• Serions-nous manipulés ? (…à suivre…)

    Vous avez apprécié « pourquoi il est si rentable de vous vendre des biscuits », vous allez adorer les secrets du marketing, pour vous inciter à acheter toujours plus, leurs produits parés de toutes les qualités (du moins visuelles).

    Question qualité il y a l’art et la manière de vous présenter le « produit », c’est un cocktail de « greenwashing », de belles couleurs, d’images bucoliques. Vous ne pourrez plus dire que ce sont des escrocs, puisque avec leurs techniques, et une profonde connaissance de l’esprit mouton des consommateurs, c’est vous qui les alimentez!!

    Et en France c’est pareil, mais ils se garderont bien de vous le dire… Maintenant vous savez.

    Cette femme va expliquer à l’audience comment l’industrie alimentaire manipule les consommateurs par le biais du marketing. Elle va s’exprimer de manière réaliste, et avec beaucoup, beaucoup de cynisme…
    Regardez bien les visages de ces gens, et la façon dont ils se décomposent soudain tandis qu’elle les met face à face avec la réalité !

    Source : Demotivateur.fr , le 12.08.2014


  • Russie – « Qui n’écoute qu’une cloche, n’entend qu’un son … »

    A regarder et écouter attentivement, cette vidéo qui nous donne l’autre son de cloche que celui, assourdissant, de nos médias européens sur les événements qui enflamment l’Ukraine et le Moyen-Orient. Excellent sujet de réflexion aussi sur nos propres mécanismes de pensée.

    Économie, géo-politique, équilibre mondial, l’analyse du conseiller et ami de Poutine Sergeï Glazyev.

    (Utiliser le bouton cc en bas à droite pour obtenir les sous-titres en français)


  • Les extraterrestres pensent trouver une trace d’intelligence humaine sur terre d’ici quelques années …

    planete

    Petite pause détente avec un article du GORAFI, média satyrique, décalé, qui pose une question qui au final n’est peut-être pas si bête que cela:

    Y a-t-il une trace d’intelligence sur terre ?

    Que nous soyons responsables ou complices, quand on regarde ce que nous faisons à cette planète, à son sous-sol, à son climat, à ses ressources, à son eau, et même ce que nous nous faisons à nous-même, on peut se demander si nous sommes réellement aussi intelligents que cela …

    Bien sûr, ce texte reste de l’humour, quoique …

    Les extraterrestres restent étonnamment optimistes dans leur prévision de recherche. Ainsi, ils ont maintenu leur objectif de trouver une preuve d’une potentielle intelligence humaine sur Terre d’ici vingt ans.
    « Nos schémas de calculs nous montrent que notre faisceau de recherche se réduit, on va forcément toucher au but » estiment les chercheurs extraterrestres, pas découragés par la possibilité de se heurter à un possible mur. « On y pense, bien sûr. Qu’au fond, nous ne soyons qu’en fait terriblement seul dans l’Univers. Mais on pense que la Terre possède les caractéristiques nécessaires pour l’apparition de la vie et donc, pourquoi pas, d’une forme d’intelligence ».

    Découvrir une trace d’intelligence sur Terre remettrait en question de nombreuses théories et ouvrirait aussi la porte à un nouveau champ de possibilités. « C’est un peu notre obsession, savoir si nous sommes seuls dans l’Univers capables de raisonnement et d’empathie» explique un chercheur, même si pour bon nombre la possibilité que l’humain puisse posséder une telle faculté d’empathie reste clairement du domaine de la science-fiction.

    Les chercheurs arpentent ainsi la planète depuis des années, équipés de dispositifs et d’appareils, destinés à calculer et relever les traces de vie intelligentes.

    « Nous avons décelé des traces de vies, très résiduelles, mais pas forcément des traces d’intelligence » contrebalance un autre chercheur, moins optimiste que ses confrères.
    À l’issue de la conférence de presse, les chercheurs ont annoncé leur intention de focaliser leur recherche sur une région non analysée dans l’immédiat et dans laquelle ils ont placé de grands espoirs de découvertes, le Moyen-Orient.

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  • Pourquoi il est si rentable de nous vendre des biscuits …

    Vous connaissez tous plus ou moins les centaines d’additifs ajoutés à tout ce qui se vend pour se nourrir, mais il y a plus subtil… Lisez et n’oubliez pas les conseils !

    biscuit

    Dans toutes les grandes entreprises qui fabriquent des bonbons ou des biscuits (mais cela vaut aussi pour les yaourts, desserts en tout genre, plats préparés), il y a un département très important appelé le « contrôle de gestion ». Son travail consiste à réduire les coûts et augmenter les marges de toutes les manières possibles.

    « Dégrader le produit »

    Pour les produits alimentaires, le moyen le plus efficace de réduire les coûts est de modifier la recette pour économiser sur les matières premières.

    Il s’agit de remplacer les ingrédients onéreux par des matières premières moins nobles, ou de doser différemment les ingrédients de la composition pour abaisser le coût de revient – très discrètement.
    Les professionnels appellent cela « dégrader le produit ».

    Cela consiste, à réduire la quantité de saccharose pour augmenter la dose de sirop de glucose, remplacer les bonnes graisses par des huiles végétales hydrogénées, de l’amidon, de la gomme de guar, augmenter le volume en rajoutant de l’eau et du gluten pour faire gonfler, et donner l’illusion à l’acheteur qu’il en a plus pour son argent.

    Des entreprises spécialisées « aident » les industriels à cela, comme par exemple la société Chamtor, qui explique sur son site Internet :
    « Les sirops de glucose employés en biscuiterie permettent de fabriquer des biscuits secs de qualité tout à fait comparable à celle des produits à base de saccharose.
    L’utilisation de sirops riches en maltose permet d’améliorer la qualité des biscuits tout en augmentant le taux de substitution du saccharose (gain économique) sans risque de coloration excessive. Le H-MALTOR 70/80 donne des biscuits très lisses et brillants.
    L’intérêt de GBS-P51 dans la fabrication des biscuits réside dans le fait que, pour une matière sèche identique, il réduit la viscosité. Ceci permet de réduire la quantité d’eau incorporée et par là-même, de diminuer les coûts énergétiques.
    L’addition de GBS-P51 à 0,1-0,6 % permet également de réduire le retreint et l’ovalisation. »

    Le but est toutefois d’éviter que le consommateur moyen s’en aperçoive. Car bien entendu, les fabricants savent qu’ils perdront les acheteurs les plus avisés, dont certains se plaignent sur des forums Internet :
    « Au moment même où j’ai remarqué que le Cornetto est devenu dégueul***, on passait la pub avec un slogan du genre “Le meilleur Cornetto de tous les temps”.

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    Quand les changements se cumulent pendant plusieurs années, le produit peut ainsi dériver de façon incroyable. Mais la majorité des consommateurs, dont le goût a évolué au fur et à mesure des changements, ne s’en aperçoit pas.

    Ils continuent à acheter aussi cher, et même plus cher, un produit qui coûte de moins en moins cher à produire. Et c’est ainsi que les industriels se remplissent les poches, tranquillement, sur le dos de ces acheteurs qui ne se méfient pas assez, et qui ne se doutent absolument pas de leurs pratiques.

    Cas d’école : les biscuits Prince

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    Les personnes qui n’ont plus mangé de biscuits Prince depuis les années 80 seront tout étonnées de la texture des Princes nouvelle génération : ils s’émiettent, ne nourrissent pas, ressemblent à du polystyrène expansé et sont beaucoup plus sucrés. De fait, les Princes actuels sont beaucoup plus légers qu’avant, et les ingrédients ne sont plus les mêmes : avant l’été 2008, le célèbre paquet de Prince LU pesait 330 g. À la rentrée, suivante, il ne pesait plus que 300 g, mais coûtait toujours le même prix.
    Le chocolat qui, jadis, touchait les bords, ne forme plus qu’un petit rond à l’intérieur à peine plus grand qu’une pièce de 2 euros.

    Sur le paquet, il n’est d’ailleurs plus écrit « Prince au chocolat »… mais au « goût chocolat »!

    Quelques autres exemples.

    C’est comme les pizzas de supermarché qui étaient autrefois faites avec du fromage et qui sont maintenant recouvertes de « préparation fromagère ». On imagine la «mama» avec toutes les éprouvettes dans la cuisine.

    Sur les forums, les consommateurs s’accordent à dire qu’un des produits qui s’est le plus dégradé, en dehors des Princes, est la Danette . Ils citent également Paille d’Or, Lu Petit Déjeuner, Kangoo, Pepito, le Galak, Lion et enfin Mars.
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    La nouvelle recette de Mars appelée Cœur fondant, introduite en 2007 soit disant «afin de s’adapter aux nouvelles demandes des consommateurs», a perdu 16 % de son poids, mais est restée au même prix.

    Jouer avec la taille.

    Danone a imaginé une stratégie assez rusée pour ses crèmes dessert. Vendus par quatre, les pots de crème vanille ou chocolat pèsent 125 grammes. Vendus par douze ou par seize, ils ne pèsent plus que 115 grammes. « Réduire les portions, c’est réduire l’impact en terme de calories », explique Danone !
    Autrement dit : « On vous arnaque… mais c’est pour votre bien ! Cela vous évite de trop manger de nos produits qui sont mauvais pour la santé. »

    Le pot de Jokey de 1 kg ne pèse plus que 850 grammes, les 4 petits pots de 100 g ne pèsent plus que 90 grammes.

    Pour la plupart des marques, l’eau minérale est passée de 1,5 litre à 1,25 litre, l’eau Saint-Amand est passée à 1 litre, la Badoit à 0,75 L.
    Le sucre en poudre, qui s’était toujours vendu au kilo, est aujourd’hui conditionné dans des sachets en plastique de 750 g.

    Il n’y a plus que 16 dosettes de café au lieu de 18 dans les paquets L’Or Intense de Carte Noire… Mais l’apparence du paquet et le prix sont restés les mêmes.

    L’imagination des commerçants est sans limites : des équipes entières passent leur vie à réfléchir aux moyens de vous faire payer plus pour leur produit, alors que vous même prenez votre décision d’achat en quelques secondes au supermarché.

    La lutte est inégale. Revenez toujours au prix au kilo, et préférez les produits les plus simples, les plus naturels, les moins transformés, avec l’emballage le moins compliqué possible.

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  • Le graphique qui tue.. Le plus gigantesque hold up de l’histoire

    Source : http://www.societal.org/docs/dette-publique.htm

    Rappel : 1979 est l’année où la France, sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing (merci à lui !), à renoncé à battre monnaie au profit du S.M.E. (Système Monétaire Européen).

    Masqué par le prétexte de la construction européenne nous avons eu droit à la plus parfaite entourloupe, le plus gigantesque hold-up de l’histoire européenne ! Tellement bien fait que des générations plus tard, ça rapporte encore !

    Voici pourquoi ou plutôt pour qui certains européens meurent de misère et pourquoi nous, français, sommes à bout de souffle , et allons forcément souffrir à notre tour…
    dette

    La dette à fin 1979 était de 239 milliards d’euros, déjà injustifiables ;
    la dette à fin 2008 s’établit à 1 327 milliards d’euros !

    Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1 088 milliards d’euros
    et nous avons payé 1 306 milliards d’euros d’intérêts.
    Si nous avions pu créer notre monnaie — faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées — la dette publique serait quasiment inexistante aujourd’hui.

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  • Bientôt la police dans nos jardins ?

    police

    Source : Jean-François Chalot AGORAVOX

    L’information avait filtré en 2013 et certains sites en avaient parlé….
    Mais personne n’y croyait trop.

    Eh bien ça y est, ils vont oser ces technocrates de Bruxelles rendre illégales la pousse, la reproduction et la vente de végétaux non testées par cette nouvelle autorité, une de plus, appelée l’Agence européenne des variétés végétales.

    La culture privée des légumes serait ainsi interdite au nom de raisons sanitaires.
    A qui vont-ils faire croire que c’est la santé qui prime ?

    De fait la Commission européenne va confier le contrôle de l’approvisionnement à des multinationales comme Monsanto….à des sociétés qui utilisent à grandes doses les produits dangereux comme les pesticides et les désherbants.

    Monsanto peut d’ailleurs doublement se féliciter puisqu’en plus l’Union Européenne vient d’annoncer le 6 juin 2014, l’autorisation des cultures OGM !?

    C’est le débarquement sur nos côtes de tous les produits du géant …

    Ce n’est pas la liberté qu’on nous offre mais le monopole assuré des grands groupes qui assurent directement ou indirectement la « mal bouffe » et la fin programmée de la culture libre.

    La Commission européenne n’a pas peur du ridicule quand elle appelle sa loi :
    « Des règles plus intelligentes pour des denrées alimentaires plus sûres : la Commission propose un paquet législatif primordial pour moderniser, simplifier et renforcer la filière agroalimentaire en Europe ».

    De qui se moque-t-elle ?

    Des petits producteurs, des circuits militants et des familles qui cultivent leur petit jardin et qui s’échangent des semailles.

    Les contrevenants risquent demain une amende de centaines d’euros s’ils n’obéissent pas aux diktats de Bruxelles !

    Des fonctionnaires assermentés ou des policiers vont-ils demain pouvoir rentrer dans les jardins et les potagers pour verbaliser.

    Evidemment nous n’en sommes pas encore là…. La loi va surtout viser à normaliser, contrôler tous les circuits de distribution …

    Le petit jardin familial serait « hors loi », espérons-le !

    Ce qui est certain c’est que les règles « plus intelligentes » visent à empêcher d’une manière ou de l’autre toute culture qui n’entre pas dans les normes.

    J’espère qu’un vent de protestation va se lever pour que cette loi ne soit pas votée.
    Il nous resterait en cas de sortie de ces textes iniques à nous déclarer INSOUMIS !

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  • Les joueurs de poker contre les joueurs d’échec, le bluff contre la stratégie …

    L’oncle Sam est mal en point

    oncle sam

    Le bluff des joueurs de poker et éventé …

    Chacun sait que les États-Unis tirent un immense avantage du fait que leur monnaie nationale est aussi l’unité de compte utilisée comme monnaie internationale de transactions et de réserve.

    C’est ce « privilège exorbitant », comme disait Giscard, qui leur a permis de faire financer leur dette par des pays étrangers tenus d’accumuler des réserves de titres libellés en dollar pour commercer avec des tiers (à commencer par les « pétrodollars » qui leur permettent d’acheter du pétrole), d’exporter ainsi leur inflation et de se procurer une foule de biens à des coûts artificiellement bas, du seul fait de leur capacité à imprimer des quantités presque illimitées de papier-monnaie.

    Or, cette suprématie est désormais menacée.

    Lors du sommet de Fortaleza, les 15 et 16 juillet derniers, le groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Amérique latine et Afrique du Sud, soit 42,6 % de la population mondiale) a décidé la création d’une Banque de développement et d’un Fonds de stabilisation des réserves monétaires qui rempliront les mêmes fonctions que la Banque mondiale et le FMI, deux institutions largement dominées par les États-Unis depuis leur création. La nouvelle banque, dotée d’un capital initial de 100 milliards de dollars, aura son siège dans la capitale économique de la Chine – Shanghai – et n’utilisera que les monnaies des pays émergents. C’est l’accord financier multilatéral le plus important signé depuis 1945.

    Le dollar voit ainsi son monopole entamé, tandis que la Banque mondiale et le FMI perdent une partie de leurs moyens de pression exclusifs.

    … Et les joueurs d’échecs avancent tranquillement leurs pions.

    En prévision de la fin du Dollar, la Russie et la Chine vont effectuer leurs transactions en monnaies nationales !

    C’est le signe qu’une catastrophe majeure menace les USA à court terme.

    Moscou et Pékin facilitent les relations commerciales mutuelles sur le fond des sanctions économiques. La Banque centrale de Russie et la Banque populaire de Chine se sont mises d’accord sur l’organisation des échanges financiers en roubles et en yuans. Il s’agit des transactions qui prévoient simultanément l’achat et la vente d’une monnaie en échange de la monnaie d’un autre pays.

    Le projet d’accord sur ces échanges financiers a enfin été coordonné par les gouvernements des deux pays. Cependant la Banque centrale de Russie et la Banque populaire de la RPC n’ont fait aucun commentaire sur le volume éventuel de ces échanges financiers en monnaies nationales. Et elles n’ont pas donné la date du lancement de ce programme.

    Pourtant, ce qui est évident, c’est que les deux pays vont faire tout leur possible pour ne pas s’entraîner dans des procédures formelles trop longues avant la signature de l’accord. Car les régulateurs ont déjà donné leur feu vert, ce qui permettra aux sociétés russes d’avoir l’accès au renminbi (yuan chinois). Quant à leurs partenaires chinois, ils auront également un accès direct au rouble russe.

    Cet accord entre les régulateurs russe et chinois est également un signal pour les Etats-Unis, qui montre que la Russie et la Chine construisent un nouveau modèle de collaboration sur le fond des sanctions, et ce modèle leur permettra de se passer du dollar américain.

    Autre exemple : La livre turque remporte le match contre le dollar

    A l’issue d’une rencontre entre le ministre du Développement économique de Russie Alekseï Oulioukaev et son homologue turc Nihat Zeybekci en marge du G20 des entrepreneurs en Australie Ankara a proposé à Moscou de passer aux règlements en roubles et en livres turques.

    Selon les experts, une des raisons de l’abandon du dollar est la position totalitaire de l’administration américaine. Plus particulièrement ses décisions imprévisibles et autoritaires sur des sanctions unilatérales contre tels ou tels participants au marché international.
    oncle sam 2


  • Qu’est-ce que nous cache EBOLA ?

    ebola

    Formé à Harvard et expert en santé publique et maladies émergentes, le Dr. Leonard G. Horowitz déclare que l’«Urgence Sanitaire Internationale» de l’Organisation Mondiale de la Santé et l’«épidémie» d’Ebola de 2014 démontrent un crime commercial, attesté par une fraude scientifique.

    Dans une rapport spécial de 24 minutes préparé pour une diffusion publique sur la chaîne Viméo Revolution Television, [ ]

    Le Dr. Horowitz, auteur et réalisateur de films primés, en compagnie de Sherri Kane, journaliste d’investigation, prétendent que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) rendent les gens victimes d’une fraude, après que des industriels en pharmacie aient égaré une souche Zaïre d’Ebola qui se trouvait dans le réfrigérateur d’un laboratoire d’armes biologiques.

    La seule explication plausible de la soudaine ré-émergence dans un pays différent du germe caché depuis des années dans ce que l’on nomme un «réservoir naturel», est liée à une recherche de profit et à une criminalité financière, nous informe Horowitz.

    Pour prouver la fraude scientifique, les lanceurs d’alerte utilisent leur bon sens et les archives historiques en passant au crible les dires de l’OMS et du CDC qui prétendent que le «réservoir naturel» pourrait être les «chauve souris frugivores.» Cette «histoire officielle» est de la «pseudo science», selon Horowitz, se référant à de prétendues découvertes d’officiels de la santé selon lesquelles 4% des chauvesouris testées au Bangladesh (Asie) étaient prétendument porteuses d’anticorps de «l’Ebola africain».

    “C’est la même pseudo science et arnaque que le CDC a perpétré en 1967 après que le premier virus Ebola – le Marburg – se soit échappé simultanément de 3 usines de production de vaccins en Allemagne et en Yougoslavie,” rappelle le docteur. A cette époque, les officiels américains ont prétendu qu’on trouvait des anticorps chez 50% des singes testés, alors qu’aucun autre laboratoire n’a pu reproduire cette revendication.

    Le docteur conclut : “un bouleversement socio-économique et politique majeur” au Liberia, impliquant des officiels des industries, aussi bien pétrolières que pharmaceutiques, est ce qui explique le mieux l’éruption d’Ebola qui a tué prés de 1,000 personnes, principalement au Liberia, même s’il a été dit que le virus a fait ses premières victimes en Guinée.
    “Couplez les faits scientifiques à la censure du Dr. Horowitz, qu’il subit en tant que lanceur d’alerte de l’industrie pharmaceutique, et vous vous retrouvez avec des preuves substantielles d’un complot d’entreprises dans le but de créer un génocide,” a dit Kane, en colère contre la suppression faite par Google/YouTube des chaînes YouTube des deux journalistes, regardées par des millions de personnes au moment où l’Ebola fait les gros titres.

    Les journalistes demandent aux activistes de diffuser leur vidéo éducative de 24 minutes, ainsi que le chapitre sur l’ebola du livre gratuit écrit par le docteur, afin de générer un débat public sur les risques pour la vie des gens au niveau international.

    “Pensez-y,” dit le Dr. Horowitz, “les plus riches, les plus puissants, ceux à qui l’on peut faire le moins confiance dans ce monde, dictent ce qui peut être ou non discuté ou publié dans la communauté scientifique et sur les forums publics, à partir desquels des décisions et planifications de réponses d’urgence avec usage de médicaments et de vaccins sont prises. »

    Ces faits consolident les preuves de «mauvaise foi», de «tricherie» et de crime commercial.

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  • Bruxelles fourre son nez de technocrate borné dans la Lavande !

    lavande

    La lavande qui était menacée par un insecte, l’est maintenant par la réglementation européenne!

    Les producteurs se battent désormais sur un nouveau front : le classement de l’huile essentielle de lavande comme produit «dangereux».

    Car selon une règlementation européenne (Reach) de fin 2013, l’huile essentielle, issue de la distillation de la plante, est désormais assimilée à un produit chimique.

    «C’est une absurdité totale, le terme de distillation est inapproprié, il s’agit d’extraction à la vapeur d’eau» tonne Raymond Agnels, distillateur à Apt (Vaucluse) qui mène campagne contre cette directive qui prévoit d’inscrire sur tous les étiquetages de produits contenant de l’essence de lavande le logo «produit toxique» ou «produit dangereux».

