Extrait de la lettre du professeur Joyeux concernant les vaccins. Extrait III.

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Pr Joyeux
Source : Professeur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

Extrait III. À propos des effets indésirables et des adjuvants des vaccins

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Comme l’a rappelé à juste raison Jean-Marc Dupuis dans une récente lettre à laquelle je renvoie :
« Le British Medical Journal a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin.

Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie).

Le vaccin contre l’hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu’il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. D’autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la Ville de Paris, permettant à cette personne d’être indemnisée. Des milliers de personnes, qui n’ont pas eu l’idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas. »
Des oligo-éléments, métaux lourds aluminium et mercure sont des adjuvants immunologiques, appelés aussi « adjuvant vaccinal ». Ils n’ont pas de vertu antigénique.

Par rapport aux adjuvants stricto sensu, les immunostimulants ont une action plus générale sur le système immunitaire et peuvent modifier simultanément plusieurs réponses immunologiques en les augmentant ou en les réduisant.

C’est en 1925 que fut imaginé le principe des substances adjuvantes et stimulantes de l’immunité, technique qui permet d’obtenir des sérums plus riches en antitoxines en joignant au vaccin une substance irritante pour les tissus.

Comme le dit Jean-Marc Dupuis :

« Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol.

Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires. »

L’Académie de Médecine a publié en 2012 un rapport sur les adjuvants vaccinaux dans lequel elle reconnaît officiellement que les sels d’aluminium sont neurotoxiques.

Le vaccin contre l’hépatite B indique, sur sa notice, qu’il peut provoquer la sclérose en plaques. Une étude de 2004 de l’épidémiologiste américain Hernan a montré qu’il existait un risque 3,1 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B. Il existe en outre quantité d’études qui lient le vaccin contre l’hépatite B au diabète, au lupus, à la névrite optique, à la polyarthrite rhumatoïde, à la thyroïdite et bien d’autres maladies encore.

Des coûts faramineux

En 2010, pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français a payé 1,5 milliard d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment 2 doses par citoyen.

À l’achat des vaccins, on peut ajouter en Euros 35,8 millions pour la campagne de vaccination, 20 millions d’antiviraux, 150 de masques, 41 de logistique, 290 pour indemniser les personnels réquisitionnés, 100 pour l’organisation territoriale, 400 à 700 de consultations et prescription de médicaments.

Finalement, comme le rappelle fort justement Jean-Marc Dupuis, le nombre de vaccins utilisés n’a été que de 4,5 millions…

Ce gaspillage a été dénoncé par mon collègue Bernard Debré, député de droite, et son homologue de gauche Jean-Marie Le Guen.

Conclusion

La disparition prochaine des obligations vaccinales impose une information complète et de qualité afin que les parents responsables de la santé de leurs enfants fassent les bons choix.

Il y a des abus avec les vaccinations. Il ne s’agit pas d’être systématiquement “contre”, ce qui serait aussi excessif – et pourrait être dangereux en cas d’épidémie ou chez des patients fragiles –, ni d’être systématiquement “pour”.

Les parents doivent bien sûr comprendre que la santé de leur enfant dépend aussi de celle de la communauté, c’est-à-dire de l’état de santé des autres enfants.

Mais les enfants ne peuvent être traités comme des cobayes ou des objets économiques.

Je sais combien la connaissance scientifique du grand public augmente. Face à la diminution du nombre de médecins, il demande à être responsabilisé dans le domaine de la santé et à ne pas être traité comme ignorant pour être plus facilement exploité.

Signé du Professeur Henri Joyeux. Cancérologue, spécialiste de la nutrition, professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux.

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