactéries de la maladie du charbon.

    Les échantillons potentiellement infectieux de la maladie du charbon avaient été transportés et utilisés pour des expériences dans trois laboratoires des CDC non équipés pour manipuler ces bactéries. Les employés de ces laboratoires, pensant que ces bactéries avaient été inactivées, ne portaient pas de combinaison de protection.

    Cette nouvelle affaire vient jeter une ombre sur les CDC. M. Frieden a affirmé avoir été informé il y a 48 heures de ce mélange d’échantillons alors qu’il s’est produit il y a six semaines.

    Le laboratoire a été fermé jusqu’à ce que des mesures de sécurité renforcées soient mises en place et une enquête est en cours.

    On nous prend pour


  • Des savants fous AMERICAINS créent un nouveau virus de la grippe espagnole

    grippe

    Source Courrier international 12 juin 2014

    Appartenant au sous-type H1N1, le virus de la grippe de 1918 a causé une véritable hécatombe, encore plus importante que celle due à la Première Guerre mondiale. La grippe espagnole est fatale en quelques jours, que ce soit dans les tranchées de la Meuse, en Suisse, aux Etats-Unis, ou en Asie. Cette « Grande Tueuse » est d’autant plus traumatisante qu’elle se comporte de manière inédite : celle-ci s’attaque avant tout aux jeunes adultes dans la fleur de l’âge. Ce qui reste encore aujourd’hui un mystère scientifique non résolu.

    Une équipe américaine a combiné le virus de la grippe aviaire avec celui de la grippe espagnole. Le but : étudier sa virulence. !!!

    « Ils sont dingues ! »

    Voilà les commentaires d’une partie de la communauté scientifique après la publication, hier, dans la revue Cell Host and Microbe, d’un article expliquant comment une équipe américaine a recréé le virus de la grippe espagnole.

    L’équipe de l’université du Wisconsin-Madison a utilisé la technique de génétique inverse pour construire le virus, à partir de huit gènes d’un virus de grippe aviaire prélevé sur des canards sauvages. Ils l’ont ensuite fait muter afin de rendre la propagation plus facile, indique The Guardian. Le nouveau pathogène ne présente, dans son génome, que 3% de différence avec le virus de la grippe espagnole. Le but, affirme l’équipe, qui a mené les recherches dans un laboratoire P4 (très haute sécurité), est de mettre en lumière le schéma de propagation d’un virus venu des oiseaux, quand il se répand dans la population humaine et cause une pandémie.
    Le virus a été testé sur des souris et des furets.

    Une pure folie

    « C’est une pure folie. Leurs recherches sont extrêmement dangereuses ! », a réagi Lord May dans le quotidien britannique. Pour cet ancien président de la Royal Society et ancien conseiller scientifique du gouvernement britannique : « Il y a effectivement un risque, mais il ne vient pas des virus qui circulent dans la nature, parmi les animaux, le danger provient des laboratoires de ces gens trop arrogants ».

    « Ces critiques ne tiennent pas compte des précautions extrêmes que nous avons prises » a rétorqué le professeur Yoshihiro Kawaoka, qui dirige la recherche. Il estime quant à lui que ces expériences sont indispensables déterminer s’il faut ou non développer les vaccins, et pour établir des schémas de lutte si une épidémie survient, rapporte The Independent.

    Cette polémique revient régulièrement sur le devant de la scène. Avec les mêmes arguments.
    D’un côtés, les expérimentateurs se disant téméraires, qui ont besoin de preuves et de tests pour appréhender le danger et la prolifération d’une éventuelle épidémie.
    De l’autre, les soi-disant conservateurs, qui estiment beaucoup trop dangereux de manipuler de tels virus, et appellent à cesser ces recherches immédiatement.

    Pour mémoire, la grippe espagnole a tué en 1918 50 millions de gens sur la planète. Trois fois plus de victimes que la Première Guerre Mondiale, en seulement quelques mois !!!

    A qui profitera le crime …

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  • Ces animaux mutants que la cuisine génétique nous prépare

    OGM 1
    Source : D’après Agnès Rousseaux site Basta !

    Les projets en cours ?

    Des vaches transgéniques au développement musculaire augmenté, des porcs GM dont le lait est enrichi en protéines nutritives pour élever un plus grand nombre de porcelets. Une chèvre avec un gène d’araignée produisant une protéine de soie ultra-solide dans son lait, qui sert à la fabrication de gilets pare-balles !!!
    Ou, un peu moins encombrant, le ver au gène d’araignée…

    La transgenèse animale est aussi utilisée par l’industrie pharmaceutique. « Dans le domaine médical, l’opposition à la transgenèse animale sera nulle. Quand les gens sont malades, ils sont presque prêts à accepter n’importe quoi », affirme Louis-Marie Houdebine qui est également membre du comité d’experts sur les biotechnologies, au sein de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), qui évalue les aliments contenant des OGM.(Merci Monsieur!)

    Le seul risque sanitaire des animaux transgéniques serait la diffusion d’allergènes, expliquent les chercheurs. « Mais j’imagine qu’on a dû donner à manger ces animaux ou des souris transgéniques à des rats, pendant trois mois », explique Louis-Marie Houdebine.

    Un croisement génétique entre cochon et souris, avec un gène supplémentaire de la bactérie E.coli. Cela vous ouvre l’appétit ?

    Ce porc transgénique a été créé par des chercheurs de l’université de Guelph au Canada. Baptisé «Enviropig», il rejette 30 à 70 % moins de phosphore dans ses excréments : la modification génétique lui permet de mieux digérer le phosphore du maïs ou du soja dont il se nourrit.
    Cette modification chromosomique se transmet de manière stable sur huit générations de porcs, affirment les chercheurs. L’élevage à des fins de recherche a déjà été approuvé.

    Le ministère de la Santé canadien évalue en ce moment l’innocuité d’Enviropig pour autoriser sa vente dans les rayons des supermarchés. Ce porc génétiquement modifié et présenté comme « écolo » pourrait donc arriver un jour dans nos assiettes.

    Le saumon qui grossit deux fois plus vite

    OGM 2

    Autre projet en attente d’autorisation : AquAdvantage, le saumon transgénique américain. Créé par AquaBounty Technologies, une entreprise de biotechnologies installée au Massachusetts (États-Unis), ce poisson génétiquement modifié est obtenu par l’addition d’un gène d’un autre saumon, et d’un gène d’anguille, agissant sur la croissance. Baptisé par ses détracteurs le « Frankenfish », il a la particularité de grossir deux fois plus vite que son homologue non modifié.

    La Food and Drug Administration (FDA) (l’agence de l’alimentation états-unienne) demande que ces saumons soient élevés dans des bassins sur terre, et non dans des cages en mer, pour réduire les risques de dissémination et de croisement avec des espèces sauvages.

    Pourtant les œufs du saumon sont actuellement produits à l’Île-du-Prince-Édouard, au Canada, et seraient expédiés au Panama pour l’élevage en cas de production de masse… AquaBounty ne produit que des saumons femelles, stérilisées. Mais la stérilisation n’est efficace qu’à 99,8 %, admet l’entreprise.

    Au Canada, l’étiquetage des OGM n’est pas obligatoire. « Il sera impossible pour les consommateurs de savoir si leur saumon est OGM ou pas. Tout le secteur des producteurs de saumons risquent de souffrir des craintes des consommateurs et du manque de transparence ».

    En 2011, des parlementaires se sont démenés pour bloquer toute approbation. En juin, la Chambre des représentants a interdit à la FDA de dépenser des fonds en 2012 pour l’approbation de ce saumon. Mais en septembre, le Département de l’agriculture des États-Unis a accordé une aide de 494 000 dollars à AquaBounty pour poursuivre ses recherches. Objectif : rendre son saumon transgénique complètement stérile, pour contrer les arguments sur les risques de dissémination. La bataille est loin d’être terminée.

    Un poulet génétiquement résistant à la grippe aviaire

    OGM 3

    « Les Britanniques ont créé des poulets transgéniques résistants à la grippe aviaire, et à toutes les bactéries de H5N1 », s’enthousiasme Louis-Marie Houdebine.

    Cette volaille est produite par des chercheurs des universités de Cambridge et d’Edimbourg, qui espèrent élargir prochainement leurs résultats à la production de poulets transgéniques résistants à de nombreuses maladies.
    Manger ces poulets présentera-t-il un risque ? « Il n’y a aucune raison de penser que ces poules pourraient être dangereuses d’une quelconque façon. La nature de la modification génétique est telle qu’il est extrêmement improbable que cela puisse avoir des effets négatifs sur les personnes consommant les poulets ou les œufs », affirme le site de l’université.
    En attendant la confirmation de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa).

    Un super lapin qui produit vos médicaments

    Louis-Marie Houdebine a cofondé une start-up, Bioprotein Technologies Inc., spécialisée dans la production de protéines et de vaccins, grâce au lait de lapines génétiquement modifiées : « À partir d’un gène identifié par ses clients, BioProtein Technologies conçoit des lignées de lapines transgéniques secrétant la protéine d’intérêt dans leur lait. »
    Dans des quantités allant du gramme à la dizaine de kilogrammes. BioProtein Technologies propose aux sociétés pharmaceutiques de nombreux services, de la « production rapide de quelques dizaines de grammes de protéines pour des travaux de recherche », à « l’élaboration de modèles animaux pour l’étude fonctionnelle de maladies humaines ». Remplacera-t-on bientôt les usines pharmaceutiques par des élevages de lapins ?

    En France, comme la c…. n’a pas de limite, l’animal transgénique, c’est aussi de l’art ! Parait-il !

    OGM 4

    Le projet « GFP Bunny » est né à Jouy-en-Josas, sous l’impulsion de Louis-Marie Houdebine, encore lui !!! En 2000, l’Inra crée le premier lapin fluorescent (sous une lumière ultraviolette), grâce à un gène de méduse.
    Le lapin est exposé lors d’événements culturels. Une affaire qui a fait polémique au sein même de l’Inra.

    Au début des années 2000, l’animal transgénique de compagnie a aussi eu son heure de gloire en Asie. Le TK1, poisson-zèbre fluorescent – lui aussi grâce à un gène de méduse – quitte les laboratoires.
    100 000 poissons mutants de compagnie sont produits en moins d’un mois, Taïwan autorise la vente, et le trafic s’organise vers les pays voisins.
    Aucune dissémination ?
    Taikong Corp. assure en 2003 que les prochaines générations de poissons seront rendues stériles… Trop tard !!!
    Sachant que le poisson-zèbre peut produire jusqu’à 200 œufs par ponte, il est temps de s’en préoccuper une fois l’animal lâché dans les aquariums du monde entier.

    Les risques et comment faire avaler la pilule au peuple

    Le risque de voir ces créatures transgéniques mélanger leurs chromosomes avec des espèces animales non modifiées existe bel et bien.
    Un processus incontrôlable aux conséquences imprévisibles. Aux Etats-Unis et au Canada, cela ne semble pas être un frein au développement en masse des « animaux GE » Genetically Engineered, pour l’alimentation. « Le lobby des biotechnologies est très puissant en Amérique du Nord. La demande d’autorisation du saumon OGM pour la consommation humaine est bien avancée aux États-Unis.

    En Europe, où les OGM ont moins bonne presse, les institutions travaillent sur l’acceptabilité sociale (ou comment faire avaler la pilule), au travers notamment du projet Pegasus, auquel collabore Louis-Marie Houdebine. « La Commission européenne est paniquée de voir la situation des OGM en Europe et à quel point on passe à côté de marchés », assure le chercheur.
    D’où ce projet européen qui cherche à analyser les « préoccupations du public » concernant le développement des animaux génétiquement modifiés, notamment « les produits alimentaires et pharmaceutiques dérivés ».

    Objectif : ne pas reproduire les « erreurs » de la diffusion des plantes OGM, qui ont entraîné le rejet des consommateurs.

    La Chine, paradis des animaux transgéniques

    Un rapport publié en octobre 2011 fait le constat que de nombreuses entreprises états-uniennes du secteur émigrent vers la Chine, eldorado de la transgenèse animale. Le rapport souligne les avantages de la recherche chinoise, menée « sans restrictions ». Et pointe le succès de la « complexe stratégie de communication » du gouvernement chinois, qui permet aujourd’hui une acceptation incomparable des animaux transgéniques par la population.

    Merci les chinois !

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  • Soigner ou guérir ? L’industrie pharmaceutique a choisi depuis longtemps.

    medoc1
    Source : Jean-Marc Dupuis, avec Effervesciences.