    La directive impose par ailleurs aux distillateurs, assimilés à des fabricants de produits chimiques, de faire des tests pour évaluer l’impact de leur produits.

    A terme, c’est l’utilisation de lavande naturelle par la grande parfumerie qui est condamnée, craint M. Agnels jugeant que «l’on va vers la disparition de grands parfums» au profit des molécules chimiques.

    Christophe Castaner qui partage cet avis s’est lui aussi lancé dans la bataille contre une directive qui constitue «une menace pour toute la filière».
    Il la juge «inadaptée car la lavande n’est pas un produit chimique» et demande à Bruxelles «de traiter différemment les huiles essentielles» des autres produits «à base de molécules chimiques».

    Le député se dit «convaincu que l’on peut obtenir une procédure spécifique», pour la lavande. Mais «pour l’instant, cela n’a pas abouti», regrette-t-il, même si le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll «s’est dit très attentif» au problème. Une pétition lancée fin 2013 par les professionnels a recueilli plus de 15.000 signatures à ce jour.

    A quand une directive européenne contre les incompétents bruxellois !

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  • Irak : que valait-il mieux, un dictateur mégalomane ou des djihadistes monstrueux ?

    Monstres

    Les djihadistes de « l’Etat islamique en Irak et au Levant » sont des monstres. Personne ou presque ne le conteste. Mais s’en tenir à ce constat et à la compassion pour les populations martyrisées relève de l’escroquerie.

    Ces monstres ont été enfantés par le prix Nobel de la paix Obama, Hollande et la plupart des dirigeants occidentaux.

    D’où vient l’argent ?

    L’organisation terroriste dispose de moyens financiers considérables. L’argent provient de plusieurs pays du Golfe alliés de Washington et bien en vue à Paris, de braquages comme celui de la succursale de la banque centrale irakienne à Mossoul au début du mois de juin avec un butin de 425 millions de dollars, du commerce du pétrole avec la production de plusieurs raffineries comme celles de Tikrīt et Baiji et … du pillage d’antiquités vendus au prix fort en Occident par des réseaux mafieux.

    D’où viennent les armes ?

    Un grand merci au grand Sam et à ses copains de Londres et de Paris.

    Le matériel fourni aux opposants à Bachar el Assad est passé à 90% entre les mains des Djihadistes avec en prime les reliquats des arsenaux libyens ainsi que des blindés, des tanks et de l’armement lourd de fabrication US pris à l’armée irakienne en déroute.

    Les talibans en Afghanistan avaient été armés par Reagan au nom de la défense du « monde libre » avec les résultats que l’on connaît.

    Les dirigeants occidentaux pourront désormais dire à propos des djihadistes : « ce sont des monstres, mais ce sont nos monstres. »


  • Epidémie, encore plus dangereuse que la fièvre hémorragique Ebola

    Epidémie
    Source Syti.net – Yab Leo

    Epidémie de bonheur !

    Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse.
    l’OMB (Organisation Mondiale du Bien-Etre) prévoit que des milliards d’individus seront contaminés dans les dix ans à venir …

    Voici les symptômes de cette terrible maladie :

    1 – Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.

    2 – Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.

    3 – Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente l’un des symptômes les plus graves)

    4 – Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne la disparition de l’habitude de vouloir changer les autres.

    5 – Désir intense de se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses potentiels de santé, de créativité et d’amour.

    6 – Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit « merci » et donne un sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.

    7 – Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.

    8 – Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec son Ame, Non-duelle… Être, ce qui donne un sentiment très agréable de plénitude et de bonheur.

    9 – Plaisir de se comporter en guérisseur qui apporte joie et lumière plutôt qu’en critique ou en indifférent.

    10 – Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la fluidité et l’égalité, sans jouer ni les victimes, ni les bourreaux, ni les sauveurs.

    11 – Sentiment de se sentir responsable et heureux d’offrir au monde ses rêves d’un futur abondant, harmonieux et pacifique.

    12 – Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à chaque instant, le beau, le bon, le vrai et le vivant.

    Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, la dépendance, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes.

    Cette maladie est extrêmement contagieuse !

    Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible.
    Les traitements médicaux peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable du mal.

    Aucun vaccin anti-bonheur n’existe.

    Comme cette maladie du bonheur provoque une perte de la peur de mourir, qui est l’un des piliers centraux des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux risquent de se produire, tels des grèves de l’esprit belliqueux et du besoin d’avoir raison, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, des cercles de partage et de guérison, des crises de fou-rire et des séances de défoulement émotionnel collectives.

    Un peu de positivisme ne peut pas faire de mal et la «Pensée Positive», ne fait du bien qu’à ceux qui en ont…

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  • Une étude pourrait remettre en cause toutes les autorisations de mise sur le marché des OGM

    OGM

    Des chercheurs viennent de montrer que le principe « d’équivalence en substance » avancé par les fabricants d’OGM pour imposer leurs produits n’est pas fondé.

    Cette étude menée sur le soja pourrait remettre en cause les autorisations des plantes transgéniques. T. Bøhn, M. Cuhra, T. Traavik, M. Sanden, J. Fagan et R. Primicerio du Centre de Biosécurité de l’université de Tromsø (Norvège) viennent de publier dans la très respectable revue Food Chemistry (du groupe néerlando-britannique Elsevier Science) les résultats de leur étude comparative portant sur 31 lots de soja cultivés dans l’Iowa (Etats-Unis).

    Ces échantillons de soja ont été répartis en trois groupes :

    • soja génétiquement modifié (GM) pour tolérer le glyphosate (le principe actif de l’herbicide Round up de Monsanto).
    • soja non modifié cultivé en « conventionnel » c’est-à-dire avec intrants chimiques.
    • soja non modifié cultivé en agrobiologie.

    L’étude rapporte que les graines de soja génétiquement modifié «Roundup Ready» (RR) de Monsanto contiennent des résidus de glyphosate et de l’acide aminométhylphosphonique (principal produit de dégradation chimique du glyphosate) respectivement à des taux moyens de 3,3 et 5,7 mg /kg. C’est la preuve que le glyphosate s’accumule dans le soja Roundup Ready.

    L’article décrit aussi la différence de composition nutritive entre soja GM et soja non GM. Le soja biologique contient plus de sucres (glucose, fructose, saccharose, maltose), significativement plus de protéines, plus de zinc et moins de fibres que les sojas conventionnels ou génétiquement modifiés. Les fèves de soja biologiques contenaient également moins d’acides gras saturés et d’acides gras polyinsaturés (oméga- 6).

    Disposant de 35 critères différents pour caractériser chaque échantillon de soja, l’équipe affirme pouvoir «distinguer, sans exception, soja génétiquement modifié, soja conventionnel et biologique », ce qui ruine le concept « d’équivalence en substance» avancé par les fabricants d’OGM pour imposer leurs produits et s’affranchir des expérimentations et du principe de précaution.

    Accumulation d’herbicide dans la graine et différence de composition entre deux végétaux de la même espèce selon que l’un est génétiquement modifié et l’autre pas : si, comme il se doit, les gouvernements et les autorités sanitaires s’en emparent, cette étude peut déclencher la remise en cause de toutes les autorisations de mise sur le marché des OGM.

    Un séisme industriel, scientifique, idéologique, qui pourrait sonner le glas d’une époque.

    Peut-être …


  • Pour ceux qui s’inquièteraient, encore, de Fukushima …

    A FUKUSHIMA tout va bien …

    De beaux légumes …
    Fukushima

    Des enfants en bonne santé … Tout est OK !
    Fukushima 1

    Quoique … Voir ce Blog :FUKUSHIMA

    Et un témoignage …

    Témoignage d’un “cerveau irradié”

    Depuis le 11 mars 2011, le monde où je vis a presque complètement changé, tout d’abord dans la vie quotidienne. La contamination radioactive n’est pas proportionnelle à la distance mais elle est influencée par des éléments variés : vent, précipitations de pluie ou de neige, relief terrestre… Par exemple, une des plantes sauvages printanières, koshi-abura, s’est révélée polluée, le 21 mai 2014, à Nagano (340 Bq/kg) et à Karuïzawa (300 Bq/kg, 160 Bq/kg), selon les résultats de mesure de radioactivité des aliments, rapportés par le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales, bien que ces municipalités soient à 266 km et à 247 km de la centrale détruite. Je ne peux donc plus goûter les pousses de bambou, ni toutes les pousses sauvages comestibles du printemps, ni des champignons sauvages, ni les poissons d’eau douce en automne, si ces produits agricoles, avant-coureurs des quatre saisons, sont en provenance de l’est de l’archipel. Même s’ils ne viennent pas directement des départements voisins de Fukushima, ils peuvent plus ou moins être contaminés.

    Dans ma ville, qui est à 245 km de Fukushima Daiïchi, la radioactivité n’est pas très élevée : 0,04 à 0,08 μSV/h. Mais il y a du vent, des arbres avec leurs feuilles et le sol. Il ne faut pas respirer de particules radioactives qui pourraient flotter dans l’air. Je porte un masque pour sortir depuis lors. Et on qualifie ceux qui font minutieusement attention à leur santé comme moi de “cerveau irradié” (hôsha-nô), sorte de psychose, de fou, tout court.

    L’origine de nos inconvénients et du malheur, c’est la politique nucléaire de ce pays et les compagnies d’électricité qui en profitent énormément. Pour contester son manque de conscience et son absence de responsabilité, j’ai arrêté le prélèvement automatique Tepco et règle directement au comptoir de supérette, et volontairement en retard. Tantôt, je paie 11 yens de trop pour attirer l’attention de sa part. L’employé qui s’en occupe lira ces phrases protestataires dans la marge d’une facture : « Rémunérez comme il faut les liquidateurs irradiés ! », « Ne redémarrez pas la centrale à Kashiwazaki-Kariwa ! », « Honte à votre système de sacrifice ! ». Je ne suis pas assez riche pour offrir tous les mois 311 yens à cette entreprise inconcevablement décevante mais je ne suis pas seule non plus à payer de cette façon : nous sommes 200 à 300 partout dans l’archipel et nous avons une liste de diffusion en commun pour communiquer. C’est encourageant.

    Enfants inconscients des dangers de la radioactivité jouent à côté de déchets radioactifs à Fukushima.
    Source : Evacuate Fukushima
    Fukushima 2

    Quand les japonais avaient le sens de l’honneur (mais qui l’a encore) les fautifs se faisaient Hara-kiri, ça avait de la classe ! Maintenant ils disent « désolé ! »

    Fukushima 3

    Tout fout le camp !

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  • Une étude récente montre que le goût des tomates et des fraises vendues en supermarché déçoit, dans l’ensemble, les consommateurs.

    Un sondage qui n’enchante pas les producteurs locaux.

    L’étude a été largement reprise et diffusée dans les grands médias nationaux la semaine passée. Réalisée par l’association de consommateurs «Consommation Logement Cadre de vie» (CLCV), elle tend à montrer que les consommateurs sont déçus par le goût des tomates et des fraises commercialisées dans les grandes surfaces.
    CLCV a organisé cinquante-deux séances de dégustation à l’aveugle auprès de mille consommateurs, entre le 15 mai et le 30 juin.

    Que répond la profession à ces critiques :

    « Le goût, c’est trop subjectif »

    «Faire une enquête objective sur du subjectif…», déplore Jean-Michel Ruchaud, président de Fruits & Légumes d’Aquitaine.
    «Qu’y a-t-il de plus subjectif que le goût ? Mais c’est l’été, et depuis dix ans, on nous sort deux, trois études de ce genre chaque année. Je peux vous sortir une étude où 10 000 personnes affirmeront le contraire. On n’a pas accès à toutes les données de ce test. Certes, il existe des produits médiocres mais qui sont bien identifiés, qui ont un aspect particulier. La production de la tomate et de la fraise en France est enviée dans le monde entier. Qui peut dire que les gariguettes ou les ciflorettes ne sont pas bonnes ? Ce qui pousse le mieux, c’est la peur. La rigueur intellectuelle, en revanche, non.»

    Comment sont cultivées, par exemple, les gariguettes :

    Fraise

    Et elle est où la terre ?
    Arrosage et nutriments chimiques circulent dans des tuyaux plastiques (et je ne parle pas des pesticides …)

    Et vos « merveilleuses tomates », siiiii bonnes, dans quoi elles poussent ?

    Fraise1

    Les producteurs, que dis-je, les producteurs ? Les industriels, ont perdu le sens du goût et sont toujours contents d’eux tant qu’il y a du profit.

    Il serait temps qu’ils prennent un moment pour cultiver un petit coin de jardin pour y faire pousser en pleine terre et au soleil des fraises et des tomates, qu’ils les mangent pour refaire leur sens du goût. Et après qu’ils goutent à leur production industrielle et insipide, alors seulement, ils pourront nous dire si Le goût, c’est trop subjectif !

    Ils ont le droit de produire et vendre de la M … à nous de ne pas l’acheter ! Mais, au moins qu’ils nous laissent le droit à la critique.

    Comme dirait Reymond : « J’avais déjà marché dedans, mais j’en avais jamais mangé !»

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  • JEAN DE LA CROIX – LA NUIT OBSCURE

    Poème de Juan de Yepes Álvarez dit Jean de la Croix (en espagnol : Juan de la Cruz), né à Fontiveros le 24 juin 1542 et mort au couvent d’Ubeda le 14 décembre 1591, est un saint mystique espagnol, souvent appelé le « Saint du Carmel ».

    par une nuit obscure
    anxieuse et d’amour embrasée
    oh l’heureuse aventure
    je sortis sans être remarquée
    et ma maison était en paix

    dans l’obscur et très sûre
    par l’échelle secrète et déguisée
    oh l’heureuse aventure
    dans l’obscur avec rapidité
    et ma maison était en paix

    dans cette nuit de félicité
    en secret et nul ne me voyait
    je ne voulais rien regarder
    si ce n’est la lumière qui me guidait
    qui dans mon cœur me brûlait

    et cette lumière me guidait
    plus sûrement que la clarté de midi
    là où il m’attendait
    moi je savais bien qui
    en un lieu où nul ne paraissait

    oh nuit qui me guidait
    oh nuit plus aimable que l’aube d’un été
    oh nuit qui unissait
    le bien-aimé avec la bien-aimée
    la bien-aimée en l’aimé transformée

    et sur mon sein fleuri
    qu’entier pour lui seul je gardais
    là il resta endormi
    et je le caressais
    et l’éventail des cèdres l’éventait

    le vent qui soufflait du créneau
    quand ses cheveux je dénouais
    de sa main au repos
    au cou me blessait
    et tous mes sens suspendait

    je suis restée dans l’oubli
    mon visage appuyé sur l’aimé
    abandonnant mon souci
    tout cessa et je m’abandonnai
    oubliée entre les lys

    Traduction française : Pierre Éliane

    Et pour écouter :

    Musique : Pierre Éliane
    Interprète : Pierre Éliane


  • Que s’est-il passé en Argentine ?

    Vautour
    NML Capital, le fonds vautours qui attaque l’Argentine appartient au hedge fund Elliot Associates du millionnaire américain Paul Singer (à gauche. Né le 22 août 1944 dans une famille juive de la région de New York).

    Mais comment a-t-on pu laisser se mettre en place un tel système ?

    Les fonds vautours se font de l’argent en spéculant sur les pays en difficultés, comme en Argentine durant la crise de 2001.
    Ils achètent alors des bons de la dette à bon prix avant d’en exiger, le moment opportun, le remboursement à un prix élevé par voie judiciaire, en y incluant des intérêts de retard et des frais de justice. Ils spéculent ainsi sur la dette publique, en compromettant les dépenses sociales pour la grande majorité de la population.
    Ces fonds vautours ont choisi le litige après avoir refusé de faire partie des 93% des créanciers qui avaient négocié avec le gouvernement argentin.
    Et maintenant le juge du district de New-York, le fringant Thomas Griesa, (encore un sympathique personnage agé de 84 ans!!!) donne la priorité du paiement aux fonds vautours.
    Vautour2

    Ce qui ouvre la porte à une avalanche de demandes en justice qui a déboucher sur le défaut de paiement de l’Argentine le 30 juillet.

    Comme le dit bien Julio C. Gambina (économiste argentin) , « Personne ne sait avec exactitude à combien peut s’élever la demande des créanciers de la dette impayable », mais nous savons que le prix pour le peuple argentin peut être catastrophique.

    Qui se cache derrière ces fonds vautours ?

    NML Capital est une filiale du fonds d’investissement Elliott Management Corporation enregistré dans le paradis fiscal des îles Caïman!!! C’est l’empire du millionnaire Paul Singer, ferme défenseur du parti Républicain aux USA et proche de l’ultra-conservateur Tea Party.

    Elliott spécule, entre autre, sur les dettes publiques, en violant toute souveraineté des États et de leurs peuples. Mais il spécule aussi sur les dettes privées et était entré en possession de 2 millions de dollars de celle de Lehman Brothers en 2011. (du fric! du fric! du fric!)

    Singer a été le plus important bailleur de fonds pour la campagne présidentielle de George W. Bush en 2004, il finance aussi celle de Mitt Romney en 2012, et celle du maire de New-York, Rudolph Giulani.

    En tant que principal fournisseur de fonds pour le parti Républicain, il joue un rôle important dans la politique nord américaine et, vue la prédominance du pays au-delà des frontières, influe sur la politique internationale!

    La fondation qui porte son nom, The Paul E.Singer Foundation, fait l’éloge de sa philanthropie, de son rôle dominant pour l’expansion du libre-échange, sa gestion en faveur de la sécurité nationale des Etats-Unis et pour le « futur d’Israël »!
    Singer est aussi le président de la boîte à idées conservatrice Manhattan Institute for Policy Research.

    En ce qui concerne l’Argentine, NML est le principal bailleur de fonds de l’organisation American Task Force Argentina (AFTA), lobby qui influe sur la justice et le Congrès US afin de porter préjudice à l’Argentine.
    Pour se faire une idée du pouvoir de ces vautours, NML est même allé jusqu’à faire saisir le navire-école de la marine argentine, la frégate Libertad, au Ghana en octobre 2012, en exigeant de l’État argentin environ 370 millions de dollars pour des bons impayés!

    Ce qui se passe en Argentine est emblématique de ce que commence à vivre la Grèce et bientôt l’Espagne, où opèrent des fonds vautours comme Dart Management, dont le siège se trouve aux îles Caïman et qui opère aussi en Argentine. Déjà en 1999, NML a obtenu, grâce à un jugement aux USA, le paiement de 58 millions de dollars du Pérou pour une dette que le fonds avait acheté 11 millions. Il a aussi fait des affaires avec la RDC.

    Vaguelette de solidarité internationale face à un capitalisme vautour dévastateur.

    L’agissement des vautours en Argentine a déclenché une indignation partout dans le monde contre la spéculation qui joue avec la souveraineté et la vie d’une grande majorité des peuples endettés.

    Depuis la Plateforme d’Audit Citoyen de la Dette en Espagne (PACD) est lançé un communiqué de solidarité avec le peuple argentin, qui affirme que « l’Argentine devrait désobéir à la sentence du juge Griesa, (…) puisque, en accord avec le droit international, elle a l’obligation de satisfaire les besoins de sa population avant le paiement d’une dette. »

    Comme le stipule bien le communiqué, ce qui se passe n’est pas seulement un problème argentin, mais plutôt un conflit mettant en jeu la suprématie du pouvoir financier au détriment de la souveraineté des peuples.

    Vautour3

    A qui le tour ? Ils attendent !

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  • Les préparations naturelles ne sont plus considérées comme des pesticides

    ortie

    Un pas vient d’être franchi (Enfin !) à l’Assemblée nationale pour faciliter le passage à une agriculture sans pesticides. Les préparations naturelles dites « peu préoccupantes » (PNPP), comme le purin d’ortie, de prêle mais aussi l’argile ou le vinaigre blanc, ne seront plus soumises aux mêmes règles que les substances chimiques de synthèse. Un régime simplifié pour l’utilisation et la commercialisation de ces préparations vient ainsi d’être reconnu par la Loi d’avenir agricole, examinée à l’Assemblée nationale le 9 juillet.

    « A l’heure où ce texte de loi veut promouvoir des systèmes moins consommateurs de pesticides, il eut été pour le moins incompréhensible que des méthodes alternatives simples et naturelles ne trouvent pas leur place », se réjouit Brigitte Allain, députée écologiste de Dordogne.

    La liste des PNPP entrant dans la catégorie intitulée « biostimulants » doit encore être définie par voie réglementaire, autrement dit par le ministère de l’Agriculture. Les militants de l’Aspro-PNPP, association qui promeut ces préparations, assurent qu’elle veillera « à ce que les décisions qui seront prises permettent réellement la commercialisation et l’utilisation des PNPP ». Ces dernières années, des agriculteurs, des jardiniers, des élus et des consommateurs ont multiplié les actions civiques en épandant symboliquement sur les places publiques des préparations à base d’extraits végétaux. Une caravane pour la défense de l’agroécologie paysanne a également sillonné les routes françaises en mai dernier, pour alerter les députés et sénateurs sur les lourdeurs réglementaires encadrant ces préparations.

    L’amendement concernant les PNPP a été adopté après le passage en deuxième lecture au Sénat le 18 juillet.


  • Parce qu’il faut en parler

    Personne

    Je ne savais pas comment parler de ce conflit israélo-palestinien, comment dire les choses …

    Et puis, surfant sur la vague web, j’ai atterri sur un blog atypique : « Le journal de Personne ». Les propos sont pertinents, intelligeant, souvent poétiques, toujours justes et Personne est une belle personne en plus d’être une excellente comédienne. Et elle dit les chose comme j’aurai aimé les dire.

    Les coordonnées du site : LE JOURNAL DE PERSONNE

    Un petit exemple de texte de Personne :

    « Maintenant lorsque j’entends le coq chanter, j’ai aussitôt la chair de poule…

    Sarkozy : « Israël est un miracle »

    C’est le seul animal qui chante en ayant les pieds dans la merde. Il n’enchante que les cocus.
    Non, ce n’est pas le chant, c’est la merde qui lui porte bonheur…comme tous les miraculés, il ne sait pas ce que c’est qu’un miracle. Réécoutez-le, ce n’est pas le même que le même, mais le même que l’autre.

    Valls : « Juifs de France, sans vous la France n’est plus la France. »

    Non, je ne voudrais pas habiter la même bicoque que ces deux coqs. Je ne suis pas du tout antisémite mais je ne partage pas avec eux le même mythe. Israël est peut-être mythique mais n’a rien de mystique, ce n’est pas le commencement, mais la fin du mystère élucidé par La Fontaine : la raison du plus fort est toujours la meilleure… POUR CEUX QUI S’Y SOUMETTENT… je répète uniquement POUR CEUX QUI S’Y SOUMETTENT.

    C’est moi qui rajoute, c’est mon grain de sel… le seul que j’ai pu dérober à cette terre soustraite au ciel.

    Il n’y a pas que deux coqs, il y a aussi un coquin qui touche à tout mais nous enseigne l’ « intouchable » ! Touche pas c’est intouchable !

    BHL : « Israël c’est intouchable oui ! »

    Deux coqs et un coquin qui me font douter de mon enfance, de mon existence, de ma France.
    Naïve comme je suis, j’ai toujours cru qu’il n’y avait qu’un miracle, qu’un sens, qu’une essence pour un français : LA FRANCE.

    Pour moi, on ne peut pas être français, enfant de France et être sous influence… l’allégeance, savez-vous ce que c’est : c’est le premier pas vers la décadence… l’obsolescence des corps et l’évanescence des âmes qui ne chantent plus la Marseillaise mais se taisent pour ne pas souffler sur la braise de leur proche… Orient.

    Coq qui chante trois fois…

    Le coq, le seul, le vrai, vient de chanter. Et ça m’enchante parce que je n’ai pas trahi et je ne trahirai pas mon pays en me soumettant au mauvais concert des États…Unis. Ça me rappelle le service de la vérité, qui reste pour moi le plus dur des services… le plus difficile m’a toujours indiqué la PALESTINE… comme seul foyer pour celui qui voudrait vraiment plaider la cause de la paix, de la justice et de la liberté.

    Pour le coq français, c’est le seul refrain qui indique le chemin vers la fin de l’injustice dont nous sommes tous complices.

    De palestinien, je n’en connais qu’un… mais on vient de le bruler vif ! »

    Et pour l’écouter:


  • Bon beau bio … quoique …

    bio

    On pourrait penser que les produits « bio » échappent aux réseaux des multinationales de l’agroalimentaire … Que nenni !

    Il y a beaucoup de raisons de se mettre au bio! L’industrialisation agro-alimentaire, c’est un progrès sur le plan de l’hygiène, mais elle a aussi fortement dégradé la qualité des produits. Elevages en batterie, sélection de fruits et de légumes sans goût car conçus pour satisfaire les normes de conservation et de standardisation exigées par la distribution, transformation des recettes afin d’utiliser des ingrédients moins coûteux – tout en ajoutant de multiples conservateurs, colorants, épaississants, agents de texture et autres renforçateurs de goût : la chimie s’est emparée de nos assiettes! Stop à la malbouffe et au « snacking »!

    Oui, mais … il faut savoir que les multinationales n’allaient pas laisser passer cette manne de dollars sans rien faire !

    En Europe et en Amérique du nord, la plus grande partie des distributeurs d’aliments “biologiques” ont été rachetés par les grands cartels de l’agro-alimentaire: Nestlé, Cargill, Coca-Cola, etc.
    En France, par exemple, Lima et Danival ont été rachetés par Hain Celestial, aux USA, derrière lequel se cache l’argent de Monsanto, Walmart, Philipp Moris, City Group et Martin Lockeed.

    En France encore, acheter les produits bios de Bonneterre, de Bjorg, d’Evernat, d’Allos, de Tartex, d’Alter Eco… c’est participer à la prospérité du Hollandais Royal Wessanen, l’un des grands groupes Européens de l’agro-alimentaire.

    En France toujours, 95 % des légumes bios commercialisés sont produits à partir de semences de variétés hybrides F1; ce qui signifie que :

    le consommateur bio, par exemple, a une “chance” sur deux d’acheter un melon bio “Monsanto/Bayer/Syngenta” puisque ces trois groupes de la chimie possèdent la moitié des 250 variétés de melons inscrites dans le catalogue national du GNIS.

    Ce qui signifie que de très nombreux maraîchers bios sont complices de la destruction de la biodiversité alimentaire.

    Dans le Tiers-Monde, l’IFOAM (la fédération internationale de l’agriculture biologique) rabat du petit paysan pauvre pour produire du bio, et encore plus de bio, au service de l’export vers les pays riches, au service de l’industrie bio, et donc au service de l’industrie tout court.

    En novembre 2012, lorsque l’Etat de Californie présenta au vote populaire la Proposition 37 destinée à rendre obligatoire l’étiquetage des OGMs, ce fut une levée de boucliers de la part de l’agro-chimie qui finança une campagne de rejet de cette proposition: Monsanto (7 millions de dollars), Dupont de Nemours (5 millions de dollars), BASF (2 millions de dollars), Bayer (2 millions de dollars), Dow (2 millions de dollars), Pepsico (1,7 million de dollars), Nestlé (1,2 million de dollars), Coca-Cola (1,1 million de dollars), Syngenta (1 million de dollars), General Mills (1 million de dollars), Del Monte, Kellog, Kraft, Heinz, Mars, Cargill, etc, etc.

    l’Agro-alimentaire industriel a de beaux jours devant lui …

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  • Vous souvenez-vous de la vache folle ?

    Vache folle

    Dix-sept ans après le début de l’enquête, des juges d’instruction ont rendu un non-lieu général dans l’affaire de la vache folle, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.

    Lancée en 1997, l’enquête française portait sur l’importation de bovins et de farines animales britanniques, et leurs conséquences sur la propagation de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) et de sa variante humaine, la maladie mortelle de Creutzfeldt-Jakob.

    Quatre personnes, des responsables d’usine de fabrication d’aliments pour bétail, avaient été mises en examen dans le dossier, certaines pour tromperie ou falsification. Une des quatre est depuis décédée. Le non-lieu a été rendu mercredi par les juges d’instruction du pôle santé publique à Paris, a indiqué une source judiciaire.

    Aux yeux du parquet, qui avait lui aussi requis un non-lieu général, il n’avait d’une part pas été démontré que les produits vendus par ces usines contenaient des protéines animales. D’autre part, aucune volonté de contourner les législations n’avait pu être caractérisée chez les personnes mises en examen, avait expliqué une source judiciaire à la mi-avril.

    Il n’y a plus qu’à recommencer … la justice est clémente et les avocats s’enrichissent.


