Alors, là on nous prend vraiment pour des c … (une fois de plus)

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Virus
(Source : d’après The Telegraph – Traduction État du Monde, État d’Être)

Les autorités en Louisiane étudient comment un agent de « bioterrorisme potentiel » (une bactérie dangereuse et souvent mortelle) a pu s’échapper, mais ils insistent sur le fait qu’il n’y a aucune menace pour le public. Ouf !

Et un jour on nous racontera que ça vient d’un singe qui a mangé des chauves-souris qui elles-mêmes ont eu des rapports contre nature avec des phacochères qui ont été mangés par une tribu du fin fond de l’Afrique …etc. Ça ne vous rappelle rien ?

Les autorités ont dit qu’il n’y avait aucun risque pour le public malgré que l’étendue de la contamination demeure inconnue après un bris de sécurité à la National Primate Research Center de Tulane. Ayez peur, mais soyez rassurés.

La bactérie en question est appelé Burkholderia pseudomallei.
On la trouve principalement en Asie du Sud et du Nord de l’Australie, le microbe peut se propager aux humains et aux animaux par contact avec le sol contaminé et l’eau. Il est classé comme un agent de bioterrorisme potentiel.

La contamination éventuelle serait survenue en novembre ou plus tôt ( ?) au centre qui travaillait à développer un vaccin contre les bactéries.
Les autorités ont déclaré que l’agent pathogène n’a pas été détecté sur le campus extérieur du centre, mais quatre singes rhésus gardés dans des enclos extérieurs sont tombés malades et deux ont été euthanasiés, affirme USA Today.

En outre, une inspectrice fédérale est tombée malade après avoir visité l’installation, mais ce n’est pas clair si elle avait été exposée à la bactérie avant sa visite puisqu’elle avait récemment voyagé à international.

« Il continue de n’y avoir aucune menace connue pour le public » affirme un communiqué de presse daté du 24 février.

« Il n’y a pas de primates ou d’humains présentement malades à la suite d’une exposition possible à Burkholderia pseudomallei. »

Le centre est situé à Covington, à environ 50 miles (80 kilomètres) au nord de la Nouvelle-Orléans.

Un grand merci aux Etats-Unis. Ils appellent ça « un agent de bioterrorisme potentiel !» … et c’est cultivé par l’auto proclamé gendarme du monde !