Peut-on faire confiance aux recherches et publications médicales ?

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publication médicale
Source : Zerohedge relayé par Express.be

« Une grande partie des recherches médicales, peut-être la moitié, pourrait être fausse »

« Que les rédacteurs en chef des deux revues médicales les plus prestigieuses au monde, Lancet et le New England Journal of Medicine, écrivent publiquement que la corruption sape la science est particulièrement frappant»,

Le mois dernier, le rédacteur de Lancet, Richard Horton, écrivait :

« Une grande partie de la littérature scientifique, la moitié peut-être, pourrait être tout simplement fausse. Affaiblie par des études avec de petits échantillons, des effets minuscules, des analyses exploratoires invalides, des conflits d’intérêts flagrants, le tout cumulé à une obsession en ce qui concerne la poursuite des tendances à la mode d’une importance douteuse, la science a pris un virage vers l’obscurité.

Et comme l’a bien dit un responsable « de mauvaises méthodes aboutissent à des résultats».

L’Académie des sciences médicales, le Conseil de la recherche médicale et le Conseil de recherche en sciences biotechnologiques et biologiques ont joué leur réputation lors d’une enquête sur ces pratiques douteuses.

L’endémicité apparente de la mauvaise conduite de la recherche scientifique est alarmante. Lors de leur quête de narration d’une histoire convaincante, les scientifiques sculptent trop souvent les données pour s’adapter aux théories mondiales favorites. Ou alors ils renouvellent leurs hypothèses pour qu’elles répondent aux données. Les rédacteurs en chef doivent être également critiqués. Nous aidons et encourageons les pires comportements. Notre acceptation des facteurs d’impact engendre une concurrence malsaine pour remporter une place au sein d’un nombre restreint de revues ».

Corruption et conflits d’intérêts

Toujours selon Richard Horton, les universités et les procédures nationales d’évaluation figurent également parmi les coupables. Les scientifiques ont aussi leur part de responsabilité car ils font peu pour modifier cette culture de la recherche qui vire parfois à l’erreur.

En 2009, le Dr. Marcia Angell, rédactrice en chef du New England Journal of Medecine, écrivait qu’il était pratiquement impossible de croire aux recherches scientifiques publiées.

Dans un essai, Angell explique que les compagnies pharmaceutiques, les départements universitaires et les groupes médicaux qui établissent des critères pour les diagnostics et les traitements sont souvent corrompus et affectés par les conflits d’intérêts.

« La corruption ne se limite pas aux domaines médicaux et scientifiques. Elle est devenue systémique au sein de chaque profession », conclut Zerohedge.

… et maintenant, qui croire, quand par exemple on vous dit prenez des Statines, c’est bon pour ce que vous avez … et c’est sans danger !

CECI ETANT DIT …

ESPERONS QUE LA PUBLICATION SUIVANTE SOIT VRAIE !

Un nouveau concept scientifique sonne le glas du marché mondial des statines

Avril 2015 – Si ce n’est pas encore le crépuscule du marché multimilliardaire des statines, ça y ressemble, un nouveau concept révolutionnaire sonne le glas du marché mondial des statines dans le domaine de la lutte contre les maladies cardiovasculaires. Les scientifiques de l’Institut du Dr Rath en Californie viennent d’en publier l’essentiel dans le très sérieux «American Journal of Cardiovascular Disease».

Selon ce groupe de scientifique, l’athérosclérose, la cause sous-jacente des arrêts cardiaques et attaques cérébrales est causée non pas par des niveaux élevés de cholestérol dans le sang mais plutôt par une faiblesse structurelle de la paroi artérielle, celle-ci résultant elle-même d’une déficience chronique d’acide ascorbique (vitamine C).

Les statines – médicaments utilisés contre le cholestérol par la médecine allopathique- prennent la part du lion en matière de couts de soins de santé dans les systèmes actuels d’assurance maladie. Le monde scientifique, les médias et les patients sauront-ils entendre l’appel à la raison et au bon sens – Le Manifeste de Maastricht – que viennent de lancer les scientifiques de l’Institut de Recherche du Rath à l’occasion du Symposium de Maastricht ?