    Inventées par l’industrie pharmaceutique, voici 4 grosses arnaques qui ne fonctionnent que grâce à la complicité active des autorités sanitaires.
    Les médecins, eux, participent en général sans le savoir.

    Première arnaque « La chimio qui entretient les tumeurs »

    Un article publié fin novembre 2012 dans la revue Nature Medicine par une équipe de l’Inserm dirigée par François Ghiringhelli (Unité Inserm 866 « Lipides, nutrition et cancer ») à Dijon, souligne que deux médicaments de chimiothérapie couramment utilisés pour le traitement des cancers peuvent favoriser le développement des tumeurs cancéreuses [1] !!!

    Ces deux médicaments sont le 5-fluorouracile et la gemcitabine utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas.

    Le mécanisme de stimulation de la tumeur est le suivant :

    D’abord, ils activent un complexe protéique, appelé « inflammasome NLRP3 » au sein de certaines cellules du système immunitaire.

    Ensuite, cette activation conduit à la libération par ces cellules de la cytokine pro-inflammatoire, l’interleukine IL-1beta.

    Enfin, cette cytokine induit la production d’une autre cytokine (la cytokine IL-17) qui a des propriétés protumorales en favorisant l’angiogénèse tumorale, c’est-à-dire l’irrigation vasculaire des tumeurs.

    Plus vous prenez de ces médicaments, plus votre tumeur est donc irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Tout ceci est écrit noir sur blanc sur le site de l’Inserm, cité en référence (voir ci-dessous).

    Et pourtant, quelle est la conclusion des chercheurs ? Arrêter d’urgence d’utiliser ce médicament « anticancer » qui développe le cancer ?!

    Non, pas du tout : en application d’un principe médical de plus en plus systématique, il faut, selon eux, trouver un nouveau médicament à donner aux patients en plus de ces produits de chimio :
    « Nos résultats ont permis d’identifier que l’activation de l’inflammasome limite l’efficacité antitumorale de la chimiothérapie. Tout l’enjeu était ensuite de voir si nous pouvions empêcher l’activation de l’inflammasome », a expliqué François Ghiringhelli.

    Au lieu de supprimer un médicament, en donner un deuxième au patient pour compenser les effets négatifs du premier. Ou « comment fournir de nouveaux revenus à l’industrie pharmaceutique ». !!!!

    Deuxième arnaque :« Invention de maladies »

    « Dermato, c’est le meilleur métier : il n’y a jamais d’urgence, les clients ne meurent pas, et ils ne guérissent jamais. »

    Cette plaisanterie de carabin a bien été comprise par les laboratoires : plutôt que de courir après la pilule miracle qui guérit les patients, et donc ne sert qu’une fois, mieux vaut mettre sur le marché des médicaments que les patients consommeront toute leur vie.

    D’où l’invention d’un nouveau genre de médicaments, ceux qu’on prend «au cas où », pour retarder un processus clinique dont on ne connaît absolument pas l’échéance.

    Un exemple : Alzheimer. Il existe quelques médicaments par ailleurs très onéreux, qui sont supposés ralentir l’évolution de la maladie [2]. Des essais contre placebo ont montré que l’efficacité est quasi nulle (quelques pourcents de constatations favorables en plus dans le groupe traité).

    En revanche, les effets secondaires sont, eux, bien mesurables. Faut-il alors arrêter ces traitements ?

    Surtout pas, s’exclament les neurologues, car « même si le médicament en lui-même est de peu d’efficacité, le simple fait de le prendre et de consulter mensuellement constitue un recours psychique qui améliore les patients ». On ne saurait définir mieux un effet placebo qui coûte 2500 euros par an à la Sécu…

    Autre exemple : le dépistage « du cancer » de la prostate, alors qu’il s’agit d’un adénome qui, avec l’âge, peut devenir cancéreux, et le deviendra chez la quasi-totalité des hommes après 80 ans sans pour autant menacer leur vie.

    Jusqu’à récemment, on était un inconséquent râleur plus ou moins sectaire si l’on critiquait le système du tout « PSA-biopsies-exérese » qui a mutilé tant de patients. Et puis, pays après pays, les nouvelles se sont accumulées pour bien montrer que cette prévention forcenée n’avait de sens que dans un créneau de population bien déterminé.

    Il en est de même pour le vaccin HPV contre le papillomavirus, et pour les mammographies généralisées, dont la dangerosité commence enfin à être reconnue, très timidement toutefois, par la presse officielle.

    Troisième arnaque : « Baisser les normes d’alerte »

    Quand les symptômes sont insuffisants ou inexistants, il suffit de fixer des normes biologiques d’alerte afin de créer des millions de patients prétendument en danger. Ces « normes » discutables sont d’ailleurs régulièrement revues, au grand dam des médecins prescripteurs qui ne savent plus sur quel pied danser.

    C’est le cas du cholestérol, dont plus personne ne sait au juste quel est le taux réel à partir duquel il serait problématique, en dépit de l’invention d’une savante (et trompeuse) distinction entre « bon » et « mauvais » cholestérol.

    Et que dire de la multiplication des prescriptions médicamenteuses en psychiatrie [3], directement liée à l’augmentation fulgurante de nouveaux « troubles » ou « syndromes » qui n’existaient pas il y a seulement 20 ans ?

    A noter que, dans leur ouvrage « Le guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux », les Pr Debré et Even mettent en avant le « désert » en molécules nouvelles et efficaces de cette classe pharmacologique, les « nouveautés » étant des copies de copies de remèdes qui ont désormais 30 ans, mais simplement trois ou quatre fois plus chères…

    Quatrième arnaque : « Avandia » la catastrophe programmée

    Le quotidien américain Washington Post a publié un long récapitulatif sur un scandale médical plutôt gigantesque (estimé à 83 000 crises cardiaques ou décès) sur des diabétiques traités avec l’Avandia, et qui raconte comment un médicament dangereux peut volontairement être diffusé à l’échelle planétaire [4].

    Les faits : en 2006, paraît un article dans la revue de référence NEJM (New England Journal of Medecine), une revue dans laquelle chaque article est décortiqué avant parution par un collège d’experts a priori indépendants.

    Dans l’article, des résultats admirables pour l’Avandia, par comparaison avec deux médicaments concurrents. A l’époque, les « experts » n’avaient pas à signaler leurs liens avec les laboratoires concernés par leurs expertises. Si cela avait été le cas, on aurait su que chacun des 11 experts avait été gratifié par le laboratoire GSK d’honoraires de défraiement. Et que 4 d’entre eux étaient carrément salariés de la firme, et en détenaient des actions.

    Une fois l’autorisation de mise sur le marché obtenue, le labo lance l’Avandia et les prescriptions s’envolent. Avec, dans le milieu médical, un questionnement lancinant qui s’installe : est-ce bien normal que les diabétiques traités voient leur taux de « mauvais cholestérol » s’envoler ? Chez les cardiaques, ce serait pour le moins une contre-indication.

    Même au sein du labo, des responsables se posent des questions. De même qu’à la FDA, l’organisme de contrôle américain, qui demande à GSK de lancer une étude sur le sujet. Le labo s’exécute, mais remet en avant des études qui sont en fait faussées, car les patients cardiaques, donc ceux qui pouvaient présenter des troubles mesurables, étaient exclus de l’étude…

    Un procédé classique de « biais » très difficile à démêler par des experts pas trop regardants, mais qui n’échappe pas à Steven Nissen, un médecin qui avait montré sa détermination et ses qualités de pharmacologue dans le drame du Vioxx, pas une mince affaire (40 000 morts suspectées). Celui-ci récupère d’autres données, cette fois-ci sur des populations plus larges, ce qu’on appelle une méta-analyse.

    Ses résultats sont alors publiés en un temps record par le même NEJM, dont les rédacteurs sont effarés par les chiffres : « Si ces calculs sont justes, ce sont des milliers de patients qui sont en danger de mort ! »

    Mais GSK était prêt à la riposte et sort une énième étude biaisée, sur un échantillon faible et mal décrit, mais qui suffit à calmer provisoirement la panique.

    Nissen ne lâche pas le morceau et finit par obtenir, en 2010, qu’un relecteur de la FDA démontre que cette dernière étude du labo était faussée, et qu’elle n’était conçue que pour gagner du temps.

    La rumeur se transforme en bronca scientifique, des enquêtes sont menées par la FDA, elles prouvent qu’en interne le problème était bien connu, avalisé, comptabilisé.

    En septembre 2010, l’Avandia est retiré du marché en Europe, et subit de très importantes restrictions d’utilisation aux USA.

    Le 2 juillet 2012, GSK accepte de payer la somme record de 3 milliards de dollars pour que s’éteignent les poursuites judiciaires en cours pour plusieurs de ses médicaments, dont principalement l’Avandia.

    En France, plus de 200 000 diabétiques ont pris de l’Avandia pendant deux à trois ans, dans un parfait mutisme d’une presse pas encore traumatisée par l’affaire Médiator.

    Conclusion

    Dans la jungle des médicaments, mieux vaut ne pas… tomber malade.

    Un mode de vie sain, une bonne alimentation, la prise bien informée de compléments alimentaires de qualité, des activités relaxantes et un bon moral sont une nécessité pour limiter au maximum le risque d’être un jour victime des mille et un abus des laboratoires pharmaceutiques, et de tous ceux qui vivent de la maladie des autres.

    La formation et l’information sont nos seules options, avec des sources sérieuses. C’est une raison de plus de continuer notre travail à Santé Nature Innovation.

    A votre santé !

    Bibliographie :

    [1] Améliorer l’efficacité de la chimiothérapie en agissant sur le système immunitaire

    [2] Alzheimer serait contagieux, Alternatif Bien-Être, Janvier 2014

    [3] Allen Frances, Saving normal: an insider’s revolt against out-of-control psychiatric diagnosis, DSM-5, big pharma, and the medicalization of ordinary life. William Morrow, Mai 2013

    [4] Peter Whoriskey, As drug industry’s influence over research grows, so does the potential for bias. The Washngton Post, 25/11/2012
    medoc2


  • Dans la famille « POISON » je demande le GLUTAMATE.

    Glutamate

    Le glutamate est un additif alimentaire très populaire qui présente divers dangers sur des personnes hypersensibles à cette substance.

    Le glutamate monosodique (couramment appelé glutamate) est l’un des additifs alimentaires (code E 621) les plus utilisés dans l’industrie agro-alimentaire (1 500 000 tonnes par an) et dans la cuisine asiatique (qui utilise 80% de la production mondiale de cet additif), notamment parce qu’il est peu coûteux et efficace pour renforcer le goût.

    Le glutamate est un stimulateur chimique extrêmement puissant. L’industrie agro-alimentaire n’a pas trouvé de remplaçant à cet additif et les experts doutent qu’elle puisse en trouver à moyen terme. Le GMS est utilisé par l’industrie, dans de nombreux types de nourriture, depuis qu’il a été inventé au Japon en 1908.

    Chimiquement parlant, le glutamate monosodique est le sel sodium de l’acide glutamique (l’un des 20 acides aminés naturels non essentiels qui composent les protéines). Cela explique le nom de « glutamate de monosodium ».

    Pourquoi le glutamate est utilisé dans les nourritures ?

    Le GMS est principalement utilisé dans le monde en tant qu’exhausteur de goût. Comme nous l’avons dit plus haut, il s’agit d’une substance qui est ajoutée à un produit alimentaire pour compléter ou améliorer (dans le sens de renforcer) son goût ou arôme original, sans modifier le goût de ce produit alimentaire.
    De l’aveu même des industriels de l’alimentation :

    « Parce que son emploi est devenu une « nécessité commerciale » car il permet de rendre les consommateurs dépendants des aliments qui en contiennent. Les consommateurs choisissent donc leurs produits plutôt que ceux des concurrents, et mangent ainsi davantage que si le Glutamate monosodique n’avait pas été ajouté » !

    Où trouve-t-on le Glutamate monosodique (GMS) ?

    Il est plus simple de dire : DANS PRESQUE TOUT !!

    Les produits qui en contiennent le plus :

    • les chips,
    • les soupes en sachets,
    • les bâtonnets de crabes (surimi),
    • certaines charcuteries,
    • presque tous les bouillons en cubes (même « BIO » !!),
    • certains mélanges d’épices,
    • de très nombreux plats préparés (dont les risottos),
    • des centaines de desserts, bonbons et autres gourmandises pour enfant,
    • les produits dits de « régime » (où l’on trouve parfois le GMS et l’Aspartame dans le même produit !!),
    • de nombreux produits au soja,
    • etc.

    Les aliments qui en cachent souvent :

    • protéines de soja ou de blé,
    • sirop de mais,
    • acide citrique ou concentré,
    • épices,
    • arômes artificiels ou naturels,
    • arômes naturels de poulet, de bœuf ou de porc,
    • arôme « fumé »,
    • « maltodextrine »,
    • sauce au soja,
    • arôme de caramel.

    Ceux qui en cachent parfois :

    • protéines de lait, d’avoine ou de riz,
    • carraghénane (algue gélifiante),
    • isolat de protéines de blé ou de soja,
    • sauce au soja,
    • extrait de malt,
    • concentré de protéines.

    Remarque importante :

    Hélas, on trouve également du glutamate dans certains suppléments de vitamines, dans les capsules de médicaments (on trouve bien des sels de mercure dans les … vaccins !) et les compléments alimentaires contenant de la gélatine !

    Les autres nom du Glutamate monosodique (GMS) ?

    • GMS,
    • natrum glutamate,
    • gélatine,
    • protéines ou huiles végétales hydrogénées,
    • certaines huiles de mais,
    • extrait de levure
    • levure ajoutée,
    • Assaisonnement (lorsqu’il n’est pas défini),
    • « Arôme » Naturel,
    • Attendrisseur Naturel de Viande.

    et en anglais :

    • MSG
    • Accent
    • Natural Meat Tenderizer
    • Ajinomoto (nom de marque japonais de l’Umami)

    Dangers potentiels du glutamate de monosodium

    Selon certains experts (notamment le docteur Russell Blaylock), le glutamate monosodique est une excitotoxine, terme désignant une substance chimique qui excite vos neurones (cellules du cerveau) et qui peut provoquer la mort de ces neurones. Ces experts suggèrent que les excitotoxines comme le GMS peuvent aggraver de nombreux troubles neurologiques tels que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson.
    Pour ces experts, les dangers provoqués par le glutamate et d’autres excitotoxines peuvent inclure : attaques, endommagement des neurones, allergies, rougeurs, crises d’asthme, migraine, tumeurs cérébrales.

    D’autres personnes sensibles au glutamate de monosodium (environ 1 sur 5 000 dans le monde) ont rapporté d’autres dangers de cette substance :

    • Sensations de brûlure dans le dos, le cou, la poitrine, la bouche,
    • Engourdissement dans les mêmes régions du corps,
    • Paralysie,
    • Bronchospasme (difficulté à respirer) chez les personnes asthmatiques qui souffrent d’intolérance au GMS, incapacité à respirer, manque de souffle,

    • Enflure,
    • Transpiration excessive,
    • Picotements ou chaleur au visage, aux mains, au dos,
    • Nausées,
    • Faiblesse,
    • Contraction faciale,
    • Accélération du rythme cardiaque,
    • Douleurs à la poitrine,
    • Crises d’asthme,
    • Somnolence,
    • Envies de manger des nourritures malsaines.

    Une étude américaine réalisée sur des rats de laboratoire a trouvé que le GMS augmente leur risque d’obésité. Les jeunes rats nourris aux aliments contenant du GMS ont vu tripler la quantité d’insuline produite par leur pancréas, ce qui provoque leur obésité. Certains experts se posent la question de savoir si le glutamate monosodique peut produire le même effet négatif sur les humains, contribuant par là au problème d’obésité dans le monde entier.

    Alors bon appétit à tous !

    Fuyez les aliments « industriels », avec ou sans glutamate, avec ou sans additif alimentaire !
    Mangez naturel (et même bio) et équilibré.
    C’est le seul moyen d’éviter la toxicité engendrée par les aliments industriels modernes.
    Et surtout mangez varié pour éviter des carences éventuelles !

    Et je ne suis pas plus fort que les autres … nous venons d’acheter, pas plus tard que ce matin, une brique de soupe gourmande Liebig « Fondue de poireaux aux St Jacques » l’emballage précise en caractères gras « sans colorant et sans conservateur » Super ! Et en lisant la composition je vois entre autres : Glutamate !

    Allez, portez-vous bien !

    La prochaine fois je vous parlerai de la « maltodextrine » …

    Voir la page « A propos de ce blog » Remarque importante.