  • Message à nos réflexes écologiques de courte vue

    Laine de mouton : performances thermiques et phoniques

    La laine de mouton est un bon isolant thermique, avec un coefficient de conductivité thermique entre 0,035 et 0,042 W/m.K. Elle est aussi efficace en isolation phonique, notamment sur les bruits aériens.
    La laine de mouton est un isolant naturel, sain et écologique. C’est un matériau léger et qui présente des qualités intéressantes (pour qui?).

    SUPER !

    Oui mais, comment ça marche ?

    Mouton

    Des employés qui assènent des coups de poing à la face de moutons terrifiés, les frappent avec des tondeuses électriques et un marteau, leur entaillent la chair, les piétinent ou leur plient le cou au point de le briser. Des animaux en sang, d’autres qui meurent. Voilà ce que révèlent des vidéos à la fois très violentes et choquantes, publiées mercredi 9 juillet par l’association de défense des droits des animaux PETA (People for ethical traitment of animals), à l’issue d’une vaste enquête sur la production de laine en Australie et aux Etats-Unis.

    Pendant plus d’un an, de fin 2012 à mars 2014, trois militants de l’ONG américaine, qui milite pour une éthique dans le traitement des animaux, se sont faits passer pour des ouvriers dans 19 ateliers de tonte dans les Etats australiens de Victoria, Nouvelle Galles du Sud – les deux plus gros producteurs de laine du pays – et d’Australie-Méridionale. Ils ont filmé en caméra cachée les maltraitances perpétrées par 70 employés sur les animaux. Dans ces immenses établissements, près de 4 millions de moutons sont tondus chaque année.

    Entre mi-mars et mi-mai 2014, un autre enquêteur a documenté de la même façon la maltraitance de moutons par des employés dans 14 ranchs américains, à travers Wyoming – le deuxième producteur de laine du pays – le Colorado et le Nebraska.

    L’Australie est le deuxième producteur de laine au monde (juste après la Chine), avec une production annuelle de 360 000 tonnes en 2012 pour un chiffre d’affaires de 700 millions de dollars, selon les données de l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). Sa laine de mérinos, connue pour être très fine et élastique, est très convoitée par l’industrie textile et exportée dans le monde entier. Les Etats-Unis, de leur côté, produisent beaucoup moins de laine (5 000 tonnes).

    Mouton2

    Voilà, voilà, voilà … !

    Si c’est à ce prix je préfère prendre sur moi le risque de la laine de roche !

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  • Des mets fait maison oui ! Mais fait maison sont des méfaits maison !

    fait maison
    Source – JP Gené, « Fait maison, décret bidon », M, le magazine du Monde, 10.07.2014

    Les industriels de l’agro-alimentaire ont dû se réjouir en voyant le décret sur le « fait maison ».
    Sur le papier, l’objectif était pourtant louable : face à un secteur qui est en train de basculer dans le tout-surgelé, le gouvernement souhaitait valoriser les restaurateurs qui n’utilisent que des produits frais.

    Un label « fait maison » devait ainsi permettre aux clients de différencier les restaurants traditionnels, qui épluchent encore les légumes, et les autres, ceux qui ne proposent que des produits surgelés et de la cuisine d’assemblage.

    Pourquoi la nécessité d’un tel label ?

    Tout simplement parce qu’il y a urgence : en quelques années, les resto-surgelés sont devenus ultra-majoritaires. Ainsi, près de 75% des restaurateurs s’approvisionnent désormais chez Metro, une enseigne réservée aux professionnels qui propose des plats cuisinés, des légumes surgelés pré-découpés et des pots entiers de mousse au chocolat déjà prête.

    Le décret qui accepte le surgelé

    Pour valoriser ceux qui travaillent encore des produits frais, les organisations professionnelles étaient d’accord sur le principe d’un label « fait maison ».

    L’industrie agro-alimentaire, qui ne voulait pas perdre sa clientèle, était bien évidemment contre.
    Finalement, le « fait maison » a été inscrit dans la loi n°2014-344 du 17 mars 2014. Tout était calé, il ne manquait juste qu’un décret d’application pour déterminer quels produits entraient dans le critère du « fait maison ».

    Et c’est là qu’il y a un os :
    Le Monde magazine a consulté la version définitive du décret, lequel considère que

    « peuvent entrer dans la composition d’un plat « fait maison », les produits qui ont été tranchés, coupés, broyés, hachés, nettoyés, désossés, dépouillés, décortiqués, taillés, moulus ou broyés, fumés, salés, réfrigérés, congelés, surgelés ou décongelés ».
    Stooop ! Aïe ! Aïe ! Aïe !
    Vous avez bien lu, les plats confectionnés avec des produits surgelés pourront bénéficier du label « fait maison » !!!

    Dit autrement par Le Monde : « tous les produits bruts congelés – les branches d’épinard comme les crevettes – pourront figurer dans un plat « fait maison », qui sera dispensé de facto de mentionner sur la carte qu’il en contient ».

    Du « fait maison » congelé ?

    Il fallait y penser!!! Seule exception : les frites, afin que McDo n’utilise pas le label « fait maison », ce qui aurait fait tache d’huile (Ouf !)

    Du fait maison avec des produits transformés par l’industrie agro-alimentaire

    Il y a mieux : selon le décret,
    « le restaurateur peut utiliser des produits transformés ailleurs, dès lors que la marque du produit ou le nom du professionnel qui l’a fabriqué est expressément indiqué. »
    Autrement dit, les lasagnes de cheval Spanghero ou l’andouillette à Bobosse mentionnées comme telles peuvent figurer au menu du « fait maison ».

    En clair, ce décret vide la loi de son « esprit ».

    Comment expliquer un tel fiasco ? A la force du lobbying de l’industrie agro-alimentaire.
    Et à une certaine faiblesse du gouvernement :

    « Au final, ce texte ne satisfait ni la profession ni les partisans du vrai fait maison, et n’éclairera guère les clients, conclut le journal. Un décret dans l’air du temps : mou ».

    Donc on continue comme avant, avec une loi en plus! Mais pouvait-on attendre mieux de nos gouvernants de tous bords ?

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  • A la recherche de la mine

    Beaucoup de gens appelle « la mine » le tunnel du pont qui est partiellement effondré et qui enjambe le ruisseau du Layac, entre l’Abeillaud et le Serre du Seigne.

    Dans la même zone, un peu en aval de ce pont, entre ruisseau et chemin il y a cette ouverture de galerie :
    SAMSUNG DIGITAL CAMERA

    Qu’est-ce ? Une entrée de mine partiellement comblée ? Autre chose ?

    A l’intérieur c’est ainsi :

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    On y retrouve le même type de construction que dans la galerie de la Font de Vendras : une galerie rectiligne, des cotés en pierres bien empilées et au plafond de grandes dalles de pierre.

    Cette galerie est orientée perpendiculaire au chemin, et est effondrée un peu avant de passer dessous.

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    Elle débouche ensuite dans un fossé de collecte des eaux longeant le chemin à gauche en descendant.

    Finalement cette construction permet lors de gros orages de collecter les eaux descendant de l’Abeillaud, évitant ainsi, d’emporter à la longue le chemin. L’eau passe par cette galerie et va se déverser directement dans le ruisseau du Layac. Ce n’est toujours pas une mine.

    Pépé a été voir « … RAS » m’a-t-il dit …

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