Artériose sclér

Il y a à peine un mois «l’American Heart Association» (Agence américaine chargée de la lutte contre les maladies cardiovasculaires) avait tiré la sonnette d’alarme sur le dogme du cholestérol, soulignant au passage l’inutilité et la dangerosité de la méthode actuelle de traitement contre l’hypercholestérolémie.

En effet, avec 17 millions de décès par an soit environ 9 fois la population d’une ville comme Paris, la capitale française, les arrêts cardiaques, les attaques cérébrales et autres formes de maladies cardiovasculaires constituent la première cause de décès sur notre planète. Ceci montre que les traitements actuels par les statines ont échoués. Plus grave encore, la progression des maladies cardiovasculaires prend des dimensions épidémiques. Les deux facteurs combinés prouvent que la cause de l’hypercholestérolémie – niveaux élevés de cholestérol sanguin- reste incomprise.

L’hypothèse actuelle consistant à affirmer que des niveaux élevés de cholestérol dans le sang sont responsables des maladies cardiovasculaires ne tient pas debout, elle ne répond pas aux questions élémentaires de cardiologie : comme les niveaux de concentration du cholestérol sont les mêmes dans les artères et dans les veines, pourquoi les dépôts d’athérome s’accumulent ils uniquement dans les artères et non dans les veines ?

De plus, pourquoi ces dépôts d’athéromes se développent ils seulement dans les petites superficies des artères et rarement dans les organes?

Ou alors pourquoi l’athérosclérose, une caractéristique de la race humaine, est-elle inconnue chez les espèces animales?

D’éminents scientifiques de l’Institut de Recherche du Dr Rath en Californie viennent d’en percer le secret grâce à un modèle unique d’animal-une souris transgénique- et dont le métabolisme ressemble à celui des humains sur deux aspects essentiels: l’incapacité de synthétiser la vitamine C et en même temps la capacité de fabriquer la lipoprotéine(a)- une variante de la LDL (la lipoprotéine à faible densité).

En utilisant ce modèle animal, ces scientifiques sont parvenus à démontrer que l’athérosclérose naît d’une déficience de la vitamine C dans l’alimentation entrainant ainsi une faiblesse structurelle de la paroi artérielle. Cette situation métabolique conduit à la production d’une quantité considérable de sérum de lipoprotéine et son accumulation dans la paroi vasculaire donnant naissance à des lésions athérosclérotiques.

Cette étude confirme le concept scientifique publié déjà en 1990 dans le «Proceedings of the National Academy of Sciences, USA» par le Dr Matthias Rath en collaboration avec le double Prix Nobel Dr Linus Pauling. Ils ont établi que la lipoprotéine(a) est une molécule de réparation qui agit comme un substitut de la vitamine C dans la paroi vasculaire endommagée.

L’aspect le plus fascinant du modèle animal utilisé est le fait qu’il met en place un interrupteur génétique qui n’existe plus chez l’homme depuis environ 40 millions d’années,[ note de l’éditeur du blog : « les hominidés ont seulement environ 4 millions d’années !!! Faute de frappe ? »] couplant la disparition de la vitamine C à l’apparition de la lipoprotéine (a). Ceci prouve le concept selon lequel, au cours de l’évolution de l’homme, un évènement particulier peut expliquer la sensibilité de l’homme face aux maladies cardiovasculaires.

Le symposium de Maastricht tenu aux Pays Bas les 22 et 25 avril vient de renouveler «l’Appel pour la fin des maladies cardiovasculaires» (Call to End Heart Disease) lancé et signé par les Drs. Rath et Pauling voici deux décennies. Le Manifeste de Maastricht appelle les scientifiques, thérapeutes, les patients et le public en général à soutenir ce noble objectif visant une prévention efficace des maladies cardiovasculaires, en sauvant ainsi des millions de vie et économisant des milliards en matière de couts des soins de santé. Le Manifeste de Maastricht souligne à juste titre la consommation de certains nutriments, minéraux et vitamines comme l’acide ascorbique (vitamine C) de nature à éviter l’accumulation des niveaux importants de cholestérol dans les zones du système cardiovasculaire ou le stress mécanique sanguin est le plus important.

Accès en ligne: http://www.ajcd.us/files/ajcd0007056.pdf

Auteurs de l’étude: John Cha, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath