Formé à Harvard et expert en santé publique et maladies émergentes, le Dr. Leonard G. Horowitz déclare que l’«Urgence Sanitaire Internationale» de l’Organisation Mondiale de la Santé et l’«épidémie» d’Ebola de 2014 démontrent un crime commercial, attesté par une fraude scientifique.
Dans une rapport spécial de 24 minutes préparé pour une diffusion publique sur la chaîne Viméo Revolution Television, [ ]
Le Dr. Horowitz, auteur et réalisateur de films primés, en compagnie de Sherri Kane, journaliste d’investigation, prétendent que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) rendent les gens victimes d’une fraude, après que des industriels en pharmacie aient égaré une souche Zaïre d’Ebola qui se trouvait dans le réfrigérateur d’un laboratoire d’armes biologiques.
La seule explication plausible de la soudaine ré-émergence dans un pays différent du germe caché depuis des années dans ce que l’on nomme un «réservoir naturel», est liée à une recherche de profit et à une criminalité financière, nous informe Horowitz.
Pour prouver la fraude scientifique, les lanceurs d’alerte utilisent leur bon sens et les archives historiques en passant au crible les dires de l’OMS et du CDC qui prétendent que le «réservoir naturel» pourrait être les «chauve souris frugivores.» Cette «histoire officielle» est de la «pseudo science», selon Horowitz, se référant à de prétendues découvertes d’officiels de la santé selon lesquelles 4% des chauvesouris testées au Bangladesh (Asie) étaient prétendument porteuses d’anticorps de «l’Ebola africain».
“C’est la même pseudo science et arnaque que le CDC a perpétré en 1967 après que le premier virus Ebola – le Marburg – se soit échappé simultanément de 3 usines de production de vaccins en Allemagne et en Yougoslavie,” rappelle le docteur. A cette époque, les officiels américains ont prétendu qu’on trouvait des anticorps chez 50% des singes testés, alors qu’aucun autre laboratoire n’a pu reproduire cette revendication.
Le docteur conclut : “un bouleversement socio-économique et politique majeur” au Liberia, impliquant des officiels des industries, aussi bien pétrolières que pharmaceutiques, est ce qui explique le mieux l’éruption d’Ebola qui a tué prés de 1,000 personnes, principalement au Liberia, même s’il a été dit que le virus a fait ses premières victimes en Guinée.
“Couplez les faits scientifiques à la censure du Dr. Horowitz, qu’il subit en tant que lanceur d’alerte de l’industrie pharmaceutique, et vous vous retrouvez avec des preuves substantielles d’un complot d’entreprises dans le but de créer un génocide,” a dit Kane, en colère contre la suppression faite par Google/YouTube des chaînes YouTube des deux journalistes, regardées par des millions de personnes au moment où l’Ebola fait les gros titres.
Les journalistes demandent aux activistes de diffuser leur vidéo éducative de 24 minutes, ainsi que le chapitre sur l’ebola du livre gratuit écrit par le docteur, afin de générer un débat public sur les risques pour la vie des gens au niveau international.
“Pensez-y,” dit le Dr. Horowitz, “les plus riches, les plus puissants, ceux à qui l’on peut faire le moins confiance dans ce monde, dictent ce qui peut être ou non discuté ou publié dans la communauté scientifique et sur les forums publics, à partir desquels des décisions et planifications de réponses d’urgence avec usage de médicaments et de vaccins sont prises. »
Ces faits consolident les preuves de «mauvaise foi», de «tricherie» et de crime commercial.
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