« Nous sommes ce que nous mangeons »
En ces termes s’exprimait le philosophe allemand Ludwig Feuerbach (1804-1872), disciple de Hegel et chef de file du courant matérialiste. Deux siècles plus tard, cette affirmation est toujours d’actualité.
Ce que nous ingérons par la bouche, notre organisme l’utilise pour se construire lui-même. Nous sommes faits de la nourriture que nous avalons, de l’eau que nous buvons, de l’air que nous respirons, des pensées, des espoirs et des craintes que nous nourrissons. Nous sommes également faits de l’influence qu’ont l’extérieur et autrui sur nous. Notre bien-être physique, mental, émotionnel et spirituel dépend de la qualité et de la pureté des substances qu’absorbe notre organisme.
En général, on accorde assez peu d’attention à ce qu’on l’on ingère, il est rare qu’on se fasse la réflexion que cette substance fera partie de nous et qu’elle conditionnera nos processus chimiques, biologiques, énergétiques et spirituels. Si une substance est compatible avec notre nature, l’organisme l’assimilera sans effort et en tirera un bénéfice. Dans le cas contraire, notre corps subira cette action comme une pollution, il luttera pour en neutraliser les effets négatifs, lui faisant perdre de l’énergie. Lorsque notre organisme n’est plus capable d’éliminer les toxines introduites et accumulées, la maladie se manifeste dans la partie la plus touchée et la plus affaiblie de l’organisme.
Le physique et le mental intimement liés
En réalité, la nourriture n’influence pas uniquement le physique mais également la conscience et la manière de penser. On peut connaître un homme en fonction de ce qu’il mange. L’ingénieur français André Simoneton a prouvé que les radiations émises par un organisme sain avoisinent les 6500 angströms (unité de longueur valant 0,1 nanomètre, soit 1 dixième de milliardième de mètre) et subdivisent les aliments en trois catégories : les « morts », dont les radiations sont nulles (aliments cuits, alcool et sucre), ceux inférieurs à 3000 angströms (viandes, lait, fromages, confitures et pain), et ceux très élevés entre 8000 et 10000 angströms (fruits, légumes crus et lait maternel).
Le botaniste allemand Von Bunge (1893-1890) a déclaré : « la vie se base sur la transformation de substance par le biais d’un processus qui libère des énergies, comme dans tout processus de transformation d’une entité chimique d’atomes et de molécules en une autre. » Et comment pourrait-il en être autrement ? Il y a des aliments qui guérissent et d’autres qui nuisent, c’est un fait.
Conclusion
Si nous mangeons de la merde, nous aurons des idées de merde !
Pensez-y avant d’entrer cher Mac Do !