Cette étude a été publiée dans le « Journal of Trace Elements in Medicine and Biology »
Cette étude a été publiée le 26 novembre 2017 et a été relayée par Science Direct, plateforme de publications scientifiques revues par des pairs. Elle implique plusieurs scientifiques de l’Université de Keele et du Département de Neuropathologie du Kings College Hospital de Londres.
Les conclusions de cette étude sont très claires et montrent sans ambiguïté que des quantités très importantes d’aluminium ont été trouvées dans diverses parties du cerveau de patients autistes. Cette découverte est une première et risque bien de jeter un pavé dans la marre de la communauté scientifique vaccinale qui prétend que l’aluminium vaccinal ne reste pas dans le corps humain et ne présente aucun danger pour l’homme (alors même que des études montrent que l’aluminium contenu dans la plupart des déodorants peut favoriser le cancer du sein. Voici une traduction de l’abstract de cette étude anglaise :
« Le trouble du spectre de l’autisme est un trouble neurodéveloppemental d’étiologie inconnue. On suspecte qu’une susceptibilité génétique et des facteurs environnementaux, y compris dans les dernières toxines environnementales, sont impliquées dans la survenue de ce trouble. L’exposition humaine à la toxine environnementale qu’est l’aluminium a été liée, de façon provisoire, à un trouble du spectre autistique.
Dans notre étude, nous avons utilisé la spectrométrie d’absorption atomique avec four graphite à chauffe transversale pour mesurer, pour la première fois, la teneur en aluminium du tissu cérébral provenant de donneurs présentant un diagnostic d’autisme.
Nous avons également utilisé un fluor sélectif pour l’aluminium pour identifier l’aluminium dans le tissu cérébral en utilisant la microscopie à fluorescence. La teneur en aluminium du tissu cérébral des patients autistes était constamment élevée.
La teneur moyenne en aluminium (écart-type) des 5 individus de chaque lobe était de 3,82 (5,42), de 2,30 (2,00), de 2,79 (4,05) et de 3,82 (5,17) μg / g de poids sec. pour les lobes occipitaux, frontaux, temporaux et pariétaux respectivement.
Ce sont les valeurs les plus élevées pour de l’aluminium dans le tissu cérébral humain jamais enregistrées et on doit se demander pourquoi, par exemple, la teneur en aluminium du lobe occipital d’un garçon de 15 ans serait de 8,74 (11,59) μg / g de poids sec. ?
La microscopie à fluorescence sélective de l’aluminium a été utilisée pour identifier l’aluminium dans le tissu cérébral chez 10 donneurs. Alors que l’aluminium a été identifié dans des neurones, il semblait être présent de manière intracellulaire dans les cellules de type microglies et d’autres cellules inflammatoires non neuronales dans les méninges, le système vasculaire, la matière blanche et grise.
La prééminence d’aluminium intracellulaire associé à des cellules non neuronales était une observation remarquable dans le tissu cérébral autistique et peut offrir des indices quant à l’origine de l’aluminium présent dans le cerveau et peut constituer un rôle présumé dans le trouble du spectre autistique. »
Comme toujours, ce genre d’étude n’est jamais financée par les autorités de santé publiques ou des laboratoires pharmaceutiques. Celle-ci a fait l’objet d’une subvention de l’Institut de recherche sur la sécurité médicale des enfants (CMSRI), une fondation de recherche à but non lucratif basée à Washington DC.
L’année dernière, l’université de Keele a également publié une étude démontrant que l’aluminium joue un rôle majeur dans le déclin cognitif et la maladie Alzheimer.